Le saumon frais issu de filières conventionnelles, qu’il vienne de Norvège ou d’Irlande, est moins contaminé qu’avant, mais le bio l’est davantage, selon une étude de 60 Millions de consommateurs à paraître jeudi.
Les saumons dits conventionnels (c’est-à-dire non-bio) « s’en sortent bien, on n’a pas relevé de métaux, de PCB, de pesticides, aucun résidu de médicaments vétérinaires », note la journaliste Patricia Chairopoulos. En revanche, « sur les dix pavés frais qu’on a analysés, les plus mal classés en termes de pollution sont les pavés bio », indique la journaliste.
Sur dix saumons frais vendus en France et testés par le magazine, seuls les quatre saumons bio présentent des traces de contamination de métaux et/ou dioxines, PCB et pesticides.