« Il y a trop de patries, il n’y en aura bientôt plus. Drieu prévoit la mort du nationalisme dans ses excès mêmes, car le mal menace de disloquer les patries de l’intérieur ; le provincialisme tuera sans doute le nationalisme, ou tout au moins il facilitera l’avénement d’un internationalisme qui se substituera nécessairement aux nationalismes trop morcelés, épuisant l’idée de patrie par « ce chemin d’exagération loufoque » qu’est le patriotisme régional. Quand Orléans se dressera contre Paris, il n’ aura pas nécessaire des internationales II ou III pour détruire la France ; il aura suffi, ironise Drieu, des sociétés d’histoire provinciale. »