Dans un Rebonds de Libération, le sioniste de droite et président d’Avocats sans frontières, William Goldnadel, s’insurge contre la venue du président vénézuélien, Hugo Chavez, à Paris, pour négocier la libération d’Ingrid Betancour.
William Goldnadel note que « Les pays démocratiques ne font guère la fine bouche dès qu’il s’agit d’otage »s et estime que « la raison d’un Etat ne saurait obscurcir celle des défenseurs de certains principes élémentaires qui fondent, précisément, la démocratie ». Le président d’Avocats sans frontières rappelle « les positions antisémites, anti-américaines » du président vénézuélien, ainsi que « son soutien à son homologue iranien. »