Dur le business made in Israël, en Irak ? À voir…
 |
12/06/03 |
 |
9.34 t.u. |
 |
Francois-Xavier Massa |
|
Nos lecteurs le savent Tel-Aviv, qui ne doute décidément de rien cherche à jouer un rôle dans la reconstruction de l’Irak occupé par les Forces de l’Axe américano-sioniste
Dans ce but, l’entité a demandé à Washington d'autoriser ses compagnies à jouer un rôle dans la reconstruction de l'Irak. une demande a été formulée par le ministre israélien des Affaires étrangères, Silvan Shalom, lors de son entretien avec l'envoyé spécial américain pour le Moyen-Orient, William Burns.
A priori, cette hypothèse est loin de faire l’unanimité.
À commencer, rapporte Guysen.Israël.News (11 juin 03), par le US Department of Commerce qui " n'a pas autorisé pour le moment les entreprises israéliennes à participer à la reconstruction de l'Irak car dans les prochains mois, le pays sera déclaré zone militaire interdite et la sécurité ne pourra y être assurée comme il se doit ".
Quant aux Irakiens, selon la même source, " Des annonces diffusées à Bagdad mettent en garde la population irakienne contre les hommes d'affaires israéliens et les espions du Mossad. Ils prétendent même qu'une ambassade israélienne ouvrira bientôt ses portes dans la capitale irakienne ".
Mais tout est loin d’être dit sur ce dossier.
En effet, rapporte le directeur du Centre de l'héritage des Juifs babyloniens, " Nous avons reçu des informations demandant à être vérifiées, concernant les biens des Juifs irakiens qui ont été nationalisés lors de leur immigration massive en Israël dans les années 1950 ".
Traiter l’exsangue Irak comme l’opulente Confédération helvétique, fallait oser, non ?…
|