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:::::::: histoire :: france et pays francophones ::

La gauche et la collaboration en Belgique

02/02/03 12.18 t.u.
Raoul Folcrey

La collaboration de gauche en Belgique? Elle prend son envol avec le
manifeste que Henri De Man, chef de file du Parti Ouvrier Belge (POB),
publie et diffuse dès le 28 juin 1940. De Man (1885-1953) a été agitateur
socialiste dès l'âge de 17 ans, polyglotte, correspondant en Belgique de la
social-démocratie allemande et des travaillistes britanniques avant 1914,
volontaire de guerre, diplomate au service du Roi Albert 1er, professeur à
Francfort avant le nazisme, initiateur du mouvement planiste en Europe dans
les années 30, ministre, président du POB; avec une telle biographie, il a
été sans conteste l'une des figures les plus marquantes du socialisme
marxiste européen. Hérétique du marxisme, sa vision du socialisme n'est pas
matérialiste, elle repose sur les mobiles psychologiques des masses
frustrées, aspirant à la dignité. Le socialisme, dans ce sens, est une
formidable revendication d'ordre éthique. Ascète, sportif, De Man, issu de
la bonne bourgeoisie anversoise, n'a jamais aimé le luxe. Le socialisme,
déduit-il de cette option personnelle, ne doit pas embourgeoiser les masses
mais leur apporter le nécessaire et les rendre spartiates. Avec son fameux
Plan du Travail de Noël 1933, De Man donne au socialisme une impulsion
volontariste et morale qui séduira les masses, les détournera du communisme
et du fascisme. Les intellectuels contestataires français, ceux que Loubet
del Bayle a nommé les "non-conformistes des années 30", s'enthousiasmeront
pour le Plan et pour ses implications éthiques. Pour l'équipe d'Esprit
(regroupée autour d'Emmanuel Mounier), d'Ordre Nouveau (Robert Aron et A.
Dandieu), de Lutte des Jeunes (Bertrand de Jouvenel), de l'Homme Nouveau
(Roditi), De Man devient une sorte de prophète. Côté socialiste, en France,
ce sera surtout le groupe "Révolution Constructive" (avec Georges Lefranc,
Robert Marjolin, etc.) qui se fera la caisse de résonnance des idées de
Henri De Man. Pierre Ganivet, alias Achille Dauphin-Meunier, adopte
également le planisme demanien dans sa revue syndicaliste révolutionnaire
L'Homme réel. Au sein du parti, Léon Blum craint le Plan du Travail:
- parce qu'il risque de diviser le parti;
- parce qu'il implique une économie mixte et tend à préserver voire à
consolider le secteur libre de l'économie;
- parce qu'il crée une sorte de "régime intermédiaire" entre le capitalisme
et le socialisme;
- parce que la critique du parlementarisme, implicite chez De Man, rapproche
son socialisme du fascisme.
Pour Déat, les idées planistes, exposées notamment par De Man à l'Abbaye de
Pontigny (septembre 1934), reflètent un pragmatisme de la liberté, une
approche de l'économie et de la société proche du New Deal de Roosevelt, et
ne relèvent nullement du vieux réformise social-démocrate. Le planisme,
avait affirmé Déat dans l'Homme Nouveau (n°6, juin 1934), n'impliquait
aucune politique de compromis ou de compromissions car il était
essentiellement révolutionnaire: il voulait agir sur les structures et les
institutions et les modifier de fond en comble. Presqu'au même moment, se
tenait un Congrès socialiste à Toulouse: la plupart des mandats de
"Révolution Constructive" s'alignent sur les propositions de Blum, sauf deux
délégués, parmi lesquels Georges Soulès, alias Raymond Abellio, représentant
le département de la Drôme. Georges Valois, proudhonien un moment proche de
l'AF, est hostile à De Man, sans doute pour des motifs personnels, mais
accentue, par ses publications, l'impact du courant para-planiste ou
dirigiste en France.
