Une nouvelle tuerie de masse (sic, mass shooting en V.O) a vu les media de par le monde se déchaîner contre Donald J. Trump. & lui seul, est-il important de préciser. Ce alors que le FBI a, encore une fois, donné la preuve de son himalayenne incompétence. Retour sur les comportements pour le moins controversés des uns & des autres. 1ère Partie.
| Q. Que pensez-vous des propos des uns et des autres à propos de la dernière tuerie de masse que viennent de connaître les États-Unis au Lycée de Parkland ?
Jacques Borde. Tels qu’ils ont été conduits sur nos plateaux TV à la suite des drames de ce type que connaît l’Amérique ? Ce que je vous ai déjà dit dans un précédent entretien : « C’est de la fumisterie et du foutage de g… tout simplement ». Encore une fois, les intervenants nous ont pris, et je pèse mes mots, pour des… cons !
Le président américain, Donald J. Trump, en faisant siennes plusieurs propositions visant à amender de manière intelligente l’actuelle législations des armes, a prouvé qu’il était bien le dirigeant pragmatique sachant se tenir à distance raisonnable des positions des uns et des autres. Quant aux media à la solde de la gauche libérale, leur comportement en dit long sur l’absence totale de déontologie qui prévaut en ces lieux non pas d’information mais bien de propagande généralisée.
Sans parler de l’indécence à instrumentaliser à outrance le pathos à l’évidence scénarisé de quelques jeunes hystériques liées à l’ultra-gauche étasunienne…
| Q. Carrément. Vous n’avez pas votre langue dans votre poche ?
Jacques Borde. En fait, ce que vous appelez les tueries de masses ne sont pas aussi nombreuses et massives que vous semblez le croire.
| Q. Qu’entendez-vous par là ?
Jacques Borde. Certes, le New York Times (titre phare du cloaca mediatica démocrate, est-il important de le rappeler) nous recensait, dès le 7 octobre 2017, ses 521 mass shootings en 477 jours aux États-Unis. Un peu plus aujourd’hui ; si l’on se fie à ces (faux) comptes d’apothicaires. Le poids des mots, le choc des médiamensonges, en fait.
À cela près que ce terme de mass shootings englobe tout usage d’arme à feu au cours duquel quatre (4) personnes ou plus on été tuées ou blessées au même endroit et au même moment.
Ce qui ramené :
1- à la pratique du tir sportif ;
2- à la pratique de la chasse ;
3- aux accidents domestiques (nettoyage et manipulations hasardeuses) liés à la simple possession (légale ou non) d’armes ;
4- à la criminalité d’un pays de la taille des États-Unis, tout cela prend une tout autre proportion, reconnaissons-le.
| Q. Mais, il y a quand même des victimes ?
Jacques Borde. Qui a dit qu’il n’y en avait pas ? Sauf que la présidence sous laquelle on a le plus subi de ces tueries de masse (je parle des vraies bien entendu) est, non celle des Bush ou Reagan, mais celle de… B. Hussein Obama. Le plus restrictif en ces domaines controversés de détention d’armes par les honnêtes gens comme vous et moi. Comme quoi…
Quant à ce que les media caniveaux US et européens réunis dans leur mala fides répertorient en tant que mass shooting, on y compte tout ce qui, une fois passé à la moulinette du propaganda staffel démocrate, peut servir leur ambition politicienne. En clair : nuire au président Donald J. Trump.
Un exemple : a été listé comme mass shooting, parce que se déroulant à proximité d’un établissement scolaire, le maladroit employé (armé) d’une société privée qui, rengainant son arme, a vu le coup partir.
Pas bien du tout professionnellement parlant, je vous l’accorde. Mais plus de peur que de mal et un blessé (très) léger…
Ajoutons que ces usages d’arme à feu répertoriés hâtivement par le célère et manipulateur cloaca mediatica sus-mentionné incluant l’usage fait par des criminels, ceux d’entre eux qui sont blessés ou tués peuvent difficilement être considérés comme des victimes. Leurs aléas balistiques relèveraient plus de l’accident du travail.
Autrement dit, comme le soutiennent mes excellents contacts de la NRA, c’est bien l’homme et non l’arme qui est un danger.
Au fait, combien de morts par appareils ménagers (et de bricolage) ou au volant de tous types de véhicules ? Ou, comme l’a souligné le chroniqueur Jesse Waters sur Fox News, « Lorsque quelqu’un se fait larder de coups de poignard, accusez-vous le couteau ? ». Non, bien sûr…
| Q. Et quel rapport avec le FBI ?
Jacques Borde. Le fait que, dans la tuerie de la Marjory Stoneman Douglas High School, les Fédéraux, avertis à au moins deux reprises, ont laissé un tireur – parfaitement identifié pour sa potentielle létalité et dont l’adresse était connue – en totale liberté de passer à l’acte.
Car, comme l’a justement rappelé Eber Haddad sur Facebook : « … le FBI, malgré les menaces du terroriste qui as tué hier 17 personnes à Parkland en Floride, proférées ouvertement sur YouTube l’année dernière, a déclaré aujourd’hui qu’il n’étaient pas parvenus à l’identifier et donc n’ont pas pu l’arrêter !!! Non seulement cette saloperie avait mis son nom sur les menaces mais avait un compte YouTube très facile à localiser. Il est vrai que l’année dernière, le FBI dirigé par Comey, le valet de pied d’Obama, essayait de monter des affaires de toutes pièces plutôt que de s’occuper de protéger le pays des terroristes de cette espèce. Le tueur s’était identifié très clairement et les autorités n’ont rien fait pour l’arrêter ! ! ! ».
