François Fillon a assuré vendredi que la CGT « n’a jamais bloqué la France », dénonçant « une façon de parler qui aboutit à décourager la France de faire des réformes ».
« Les syndicats sont faibles par eux-mêmes, il sont faibles par leur comportement, ils sont faibles par le fait qu’ils ont peu d’adhérents, par le fait que les Français ne sont pas séduits, ne sont pas convaincus », a déclaré M. Fillon.
« Moi je préfèrerais qu’ils soient plus puissants. Je préfèrerais qu’il y ait une grande ou deux grandes organisations syndicales puissantes », a-t-il poursuivi.