Or, à cette époque, pour bouleverser les institutions, pour jouer sur les
"structures", pour parfaire un plan, de quelque nature qu'il soit, il faut
un pouvoir autoritaire. Il faut inaugurer l'"ère des directeurs". Pratique
"directoriale", planification, etc. ne sont guère possible dans un régime
parlementaire où tout est soumis à discussion. Les socialistes éthiques,
ascètes et spartiates, anti-bourgeois et combatifs, méprisaient
souverainement les parlottes parlementaires qui ne résolvaient rien,
n'arrachaient pas à la misère les familles ouvrières frappées par le chômage
et la récession. Dans son terrible livre, La Cohue de 40, Léon Degrelle
croque avec la férocité qu'on lui connaît, un portrait du socialisme belge
en déliquescence et de De Man, surplombant cet aréopage de "vieux lendores
adipeux, aux visages brouillés, pareils à des tartes aux abricots qui ont
trop coulé dans la vitrine" (p. 175). De Man, et les plus jeunes militants
et intellectuels du parti, avaient pedu la foi dans la religion
démocratique.
Dès le déclenchement des hostilités, en septembre 1939, De Man opte
personnellement contre la guerre, pour la neutralité absolue de la Belgique,
proclamée par le Roi dès octobre 1936. Fin 1939, avec l'appui de quelques
jeunes militants flamands, dont Edgard Delvo, il fonde une revue, Leiding
(Direction), ouvertement orientée vers les conceptions totalitaires de
l'époque, dit Degrelle. Il serait peut-être plus juste de dire que le
socialisme planiste y devenait plus intransigeant et voulait unir, sans plus
perdre de temps, les citoyens lassés du parlementarisme en un front uni,
rassemblé derrière la personne du Roi Léopold III.
Après l'effondrement de mai-juin 1940, De Man publie un "manifeste aux
membres du POB", où figurent deux phrases qui lui ont été reprochées: "Pour
les classes laborieuses et pour le socialisme, cet effondrement d'un monde
décrépit, loin d'être un désastre, est une délivrance"; "[le verdict de la
guerre] est clair. Il condamne les régimes où les discours remplacent les
actes, où les responsabilités s'éparpillent dans le bavardage des
assemblées, où le slogan de la liberté individuelle sert d'oreiller à
l'égoïsme conservateur. Il appelle une époque où une élite, préférant la vie
dangereuse et rapide à la vie facile et lente, et cherchant la
responsabilité au lieu de la fuir, bâtira un monde nouveau".
Ces phrases tonifiantes, aux mâles accents, étaient suivies d'un appel à
construire le socialisme dans un cadre nouveau. Cet appel a été entendu. De
toutes pièces, De Man commence par créer un syndicat unique, l'UTMI (Union
des Travailleurs Manuels et Intellectuels), officiellement constitué le 22
novembre 1940, après d'âpres discussions avec le représentant du Front du
Travail allemand, le Dr. Voss. De Man, ami du Roi, voulait sauvegarder
l'unité belge: son syndicat serait dès lors unitaire, ne serait pas scindé
en une aile flamande et une aile wallonne. Le Dr. Voss, visant l'éclatement
du cadre belge en deux entités plus facilement absorbables par le Reich,
impose la présence des nationalistes flamands du VNV dans le comité central
composé de socialistes, de démocrates-chrétiens, de syndicalistes libéraux.
Edgard Delvo, ancien socialiste, auteur d'un ouvrage préfacé par De Man et
paru à Anvers en 1939, collaborateur de Leiding, la revue neutraliste
hostile à toute participation belge aux côtés des Anglais et des Français,
théoricien d'un "socialisme démocratique" ou plutôt d'un populisme
socialiste, est l'homme du VNV au sein de ce comité. En 1942, poussé par les
services du Front du Travail allemand, Delvo deviendra le maître absolu de
l'UTMI. Ce coup de force des nationalistes provoque la rupture entre De Man
et son syndicat: l'ancien chef du POB quitte Bruxelles et se réfugie en
Haute-Savoie, grâce à l'aide d'Otto Abetz. Il sera désormais un "cavalier
seul". Les socialistes, les libéraux et les jocistes quittent l'UTMI en
1942, laissant à Delvo les effectifs nationalistes flamands et wallons, peu
nombreux mais très résolus.
