
Jeff Greenfield, du magazine Politico, pro-Hillary, déplorait le 29 juillet que le discours de madame Clinton à la convention n’était qu’un tissu de platitudes et de clichés, œuvre de consultants marketing, sans une seule ligne directrice que puisse retenir le public. Résultat, elle est perçue pour ce qu’elle est : la candidate du statu quo et de l’establishment. Autrement dit, une Ford Edsel de la politique américaine. La convention démocrate de Philadelphie avait pourtant mis le turbo. Ils ont tout essayé pour diaboliser Trump : son ignorance...
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