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Les Mythes et la guerre

06/11/04 14.39 t.u.
Ernesto Milà

Il n’existe pas de frontière bien définie entre histoire et mythe ; dans le fond ce ne sont que deux chaussées d’un même chemin. Il est permis d’aller plus loin et de se demander ce qui se passa sur le terrain mythique et quelles en furent les clés symboliques. Une fois de plus, les faits historiques parlent le langage des symboles.

Selon une interprétation que nous pouvons correctement appeler « optimiste » ou « illuministe », la conclusion victorieuse de la guerre par les armées alliées a inauguré une « ère de lumière ». Le fait important sur lequel se termina le conflit fut la création de l’ONU, qui devait assurer le maintien de la paix et de la fraternité mondiales et constituer l’embryon d’un gouvernement mondial

Ce n’est pas par hasard que la couleur bleu ciel du drapeau de l’ONU correspond à celle de la maçonnerie universelle, ni que ses premiers secrétaires généraux – Dag Hammarskjöld et U’Thant – étaient des membres éminents de cet ordre. Au fond, les idéaux « liberté, égalité, fraternité » ont été ceux qui ont vaincu dans le conflit, les mêmes que la maçonnerie avait élevés au rang de dogmes à partir de la révolution américaine et qui triomphèrent pour la première fois en Europe en 1789 avec la Révolution française. Ce sont bien ces mêmes idéaux qui ont rayonné au niveau universel en 1945, et le bâtiment de l’ONU à Manhattan est là pour le démontrer.

L’ère de la lumière devait supposer un nouvel âge d’or pour l’humanité qui, parfois, tend à être confondu avec l’Ere du Verseau et le New Age, mais un peu plus de cinquante ans après la fin de la guerre on ne peut pas manquer de se demander si, mises à part les bonnes intentions, nous pouvons continuer à soutenir que nous vivons aujourd’hui dans une période de paix, de fraternité et d’illumination.

L’autre attitude possible est celle de ceux qui pensent qu’en 1945 ne commence rien de nouveau, mais s’accélère plutôt un processus de décadence généralisée et de désintégration qui, cinquante ans plus tard, continue de manière vertigineuse. Selon cette thèse, la victoire de 1945, si elle a inauguré quelque chose, a inauguré seulement la phase terminale et crépusculaire de la civilisation. Ce qui jusqu’en 1939 était ressenti comme un processus de décadence, s’est accéléré de manière spectaculaire et spécialement à partir de 1945, jusqu’à atteindre une teinte pré-apocalyptique en 1999 (date établie par Nostradamus comme fin du présent cycle).

Dans la première thèse se rangent les Etats démocratiques, les institutions comme la franc- maçonnerie avec ses différentes obédiences, les mouvements occultistes contemporains et les partisans du New Age. Dans la seconde apparaissent les représentants des religions traditionnelles (essentiellement de l’hindouisme, du bouddhisme, de l’islam et de quelques secteurs catholiques et ésotériques ayant René Guénon comme inspirateur).

L’ERE DE LUMIERE ESPEREE APRES LA FIN DE LA GUERRE N’EST JAMAIS ARRIVEE

Les religions et les doctrines traditionnelles ont toutes en commun la conception cyclique de l’histoire : à un âge d’or succèdent différents cycles de décadence, jusqu’à ce que finalement se produise un reverdissement du Cosmos ; c’est ainsi que des pires situations de putréfaction surgissent ensuite de nouvelles périodes d’expansion ; à la mort succède la résurrection.

En 1945 on avait droit de penser qu’avec la paix – c’est-à-dire dans la limite des désintégrations apportées par la guerre – viendrait la lumière : que rien ne serait plus comme avant, qu’on en avait fini avec les génocides, les bombardements, les massacres, la terreur contre les populations civiles, les dictatures et les totalitarismes. On avait la sensation que, sous le bleu ciel de l’ONU, une nouvelle aube dorée allait s’étendre sur la planète. Aujourd’hui, tout cela paraît tellement éloigné que nous pouvons seulement le considérer comme un mythe ingénu, suggéré pour tranquilliser les esprits ayant traversé entre 1936 et 1945 la terrible expérience de la guerre. Depuis 1945, une série de guerres limitées et de conflits locaux a causé plus de trente millions de morts. Etait-ce l’« ère de lumière » annoncée par la fin de la Grande Guerre ?

La tradition hindoue situe à notre époque ce qu’elle appelle le « Kali-Yuga », la période de la déesse Kali, la déesse de la destruction et de la mort ; contrepartie terrible de Brahmâ, le dieu créateur. La mythologie nordique, pour sa part, fait allusion à cette même époque comme à celle où survient le « crépuscule des dieux » ; les Latins disaient qu’avec la fin de Rome, le monde entrerait dans l’Age de Fer, âge de guerres et de conflits, âge de mort et de désolation.