En Wallonie, dès la parution du Manifeste du 28 juin 1940, plusieurs
journalistes socialistes deviennent du jour au lendemain des zélotes enragés
de la collaboration. Ainsi, le Journal de Charleroi, organe socialiste bon
teint depuis des décennies, était édité par une société dont
l'aristocratique famille Bufquin des Essarts étaient largement propriétaire.
Dès les premiers jours de juin 40, un rédacteur du journal, J. Spilette
s'empare du journal et le fait paraître dès le 6, avant même d'avoir créé
une nouvelle société, ce qu'il fera le 8. En novembre 1940, Spilette,
avançant ses pions sans sourciller, s'était emparé de toute la petite presse
de la province du Hainaut et augmentait les ventes. Els De Bens, une
germaniste spécialisée dans l'histoire de la presse belge sous l'occupation,
écrit que l'influence de De Man était prépondérante dans le journal.
Spilette défendait, envers et contre les injonctions des autorités
allemandes, les positions de De Man: syndicat unique, augmentation des
salaires, etc. Spilette baptisait "national-socialisme" la forme
néo-demaniste de socialisme qu'il affichait dans son quotidien. Ensuite,
rompant avec De Man, Spilette et ses collaborateurs passent, non pas à la
collaboration modérée ou à la collaboration rexiste/degrellienne, mais à la
collaboration maximaliste, regroupée dans une association au nom évocateur:
l'AGRA, soit "Amis du Grand Reich Allemand". L'AGRA, dont le recrutement
était essentiellement composé de gens de gauche, s'opposait au rexisme de
Degrelle, marqué par un héritage catholique. Les deux formations finiront
par s'entendre en coordonnant leurs efforts pour recruter des hommes pour le
NSKK. Le 18 octobre 1941, le Journal de Charleroi fait de la surenchère: il
publie un manifeste corsé, celui du Mouvement National-Socialiste wallon, où
il est question de créer un "Etat raciste" wallon. Spilette appelle ses
concitoyens à rejoindre cette formation "authentiquement socialiste".
A Liège, le quotidien La Légia, après avoir été dirigé par des citoyens
allemands, tombe entre les mains de Pierre Hubermont, écrivain, lauréat d'un
prix de "littérature prolétarienne" à Paris en 1931, pour son roman Treize
hommes dans la mine. Les Allemands ou Belges de langue ou de souche
allemandes, actionnaires de la société ou rédacteurs du journal, entendaient
germaniser totalement le quotidien. Pierre Hubermont entend, lui, défendre
un enracinement wallon, socialiste et modérément germanophile. Cette option,
il la défendra dans une série de journaux culturels à plus petit tirage,
édités par la "Communauté Culturelle Wallonne" (CCW). Parmi ces journaux, La
Wallonie, revue culturelle de bon niveau. Dans ses éditoriaux, Hubermont
jette les bases idéologiques d'une collaboration germano-wallonne: défense
de l'originalité wallonne, rappel du passé millénaire commun entre Wallons
et Allemands, critique de la politique française visant, depuis Richelieu, à
annexer la rive gauche du Rhin, défense de l'UTMI et de ses spécificités
syndicales.
Fin 1943, les services de la SS envoient un certain Dr. Sommer en Wallonie
pour mettre sur pied des structures censées dépasser le maximalisme de
l'AGRA. Parmi elles: la Deutsch-Wallonische Arbeitsgemeinschaft, en abrégé
DEWAG, dirigée par un certain Ernest Ernaelsteen. Ce sera un échec. Malgré
l'appui financier de la SS. DEWAG tentera de se donner une base en noyautant
les "cercles wallons" de R. De Moor (AGRA), foyers de détente des ouvriers
wallons en Allemagne, et les "maisons wallonnes", dirigée par Paul Garain,
président de l'UTMI wallonne, qui pactisera avec Rex.
