Bush et Kerry font partie de la même société secrète !
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17/10/04 |
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6.07 t.u. |
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National Zeitung |
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La guerre en Irak va-t-elle faire mordre la poussière à Bush? D’après les sondages effectués récemment, Kerry a fait meilleure figure lors du premier duel télévisé entre les deux candidats. Il a marqué des points surtout quand a été abordée la question irakienne. Kerry a qualifié, devant les caméras, la politique de Bush d’”erreur catastrophique”. D’après les instituts de sondage, l’actuel Président n’a pas contré les attaques de son rival de manière convaincante. Mais malgré ce spectacle orchestré, Bush et Kerry sont autant l’un que l’autre les obligés du lobby sioniste et ne cessent jamais de jurer fidélité à l’alliance américano-israélienne. C’est donc davantage chez les tenants de l’indéfectibilité de cette alliance que dans les coulisses de la politique américano-américaine qu’il faudra chercher à savoir si un éventuel changement de présidence affectera vraiment la politique de Washington au Proche- et au Moyen-Orient.
En ce qui concerne l’Allemagne, Bush a annoncé d’une bonne fraction du contingent américain stationné Outre-Rhin se retirera, afin de la mettre à disposition pour intervenir sur les “points chauds” de la politique mondiale. Quand on évoque la question du retrait des troupes US d’Allemagne, Kerry tourne autour du pot. Environ 70.000 GIs se trouvent encore sur le sol allemand. La présence de ces unités américaine coûte chaque année un minimum d’un milliard d’euro au contribuable allemand.
Lors des élections présidentielles américaines, on constate, par expérience, que seuls 50% des électeurs inscrits vont voter. Beaucoup de ces électeurs abstentionnistes devinent que les vrais maîtres des Etats-Unis ne sont pas ceux dont les noms figurent sur le bulletin de vote. Vidal, le célèbre écrivain américain, critique de manière toujours mordante l’établissement politique de son pays; il affirme que la plupart des dirigeants américains sont achetés par Wall Street. Le Président élu, qu’il soit républicain ou démocrate, n’est rien d’autre, d’après Vidal, que “le porte-paroles des consortiums” et doit, dès lors, susciter ici ou là une bonne guerre pour “maximiser les profits” des super-riches.
Dans le livre du Dr. Zimmermann, intitulé “Die wahren Machthaber in Washington” (= “Les vrais détenteurs du pouvoir à Washington”), on apprend que George W. Bush et John Kerry appartiennent tous deux à la même société secrète, la “Skull & Bones”, ou “Crâne et os”. Cela semble à première vue un scénario pour un film hollywoodien, mais le rituel d’initiation à cette espèce de secte consiste en ceci : les récipiendaires doivent, dans une pièce illuminée par des cierges, se coucher nus dans un cercueil ouvert, tandis que d’autres s’agitent autour de cette bière costumés en diables, en squelettes ou en autres figures macabres pour perpétrer des rituels de mauvais goût, en manipulant des crânes et des ossements humains. Ce rituel se déroule sur le campus de l’Université élitiste de Yale, plus précisément dans une salle souterraine construite en pierres et dépourvues de fenêtres, que l’on appelle la “Tombe” (= “The Tomb”). Lorsque l’on est accepté dans cette société, on est “baptisé” et l’on reçoit un nom, tenu secret et connu des seuls membres initiés de la fraternité. Chaque année, les “Bonesmen” se rencontrent sur l’île de Deer Island au milieu du fleuve Saint-Laurent, bien à l’abri des regards indiscrets.
[source : “National-Zeitung”, Munich, n°42/2004, 8 octobre 2004; ].
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