Le même laisser-faire démocrate que lors du drame de Charlottesville, rappelons-le ! Où, comme l’ont montré force documents confidentiels qui, malgré le manque d’intérêt que leur accordent les media mainstream (nos presses caniveaux, si vous préférez), prouvent que le gouverneur et la municipalité démocrates étaient dûment avertis du risque qu’ils prenaient à laisser débarquer l’Alt-left et ses cohortes de casseurs et de suprémacistes noirs.
| Q. Jusqu’à quel point ?
Jacques Borde. Soyons clair et précis :
1- le US Department of Homeland Security (DHS)1 désigne depuis 2016 ceux qu’elle appelle les « anarchistes extrémistes », plus médiatiquement connus sous le terme d’Antifas ou d’Alt-left, comme responsables de « violences terroristes intérieures » notamment envers les forces de l’ordre.
2- pire : dans un document conjoint du FBI et du DHS, l‘Alt-left et les groupes à sa remorque sont décrits comme étant à l’origine d’attaques récurrentes contre la police, contre des institutions politiques ou encore contre des « symboles du capitalisme ».
3- le FBI, de plus plus critiqué pour son, disons, attachement (sic) au camp démocrate, a totalement failli à sa tâche en se désintéressant de ce qui se préparait à Charlottesville. À peu près de la même manière routinière dont il surveillait (sic) certains des 19 ressortissants séoudiens impliqués dans les attentats du 11 Septembre. À ce sujet, lire mon livre : Pourquoi l’Amérique, 11 Septembre.
4- en revanche, en amont de Charlottesville, le DHS avait bien averti qui de droit, au niveau de l’État et au niveau de la municipalité, qui n’ont pris aucune mesure de nature à empêcher les affrontements.
5- last but no least, suite à la manifestation de militants pro-Trump qui a dégénéré, en raison notamment de la présence de contre-manifestants violents le 27 août 2017, des miliciens de l’Alt-left qui ont même agressé des handicapés en chaise roulante, le maire démocrate de Berkeley (Californie), Jesse Arreguin, a déclaré qu’il était temps de faire face à l’extrémisme violent de gauche, et de gérer les Antifas au même titre que des membres du crime organisé.
À Parkland, de toute évidence l’honnête Jesse Arreguin n’a pas été écouté, mêmes causes, mêmes effets…
Ce qui fait que lorsque Donald J. Trump accuse le FBI d’avoir négligé les signaux d’alerte qui auraient pu empêcher la tuerie du lycée de Parkland à force de concentrer ses efforts sur le Russiagate, a totalement raison.
Qui plus est, la FBI est loin d’être la magnifique maison qui, depuis qu’elle est anti-Trump, enchante de manière si pavlovienne les Bobos…
| Q. Que voulez-vous dire ?
Jacques Borde. D’abord, comme l’a dit Eber Haddad : « Dans les films et les romans policiers le FBI a toujours le beau rôle et vient immanquablement à bout des escrocs, terroristes et criminels en tous genres. Ses enquêteurs sont excellents, ses laboratoires les plus performants et ses méthodes impeccables. Ça c’était avant, dans la fiction et avant qu’Obama et ses sbires n’aient transformé le FBI en police politique chargée de surveiller les opposants et ceux qui ne partageaient pas ses opinions en politique étrangère. En huit ans d’administration Obama le FBI est devenu spécialiste dans les manigances d’affaires sordides et le montage des coups fourrés. Résultats, le FBI n’est plus que l’ombre de lui-même et est surtout devenu une agence impotente, bureaucratique et totalement inefficace. On vient de le voir dans la tuerie de Parkland où le meurtrier en série, Nikolas Cruz avait annoncé ses intentions sur plusieurs réseaux sociaux mais n’avait pas pu être identifié selon le responsable de cette agence pour la Floride. C’était en effet très difficile pour le FBI de le trouver parce que Nikolas Cruz se cachait derrière le pseudo Nikolas Cruz !!!! »
Q. Donc Cruz était bien repéré ? Que s’est-il passé ? Comment est-il sorti des radars?
Jacques Borde. Mais, il n’est pas sorti des radars. Il était en plein dedans, c’est bien là le problème ! Ce sont les Fédéraux qui n’ont pas fait le boulot correctement ou avec une telle nonchalance que ça n’a servi à rien. Souvenez-vous du 11 Septembre…
Concernant, Nikolas Cruz, de nombreux signaux d’alarme ont été déclenchés sur le comportement à risque du jeune homme. Une enquête sociale révélait, dès septembre 2016, qu’il voulait acheter une arme à feu. « Monsieur Cruz a des coupures récentes sur les deux bras. M. Cruz a déclaré qu’il prévoyait d’acheter une arme à feu. Nous ignorons dans quel but il veut acheter l’arme à feu », précisait un rapport laconique des services de protection de l’enfance cité par le quotidien local, le South Florida Sun Sentinel.
Si ces faits dénotaient bien « certaines implications » pour sa sécurité, ces services avaient à l’époque conclu que le jeune homme était suivi de façon adéquate par son école et dans un institut spécialisé dans la santé mentale. Cruz était suivi « parce qu’il était désigné comme un adulte vulnérable à cause de troubles mentaux », selon le journal.
[à suivre]Note
1 Créé officiellement le 27 novembre 2002 par le Homeland Security Act (Loi sur la sécurité intérieure) à l’initiative du président George W. Bush, en réponse aux attentats du 11 septembre 2001. Son objectif est d’organiser et d’assurer la sécurité intérieure du pays. Il regroupe 22 agences fédérales liées à la sécurité du pays, notamment la US Coast Guard, le Secret Service, la Federal Emergency Management Agency (FEMA, Agence fédérale des situations d’urgence), la Transportation Security Administration (TSA, Administration de sécurité du transport, le US Customs & Border Protection (CBP, à la fois les douanes & les gardes-frontières)…