Quelles conclusion tirer de ce bref sommaire de la "collaboration de
gauche"? Quelles ont pu être les motivations de ces hommes, et plus
particulièrement de De Man, de Delvo et d'Hubermont (de son vrai nom Joseph
Jumeau)?
La réponse se trouve dans un mémoire rédigé par la soeur d'Hubermont, A.
Jumeau, pour demander sa libération. Mlle Jumeau analyse les motivations de
son frère, demeuré toujours socialiste dans l'âme. "Une cause pour laquelle
mon frère restait fanatiquement attaché, en dehors des questions
d'humanisme, était celle de l'Europe. Il était d'ailleurs Européen dans la
mesure où il était humaniste, considérant l'Europe comme la Patrie de
l'humanisme (...) Cette cause européenne avait été celle du socialisme
depuis ses débuts. L'internationalisme du 19° siècle n'était-il pas surtout
européen et pro-germanique? L'expérience de 1914-1918 n'avait pas guéri les
partis socialistes de leur germanophilie (...). ... la direction du parti
socialiste était pro-allemande. Et, au moment de l'occupation de la Ruhr,
..., [mon frère] a dû aligner son opinion sur celle de Vandervelde (ndlr:
chef du parti socialiste belge) et de De Brouckère (ndlr: autre leader
socialiste), qui étaient opposés aux mesures de sanctions contre
l'Allemagne. Le peuple (ndlr: journal officiel du POB), jusqu'en 1933,
c'est-à-dire jusqu'à la prise du pouvoir par Hitler, a pris délibérément et
systématiquement fait et cause pour l'Allemagne, dans toutes les
controverses internationales. Il a systématiquement préconisé le désarmement
de la France et de la Belgique, alors que tout démontrait la volonté de
l'Allemagne de prendre sa revanche. Mon frère (...) n'avait pu du jour au
lendemain opérer le retournement qui fut celui des politiciens socialistes.
Pour lui, si l'Allemagne avait été une victime du traité de Versailles avant
1933, elle l'était aussi après 1933 (...). Et si la cause de l'unité
européenne était bonne avant 1933, lorsque Briand s'en faisait le champion,
elle l'était toujours après 1933, même lorsque les Allemands la reprenaient
à leur compte (...). [Mon frère] partait de l'idée que la Belgique avait
toujours été le champ de bataille des puissances européennes rivales et que
la fin des guerres européennes, que l'unification de l'Europe, ferait ipso
facto la prospérité de la Belgique".
Tels étaient bien les ingrédients humanistes et internationalistes des
réflexes partagés par De Man, Delvo et Hubermont. Même s'ils n'ont pas pris
les mêmes options sur le plan pratique: De Man et Hubermont sont partisans
de l'unité belge, le premier, ami du Roi, étant centraliste, le second,
conscient des différences fondamentales entre Flamands et Wallons, étant
fédéraliste; Delvo sacrifie l'unité belge et rêve, avec ses camarades
nationalistes flamands, à une grande confédération des nations germaniques
et scandinaves, regroupées autour de l'Allemagne (ce point de vue était
partagé par Quisling en Norvège et Rost van Tonningen aux Pays-Bas). Mais
dans les trois cas, nous percevons 1) une hostilité aux guerres
inter-européennes, comme chez Briand, Stresemann et De Brinon; 2) une
volonté de créer une force politique internationale, capable d'intégrer les
nationalismes sans en gommer les spécificités; une inter-nationale
comportant forcément plusieurs nations solidaires; Delvo croira trouver cet
internationalisme dans le Front du Travail allemand du Dr. Ley; 3) une
aspiration à bâtir un socialisme en prise directe avec le peuple et ses
sentiments.
De Man connaîtra l'exil en Suisse, sans que Bruxelles n'ose réclamer son
extradition, car son procès découvrirait la couronne. Delvo sera condamné à
mort par contumace, vivra en exil en Allemagne pendant vingt-cinq ans,
reviendra à Bruxelles et rédigera trois livres pour expliquer son action.
