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:::::::: antisionisme ::
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Des alliés objectifs ? Un bilan !
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15/06/02 |
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18.47 t.u. |
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Comités Europe Palestine |
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Une mode paraît souffler sur nos milieux. Celle de dire que les israéliens et les sionistes doivent être considérés par les nationalistes européens comme des alliés objectifs contre l’Islam.
Cette mode est d’ailleurs loin d’être spontanée et est savamment mise en œuvre. Par qui et pourquoi fera l’objet d’un autre article.
Dans celui-ci, nous allons simplement égrener les nombreuses occasions où « nos alliés objectifs » se sont attaqués aux nationalistes. Pour ne pas oublier, pour rappeler qu’ils sont nos adversaires rusés mais néanmoins décidés et qu’aucune compromis n’est possible avec les sionistes. De par leur attitude, de par leur violence et de par leur haine de toute démarche identitaire européenne.
19 juin 1976 : Attaque par un commando sioniste du congrès de l’organisation nationaliste « l’Oeuvre Française » : 5 blessés.
18 décembre 1976 : A la suite d’une manifestation d’étudiants juifs de Belgique, quelques dizaines de militants se rendent devant une maison d’édition nationaliste « Les Editions du Baucens » à Braine le Comte, petite localité près de Bruxelles, dans le but manifeste d’en découdre. C’est grâce à l’intervention décidée de quelques militants nationalistes que les locaux seront épargnés.
18 mars 1978 : Attentat à la bombe contre un des responsables du FN, François Duprat qui décédera dans l’attentat qui est revendiqué par « le Commando des Fils et Filles de la Mémoire ».
octobre 1978 à juillet 79 : 5 attentats contre des locaux nationalistes à Paris(dont l’église traditionaliste de St Nicolas du Chardonnet…) revendiqués par les Brigades juives.
9 décembre 1979 : Attaque du XIVè Congrès du GRECE à Paris par une centaine d’individus se réclamant de l’Organisation Juive de Défense. Une quinzaine de participants au Congrès seront sérieusement blessés (l’un d’eux perdra un œil)
19 septembre 1980 : A la sortie du procès d’un dirigeant nationaliste à Paris, des militants isolés sont agressés par des dizaines de manifestants sionistes. Il y aura plusieurs blessés parmi les nationalistes
Octobre 1980 : Après l’attentat contre la synagogue de la rue Copernic, dont on sait aujourd’hui qu’elle fut sans doute l’oeuvre de groupes provenant du Moyen Orient, des locaux nationalistes sont saccagés. Dans le même esprit, à l’issue de manifestations d’organisations juives auxquelles participent des jeunes militants casqués et armés de barres de fer, de véritables ratonnades ont lieu contre tout qui porte les cheveux un peu court ou a un look trop nationaliste. Plusieurs locaux nationalistes essuieront des coups de feu. Un retraité, confondu avec un animateur d’une revue nationaliste, est défiguré au vitriol lors d’une action revendiquée par les Brigades juives. Un leader nationaliste est agressé et gravement blessé par de jeunes militants sionistes.
29 janvier 1981 : Un militant ultra nationaliste est défiguré au vitriol suite à l’attaque à Courbevoie de jeunes juifs membres du Front des Etudiants Juifs et de l’OJD. Les auteurs ne seront pas emprisonnés et s’enfuiront en Israël
10 mai 81 : La librairie nationaliste parisienne Grégori est saccagée. Les auteurs sont interpellés et se revendiquent d’un groupe sioniste nommé Pessah. L’un des membres du commando était par ailleurs inspecteur à la DST, le service de contre espionnage français.
18 septembre 1981 : Plusieurs dizaines de membres de l’OJD interrompent l’audience d’un procès intenté par un responsable nationaliste français à Pierre Bloch, président de la LICRA (Ligue International contre le Racisme et l’Antisémitisme)
1er août 1982 : Le local du Parti des Forces Nouvelles à Paris est saccagé. On retrouve des slogans sionistes et des croix de david graffités sur les murs.
8 mai 1985 : A l’issue du cortège de Jeanne d’Arc, 4 militants sionistes sont arrêtés pour avoir agressé un policier en civil. Pour leur défense, ils expliqueront qu’ils l’avaient pris pour un membre du service d’ordre du FN
30 décembre 1987 : Les locaux de National Hebdo sont attaqués et saccagés. L’action sera revendiquée par une Organisation Juive de Combat.