Il y a quelque chose dans toutes ces descriptions qui nous évoque nécessairement les temps modernes : anomie (absence de normes morales et morales), conflit des pères contre les fils (rupture des générations), des Etats contre les Etats (nationalismes), des hommes contre les hommes (individualisme), contradiction entre l’homme et les structures (dimension inhumaine du système), entre l’homme et la Terre (catastrophes écologiques), entre l’homme et sa réalité intérieure (matérialisme), entre l’homme et la femme (lutte des sexes), etc. C’est la crise qui se répand partout et à une vitesse toujours plus grande. Nous ne sommes donc pas au début d’un cycle, mais à la fin d’un autre. Et cette phase terminale a été inaugurée avec la seconde guerre mondiale, s’accélérant jusqu’à nos jours.

1936-1945 : DEUX MYTHES S’AFFRONTENT

Dans la seconde guerre mondiale et dans la guerre civile espagnole, ne se sont pas affrontés seulement des pays et des idéologies et des camps opposés dans le domaine politique ; ce sont surtout des mythes qui se sont affrontés. Nous entendons par mythes les valeurs dominantes capables de créer à chaque moment des sensations, des suggestions et des stimulants dans la société, et qui naissent non tant d’analyses idéologiques, mais plutôt d’archétypes universels.

Dans le camp allié nous avons déjà fait allusion aux mythes dominants, dérivés de l’égalité, qui donnèrent naissance aux idéologies démo-libérales d’un côté, et au socialisme marxiste de l’autre, les deux reconnaissables par l’étiquette « liberté, égalité, fraternité ».

Ces valeurs peuvent être reconnues dans le camp républicain espagnol, dans l’idéologie républicaine de Roosevelt et de Churchill, et dans le communisme de Staline.

L’autre camp était guidé par un système d’archétypes complètement différents qui peuvent être synthétisés dans le triptyque qui fut à l’origine des Etats totalitaires et des mouvements fascistes : « ordre, autorité et hiérarchie ».

C’est à partir de ces valeurs que là où cette devise archétypique triompha, la société fut militarisée, la hiérarchisation devint la norme (et par conséquent l’autorité, puisque hiérarchie équivaut à différents niveaux d’autorité) et les Etats Totalitaires virent le jour. On objectera que le stalinisme participa autant à l’un qu’à l’autre ensemble mythique ; il finit peut-être par être l’une des plus féroces dictatures de notre époque, mais il ne faut pas oublier que l’idéal du communisme, à sa base, dérive des mythes fraternitaires et égalitaires. Dans le communisme, la dictature n’était pas une fin en soi, mais un moyen d’atteindre l’objectif égalitaire recherché. S’il a dérivé vers des horizons différents de ceux envisagés initialement, ceci est de la compétence de la seule historiographie, non de notre analyse des contenus symboliques et mythiques.

LES SYMBOLES EN LUTTE

Peu de guerres comme la seconde guerre mondiale virent une confrontation aussi décisive, susceptible d’être résumée en quelques symboles : la faucille et le marteau contre le svastika, le « V » de la victoire anglais contre le faisceau de licteur, le dollar contre le Soleil Levant...

Dans un camp se rangèrent ceux qui faisaient du svastika leur signe distinctif. Ce symbole, comme on le sait, est l’un des plus anciens du monde indo-européen, et indique le devenir et la rotation autour d’un centre immuable. Le svastika traditionnel a un sens de rotation dextrogyre (de droite à gauche) ; celui employé par les nazis était sinistrogyre (de gauche à droite). Pour certains ésotéristes, l’inversion de la rotation du svastika, plus que toute activité concrète des dirigeants nazis, serait le symptôme évident qui indiquerait un caractère satanique et maléfique dans le nazisme.

Egalement solaire était le signe distinctif de l’Empire Japonais, le Soleil Levant. Ce fut peut-être le Japon qui souffrit les transformations les plus dures après le conflit ; l’empereur renonça à être un « dieu vivant » et passa dans la catégorie des monarques « à l’occidentale », un représentant de son peuple ; la société shintoïste perdit du terrain au bénéfice des standards de production et de consommation à l’occidentale.

Cette transformation ne pouvait pas se faire sans un important conflit interne dont le récent attentat dans le métro de Tokyo avec le gaz Sarin n’est que l’un des multiples signes externes de la crise dérivée de la fin de la guerre mondiale qui affecte encore le Japon.

