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Vendredi, 12 Octobre 2007
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Vol 93 et Immeuble 7 : bizarreries dans la version officielle des événements du 11 septembre 2001
Lisa Guliani et Victor Thorn
Étranger
Vol 93 et Immeuble 7 : bizarreries dans la version officielle des événements du 11 septembre 2001
Entretien avec les journalistes américains Lisa Guliani et Victor Thorn - Lisa Guliani et Victor Thorn viennent de publier un nouvel ouvrage aux Etats-Unis, intitulé « Phantom Flight 93 », qui conteste la version officielle des événements du 11 septembre 2001. Ils animent tous deux le site « Wing TV » . Leurs thèses leur ont valu diffamations publiques et menaces physiques. Ecoutons ce qu’ils ont à nous dire.

Q. : Monsieur Thorn, qu’avez-vous appris sur le vol 93 de United Airlines, qui, d’après la version officielle du gouvernement, se serait écrasé à Shanksville ?

Victor Thorn: Lorsque le vol 93 a pu enfin démarrer et atteindre Cleveland vers 9 h 36, il avait 41 minutes de retard, ce qui constituait un obstacle pour la bonne exécution du plan de bataille de ceux qui ont téléguidé les attentats du 11 septembre. Malgré cela, le vol 93 a poursuivi sa route vers Washington. Vu les événements qui venaient de se passer à New York et au Pentagone, ç’aurait été une catastrophe pour la réputation de l’armée américaine, si cet avion de ligne avait été abattu au-dessus de la capitale du pays.

Lisa Guliani: Comme le plan de bataille des comploteurs montrait déjà plus de trous qu’un gruyère suisse, l’appareil du vol 93 a été abattu au-dessus d’Indian Lake. Aussitôt après, la région entière, où il aurait atterri en catastrophe à New Baltimore, a été rendue inaccessible. Pour s’assurer que personne ne pourrait aller procéder à une expertise en règle de la véritable épave, un autre appareil a tiré un missile au-dessus d’une mine abandonnée près de Shanksville. C’est cet endroit qui est fictivement décrit comme le lieu de l’atterrissage en catastrophe, afin de détourner les médias et le public du véritable lieu de l’accident à New Baltimore.

Q. : Moins connue est la fonction qu’a eue l’immeuble n°7, qui s’est effondré également le 11 septembre. Qu’en dites-vous ?

Lisa Guliani : L’effondrement contrôlé de l’immeuble WTC7 a eu lieu à 17 h 20, l’après-midi. C’est plus que probablement la meilleure preuve pour la thèse d’une conspiration. Ce fait est particulièrement dérangeant car la commission d’enquête sur les événements du 11 septembre, dans son rapport de conclusion, n’évoque même pas l’effondrement de cette tour ! D’emblée, il lui est apparu totalement oiseux de défendre l’indéfendable, car, effectivement, le destruction de cet immeuble de 47 étages n’a pu se produire que par une démolition contrôlée. Il n’y a pas d’autres explications possibles.

Victor Thorn: Lisa et moi-même affirmons que les conspirateurs du 11 septembre n’avaient pas prévu, au départ, de faire s’effondrer le bâtiment WTC7, quelques heures après les tours jumelles WTC1 et WTC2. Nous pensons qu’ils avaient prévu initialement de détruire cet immeuble dans l’heure qui a suivi l’écroulement des tours. On sait que le WTC7 a servi de centre de commandement stratégique à ceux qui ont contrôlé l’effondrement des tours jumelles. L’immeuble 7 était idéalement situé pour ce faire et le bunker du maire Rudy Giuliani, qui a coûté 15 millions de dollars et a été installé à son vingt-troisième étage, offrait une vue parfaite sur le déroulement de toutes les manœuvres : la perspective de l’oiseau en quelque sorte ! A la même hauteur que les tours WTC1 et WTC2.

Q. : Vous pensez donc que la destruction des tours jumelles a été programmée au départ de ce vingt-troisième étage de l’immeuble WTC7 ?

Victor Thorn: Les conspirateurs ont très rapidement constaté que les incendies déclenchés par le kérosène dans les deux tours principales ne suffiraient pas à les détruire. Lorsque les parties supérieures de la tour WTC2 se sont penchées de 23 degrés et menaçaient de basculer dans les rues de Manhattan, on a su que cela apparaîtrait comme complètement absurde, plus tard, si seulement le sommet de l’immeuble se serait effondré dans les rues et que le reste, intact, se serait brutalement « effondré ».

Lisa Guliani : Petit rappel : l’immeuble WTC7 n’a pas été lui-même frappé par un avion et n’a pas brûlé, mis à part deux petits foyers d’incendie rapidement maîtrisés au premier et au douzième étages. Comment allait-on expliquer l’effondrement soudain de cet immeuble, sans raison apparente, sous le regard de millions de téléspectateurs ? De surcroît, quelques pompiers avaient réussi à atteindre le 78ième étage de la tour WTC2 et avaient averti leur centrale que l’incendie pouvait être éteint moyennant l’engagement de quelques unités supplémentaires.

Victor Thorn: C’est précisément à ce moment-là que les conspirateurs du 11 septembre, installés dans le bunker de Giuliani, ont déclenché le signal d’alarme pour la tour WTC2 et, partant, amorcé sa destruction contrôlée, ce qui a fait qu’elle s’est effondrée par tassement sur ses propres bases, en chute quasi libre. Très peu de temps après, la tour WTC1 a subi le même sort, par le truchement d’explosifs préalablement installés, et amenés à explosion par télécommande au départ du vingt-troisième étage de l’immeuble WTC7. Après l’effondrement des deux tours, ce fut l’enfer à Manhattan, qui fut recouvert d’épais et gigantesques nuages de fumée et de poussière, qui dissimulaient tout ; ils provenaient du béton pulvérisé des gratte-ciel.

Q. : Comment l’immeuble WTC7 fut-il finalement détruit ?

Lisa Guliani : Pour les comploteurs du 11 septembre, le moment le plus favorable était venu pour annihiler la dernière preuve : le bunker du vingt-troisième étage. L’immeuble a été évacué et sous la protection de la fumée et de la poussière, la dernière destruction contrôlée a pu avoir lieu. Vu le chaos généralisé, qui a suivi l’effondrement de deux premières tours, les conspirateurs pouvaient aisément affirmer que des débris des tours jumelles étaient tombés sur l’immeuble WTC7 et avaient provoqué son effondrement. Nous affirmons, pour notre part, que leur plan initial prévoyait de faire s’effondrer l’immeuble WTC7 quand toute la zone était encore recouverte d’un épais nuage de poussière. La vue des observateurs était alors bouchée, surtout pour les caméras incontrôlées qui filmaient de toutes parts. Si l’immeuble WTC7, comme initialement prévu, avait pu être détruit plus tôt dans la journée, nous n’aurions probablement pas pu disposer de films impressionnants sur cette dernière destruction programmée. Tout comme les tours WTC1 et WTC2, l’immeuble WTC7 avait été truffé d’explosifs bien avant le 11 septembre. Nous affirmons que les comploteurs qui se profilent derrière ces événements de septembre 2001 ont dû nécessairement faire disparaître les traces du bunker du vingt-troisième étage. C’est pour cette raison que cet immeuble a été détruit le même jour à 17 h 20.

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Entretien paru dans « National-Zeitung », n°39/2007.
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