Hubermont, lourdement condamné, sortira de prison et vivra presque
centenaire, oublié de tous.

Raoul FOLCREY.

Bibliographie:

- ANTHOONS, Johny: Hendrik De Man en zijn opvattingen over de parlementaire
democratie, mémoire en sciences politiques, Katholieke Universiteit te
Leuven, Februari 1985.
- BRELAZ, Michel: Henri De Man, une autre idée du socialisme, Editions des
Antipodes, Genève, 1985.
- DE BENS, Els: De belgische dagbladpers onder duitse censuur, 1940-1944,
DNB, Antwerpen/Utrecht, 1973.
- DEGRELLE, Léon: La cohue de 40, Avalon, Paris, 1991.
- DELCORD, Bernard: "A propos de quelques Œchapelles1 politico-littéraires
en Belgique (1919-1945)", in Cahiers du Centre de recherches et d'études
historiques de la seconde guerre mondiale, n°10, novembre 1986 (Place de
Louvain, 4, boite 19, B-1000 Bruxelles).
- DELVO, Edgard: Hedendaagsch humanistisch streven. Democratisch socialisme
en zijn beteekenis voor de BWP, De Sikkel, Antwerpen, 1939.
- DELVO, Edgard: Sociale collaboratie. Pleidooi voor een volksnationale
sociale politiek, DNB, Antwerpen/Amsterdam, 1975.
- DELVO, Edgard: De mens wikt... Terugblik op een wisselvallig leven, DNB,
Kapellen, 1978.
- DELVO, Edgard: Democratie in stormtij. Democratisch socialisme in de
crisisjaren dertig, DNB, Antwerpen/Amsterdam, 1983.
- DE MAN, Henri: L'idée socialiste, suivi du Plan de Travail, L'Eglantine,
Bruxelles, Grasset, Paris, 1935.
- HUBERMONT, Pierre: éditoriaux de Wallonie, 1941-1944.
- JUMEAU, A.: Bon sang ne peut mentir, mémoire édité par Mlle A. Jumeau,
s|ur de Pierre Hubermont, alias Joseph Jumeau. Bruxelles, 1949.
- LEFRANC, Georges, "La diffusion des idées planistes en France", in Revue
européenne des sciences sociales, Tome XII, 1974, n°31, Droz, Genève.
- PATER, Léon: "Les thèmes sociaux de l'idéologie utmiste", in Wallonie,
3°année, n°12, décembre 1943.
- PFAFF, Dr. A.A.J.: Hendrik De Man. Zijn wijsgerige fundering van het
moderne socialisme, Standaard, Antwerpen/Amsterdam, 1956.
- SLAMA, A.G.: "Henri De Man et les néo-traditionalistes français
(1933-1936)", in Revue européenne des sciences sociales, Tome XII, 1974,
n°31, Droz, Genève.
- SPILETTE, Joseph: "Haut les c|urs!", in Le Journal de Charleroi, 18/19
octobre 1941.
- STEUCKERS, Robert: "Henri De Man", in Etudes et Recherches, n°3, 1984
(revue publiée par le GRECE, Paris).
- VERHOEYEN, Etienne: "De Unie van Hand- en Geestesarbeiders", in E.
Verhoeyen e.a., Het minste kwaad, deel 9, België in de tweede
wereld-oorlog, DNB/Pelckmans, Kapellen, 1990.
- WILLEQUET, Jacques: La Belgique sous la botte. Résistances et
collaborations 1940-1945, Editions universitaires, Paris, 1986.
- Pour ce qui concerne l'|uvre de Henri De Man en général, consulter les
publications de l'"Association pour l'étude de l'|uvre d'Henri De Man", p.a.
Département d'histoire du droit et des doctrines juridiques et politiques,
Place de l'Université 3, CH-1211 Genève 4 (Suisse).


 
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