L’Italie fasciste récupéra l’aigle romaine et les douze faisceaux de licteur unis autour d’une hache. Les peuples italiques primitifs construisaient leurs armes sacrées avec des pierres sidérales : la hache sacrée qui figurait au centre du faisceau était faite précisément avec des pierres de météorites. Le « fascio litorio » uni à l’aigle était, de ce fait, un emblème aussi solaire que le svastika ou le pavillon de guerre japonais.

Face à eux s’aligna le symbole du dollar : deux colonnes unies par un serpent, animal tellurique tout comme l’était également l’emblème de la faucille et du marteau, les instruments utilisés pour cueillir les fruits de la terre et travailler les minéraux qui sortent de celle-ci. Et quant au « V » de la Victoire, son sommet descendant indique précisément la Terre-mère. [1]

Les mythes de hiérarchie qu’incarnaient les nazis, le fascisme et les impérialistes japonais, s’identifiaient parfaitement aux emblèmes de nature solaire. Pour sa part, le mythe de l’égalité, incarné par les alliés, s’exprimait dans les symboles telluriques. Il n’y a pas de hiérarchie sans élévation, il n’y a pas d’égalité sans horizontalité.

LE CONFLIT A LA LUMIERE DE L’ASTROLOGIE

Du point de vue astrologique, toute concentration de planètes lentes – de Jupiter à Pluton – dans un secteur du zodiaque, indique un caractère conflictuel. En prenant ce siècle comme exemple, durant lequel exista une plus faible distance entre les positions de ces planètes, un type de guerre singulièrement sanglant se produisit : il se produisit en 1914 avec la conjonction de Jupiter-Uranus dans le Verseau, juste au moment du début de la première guerre mondiale, et il se produisit à nouveau en 1941 avec la conjonction Jupiter-Uranus dans le Taureau : la seconde Grande Guerre.

Jupiter ayant la signification historique de pouvoir, sa relation avec Uranus (historiquement en rapport avec les impérialismes) nous donnera comme résultat un conflit entre des pouvoirs impérialistes opposés ; nous avons vu que cette opposition était déjà visible à partir des symboles : ceux qui font référence à la nature uranique et solaire (svastika, soleil levant, faisceau), selon ce déterminisme astrologique, ne pouvaient que finir par se heurter à ceux qui s’enracinent dans la nature tellurique et lunaire (faucille et marteau, dollar et « V »). Le fait que la conjonction était dans le signe du Taureau, signe tellurique, fit que la victoire se tourna nécessairement vers les alliés, dont la nature symbolique coïncidait avec ce symbole.

Hitler était convaincu qu’il allait mourir vers l’âge de cinquante ans ; d’où la rapidité qu’il montra tant pour arriver au pouvoir que pour déchaîner certaines de ses aventures les plus précipitées qui eurent pendant un certain temps des résultats positifs (accords de Munich, occupation de la Bohême-Moravie, annexion de l’Autriche), et qui ensuite produisirent le conflit (revendication du corridor de Dantzig, et ensuite attaque de l’URSS).

A ce sujet il est significatif que le début de la fin de l’hitlérisme ne commença pas avec la défaite de son armée par une autre armée alliée, mais par les forces cosmiques elle-mêmes : en effet, les blindés allemands furent arrêtés dans les faubourgs de Moscou à un pas de la victoire, par la glace et le froid les plus durs de ce siècle.

UNE FOLIE COLLECTIVE

Des millions de personnes perdirent la vie pendant la seconde guerre mondiale. Aujourd’hui pour les nouvelles générations il est effrayant et absurde de penser que tant d’êtres furent immolés par la suggestion de symboles, par le messianisme de quelques-uns et par les influences planétaires. La défense de la démocratie chez les Alliés, l’ordre nouveau des nazis, n’étaient que des superstructures qui répondaient à l’influence de causes plus profondes (symboliques et cosmiques, fondamentalement), qui se manifestaient à travers elles.

Mais les astres influencent seulement, ils ne conditionnent pas ; c’est la folie des hommes qui est seule capable de produire des épisodes destructeurs comme la seconde guerre mondiale. Platon le savait et c’est pourquoi il recommandait que ceux qui dirigent les destins des hommes ne soient pas soumis à l’influence des planètes ; il demandait que ce soient des hommes sages dans lesquels se manifesterait l’esprit des dieux. Aujourd’hui, ces dirigeants suivent sans apparaître, tandis que dans les cieux se présentent à nouveau des conjonctions planétaires qui suggèrent de mauvais présages et sur la Terre on entend à nouveau l’écho de prophéties apocalyptiques. Décidément, il n’y a rien nouveau sous le soleil.

