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Mercredi, 2 Mars 2016
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Loi Travail : L’ex-conseiller de Myriam El Khomri dénonce « une trahison historique »
Guillaume Novello
Intérieur
Pierre Jacquemain vient de quitter son poste de conseiller stratégie pour la ministre du Travail. Dans une tribune au Monde, il tire à boulets rouges sur la nouvelle réforme du travail.


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Le conseiller de l’ombre est sorti à la lumière. Et ce n’est pas une bonne nouvelle pour le gouvernement tant Pierre Jacquemain, ancien conseiller stratégie de Myriam El Khomri, a sorti l’artillerie lourde. Dans une tribune au Monde, il revient sur les raisons qui l’ont poussé à quitter son poste à la mi-février. En cause : la réforme du droit du travail qui devait incarner ses espérances avant de crystalliser ses déceptions.

« Ce devait être une réforme de progrès, écrit-il. Ce sera au mieux une réforme de compromis – voire de compromission. Au pire, cela restera comme une trahison historique – et destructrice – d’une gauche en mal de repères. » Rejoignant les critiques de gauche, l’ancien conseiller affirme que « cette réforme nous entraîne collectivement dans le mur », qu’il s’agit d’« un texte droitier, d’une réforme libérale qui déshonore la gauche » et que ce « texte est un non-sens économique. Une aberration politique. »

« L’autoritarisme matignonnesque »

Par une série de questions, il s’attaque à l’argumentaire économique du gouvernement. « Qui peut croire par exemple que favoriser les licenciements va permettre de lutter contre le chômage ? Qui pense sérieusement que la dématérialisation des fiches de paye est une révolution sociale ? » s’interroge-t-il.

Relativement clément envers sa ministre de tutelle – « c’est une militante qui n’a pas peur de tenir tête au président de la République » –, Pierre Jacquemain s’attaque à « l’autoritarisme matignonnesque » et à « l’invasion de la technostructure ». Dans une interview à L’Humanité publiée lundi, il révélait d’ailleurs : « En réalité, la politique du ministère du Travail se décide ailleurs, à Matignon. C’est le Premier ministre qui donne le ton. » Avant d’ajouter : « J’ai peu à peu compris que nous perdions la bataille. » D’où ce départ, « pour construire l’alternative à gauche ».

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