27 janvier 1988 : Les librairies nationalistes parisiennes « Ogmios » et « Bleu Blanc Rouge » sont attaquées et saccagées par une commando de l’OJC
25 février 1988 : Un commando du Front des Etudiants Juifs saccagent le local du GUD à la rue d’Assas
1er mai 1988 : 4 locaux du FN sont attaqués par l’OJC
8 mai 1988 : C’est cette même OJC qui revendiquera l’attaque du cortège traditionnel de Jeanne d’Arc. Attaque qui fera 8 blessés graves dont l’un sera un moment dans le coma.
7 septembre 1988 : Les locaux parisiens du FN sont cambriolés et saccagés. L’action est revendiquée par l’Organisation Juive de Défense
16 septembre 1988 : L’historien révisionniste Robert Faurisson est agressé et gravement blessé. L’agression est revendiqué par « Les Fils de la Mémoire juive »
18 mars 1989 : Incidents devant un stand nationaliste à la Foire du livre de Bruxelles suite à l’intervention de militants anarchistes et sionistes. Le stand devra finalement être évacué.
16 octobre 1989 : Attentat à la bombe contre le magazine nationaliste « Le Choc du mois », revendiqué par l’OJC
6 février 1990 : Des militants sionistes interrompent l’émission de télé « Ciel, mon mardi » en agressant sur le plateau, plusieurs des invités catalogués « extrême-droite »
1er mars 1990 : Bernard Notin, universitaire proche des milieux nationalistes est séquestré dans sa salle de cours par des membres de l’Union des Etudiants Juifs de France
13 mai 1990 : Des centaines de militants sionistes armés de manches de pioche, battes et autres couteaux, traquent les nationalistes isolés en marge de l’interdiction du cortège de Jeanne d’Arc, suite aux événements de Carpentras. Plusieurs passants sont blessés et la librairie Ogmios est une nouvelle fois agressée.
14 mai 1990 : Les événements de Carpentras seront l’occasion d’une nouvelle manifestation au cours de laquelle, des militants sionistes brisent la devanture d’un restaurant soupçonné d’avoir accueilli des réunions nationalistes.
22 mars 1991 : Des supposés révisionnistes sont agressés et frappés par des membres du Betar (groupe militant sioniste) à la sortie du procès de Faurisson à Paris
20 avril 1991 : Une réunion consacrée à Saint Loup est attaquée par un commando de 50 personnes équipées de barres de fer, de battes de base ball et de bombes à gaz. 13 personnes seront gravement blessées dont une passante de 71 ans qui tombera en coma profond. L’attentat est revendiqué par un Groupe d’action juive
19 novembre 1992 : 2 librairies nationalistes de Paris sont une nouvelle fois attaquées par un commando se revendiquant du sionisme.
Début 1993 : Un cocktail molotov explose dans une librairie bruxelloise mettant en vente des ouvrages révisionnistes. On parle de militants sionistes venus de Paris. A la même époque, un député nationaliste belge est évacué manu militari d’un débat à l’Université libre de Bruxelles par des militants sionistes. C’est sur le campus de la même université que se dérouleront plus tard des incidents entre colleurs d’affiches nationalistes et groupes sionistes.
23 février 1993 : des sympathisants nationalistes sont agressés au Palais de justice de Paris en marge d’un procès pour « racisme »
23 avril 1993 : 2 colleurs d’affiches du FN manquent d’être lynchés dans un quartier juif de Paris
13 avril 1994 : Lors d’un procès de hooligans du Paris St Germain, le Betar est présent et armé pour traquer les supporters soupçonnés de sympathies nationalistes
1er mai 1998 : des militants du Betar s ’en prennent à un autocar qui charge des manifestants du FN à l’issue du cortège de Jeanne d’Arc. La même année, des militans sionistes perturberont une messe en mémoire du maréchal Pétain
Ces derniers temps, les sionistes se font moins remarqués face aux nationalistes, préférant laisser faire la répression d’état ou manipuler les groupes tels que Ras’le Front ou autre Front Anti Fasciste. Sans doute aussi à cause de la seconde Intifada et de cette vaste manœuvre visant à orienter le combat nationaliste, uniquement dans la voie anti-immigré. Mais ceci est une autre histoire…
NB : Cette liste ne vise pas la communauté juive dans son ensemble mais uniquement une poignée de racistes sionistes fanatisés et à la solde des Sharon et autres Netanyahu.
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