PROPHETIES AYANT ANNONCE LA GUERRE

Des voyants de diverses époques ont annoncé le conflit avec plus ou moins de clarté. Au IIIè siècle apr. JC, Beroso, prêtre et astrologue chaldéen, prédit pour la moitié du XXe siècle « une conflagration et un déluge de feu qui en dérivera ».

Le prophétisme hébreu abonde en descriptions des persécutions que souffriront les juifs, bien qu’il n'indique pas à quelle époque elles se produiront. La célèbre prophétie trouvée dans le couvent français de Premol annonce qu’à des temps modernes « les loups affamés dévoreront les moutons » : le mouton est l’animal correspondant à Ariès, signe astrologique du peuple juif et le loup est identifié à Wotan, le dieu germanique de la guerre.

Saint Césarien d’Arles (470-542) annonça avec une précision stupéfiante la période des deux guerres mondiales comme un « horrible choc d’armées » dans lequel « le fer et le feu feront le siège de la Babylone des Gaules (Paris) », qui effectivement, fut occupée par les Allemands.

Au Xe siècle, la religieuse Hrowitha prédit la défaite allemande en Russie : « Mais quand la terre de Germanie sera couverte de neige, par les portes de l’Orient s’écoulera un déluge de sang ».

Et jusqu’à Nostradamus qui fit allusion à différentes occasions à des épisodes qui furent interprétés comme des événements, des personnages et des symboles de ce conflit.

Un compendium prophétique signé par un moine inconnu du XVIè siècle rend compte des deux guerres mondiales : « Eclatera une guerre dans laquelle les boulets de canon tomberont du ciel. Et éclatera alors une seconde guerre au cours de laquelle toute la création sera dérangée ».

SPENGLER ET LE REICH DE MILLE ANS

Oswald Spengler, le célèbre historien allemand, dans son livre « Années décisives », tente de démontrer que toute grande civilisation tombe victime de trois guerres. Peu avant la fin de la première guerre mondiale, il écrivait : « Comme la même génération ne peut pas entreprendre avec succès deux guerres successives et comme vingt-cinq années sont nécessaires pour former une nouvelle génération, la seconde guerre mondiale commencera en 1939. Celle-ci n’apportera aucune solution définitive et cela est naturel, parce qu’il faut s’attendre à une troisième guerre ».

Il comparait la civilisation occidentale avec Carthage qui succomba devant Rome dans les trois guerres puniques. Spengler prévoyait la troisième pour 1964...

Spengler concevait l’histoire comme une succession sans fin de cultures, dont chacune aurait une durée approximative de mille ans. Les nazis incorporèrent cette idée à leur arsenal de propagande : avec l’arrivée au pouvoir de Hitler commençait le Reich de mille ans.

Toutefois, Spengler – mort en 1936 – n’adhéra jamais au régime et déplora l’utilisation de son œuvre par les nazis.

[1] Ce choix des principaux symboles du camp « démocratique » nous semble très discutable. Pendant la période de la guerre et même dans l’après-guerre, c’est bien l’étoile rouge (soviétique, yougoslave, plus tard chinoise, viêt-minh, etc.) qui fut le symbole dominant dans le camp « socialiste ». Et c’est bien l’étoile blanche (de l’armée américaine) qui s’est imposée comme symbole dominant du camp « démocrate-capitaliste ». Le svastika solaire s’est donc retrouvé pris entre deux étoiles – une rouge et une blanche. Cela tendrait plutôt à montrer une opposition entre des symboles solaires (dans le camp « fasciste ») et des symboles nocturnes, lunaires (dans le camp « démocratique ») ; le coté « tellurique » de ces derniers nous paraît invisible. Pour ajouter à la confusion, le croissant islamique (symbole lunaire) était nettement du coté de l’Axe. En outre, l’opposition entre les couleurs nous paraît digne d’être soulignée : les deux étoiles « démocrates » sont de couleur claire, alors que les fascismes européens (à la différence des fascistes japonais) ont une prédilection marquée pour la couleur noire : le faisceau italien, le svastika nazi (il faut noter que le svastika hindou traditionnel est presque toujours représenté sous une couleur brillante : jaune safran ou orangé), la croix de l’armée allemande, les symboles et les uniformes de diverses organisations ou corps militaires du camp fasciste sont presque tous noirs – et le noir a toujours évoqué une nature maléfique dans la symbolique européenne. (NDT)

Cet article constitue un chapitre du livre d’Ernesto Milà « Ariosofia, Teosofia, Nazismo », pas encore publié en Espagne, mais en partie disponible (en espagnol) sur le site internet : http://usuarios.lycos.es/disidentes/

 
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