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EDIT :: DELETE Notre analyse géopolitique et historique du drame d’Ossétie

05/09/04 19.01 t.u.
Synergies Européennes

Communiqué – 05 septembre 2004.

Après l’effroyable drame de Beslan, proclamons notre indéfectible solidarité avec les peuples ossète, russe et arménien dans le Caucase!

Pas un soldat turc, pas un soldat américain sur le territoire de l’ancien Empire des Tsars !

Pas de blanc-seing aux terroristes musulmans, aux assassins d’enfants !

Nous condamnons avec la plus extrême vigueur l’attentat horrible perpétrés contre les enfants de Beslan par la bestialité islamo-tchétchène, soutenue sans vergogne par la Turquie, par les Etats-Unis, par l’Arabie Saoudite et par la presse occidentale, dont, chez nous, le journal “Le Soir”, soutien inconditionnel, à Bruxelles, de la barbarie tchétchène. Le sang des enfants de Beslan, de leurs enseignants, de leurs parents, des soldats venus leur porter secours, des paramédicaux canardés dans le dos par la vermine tchétchène, a coulé : les journalistes du “Soir” en sont responsables, car ils ont donné aux assassins tchétchènes une sorte de poumon extérieur, un appui médiatique en Occident, sans lequel ils auraient certainement hésité à commettre, de manière récurrente, leurs abominables forfaits, qui éclipsent, en horreur, bien des crimes commis au cours de ces derniers siècles. Les faux humanistes du “Soir” ont montré ce qu’ils étaient : les complices de ceux qui ne respectent ni l’enfance, ni les écoles, ni les hôpitaux, ni les ambulanciers. Leurs belles gueules affectées d’humanistes auto-proclamés dissimulent bel et bien d’abjectes trognes d’assassins sadiques. Ils ont perdu le droit de donner des leçons à tous ceux qui ne partagent pas leurs opinions infâmes, et qu’ils traitent toujours allègrement de “liberticides”. Eux, ils tuent la liberté d’opinion et applaudissent aux actes des tueurs d’enfants.

Nous dénonçons également la lâcheté du gouvernement géorgien actuel, qui opprime le malheureux peuple ossète, en Ossétie du Sud, qui souhaite former une république de la Fédération de Russie avec l’Ossétie du Nord, l’ancienne “Alanie”, qui possède déjà ce statut d’autonomie. Le gouvernement géorgien entend offrir aux Etats-Unis une base militaire considérable dans le Caucase du Sud, qui contribuerait à l’encerclement de la Russie, à appuyer les anciennes revendications turques sur cette région, anciennement arménienne ou byzantine, et sur laquelle Ankara n’a évidemment aucun droit historique, pas plus que dans les Balkans européens ou sur la rive septentrionale de la Mer Noire ou dans l’Egée hellénique. Le crime innommable commis par la vermine terroriste tchétchène vise évidemment à accélérer la réalisation de ce plan turco-américain en faisant fléchir les fidèles d’entre les fidèles, les glorieux Ossètes, descendants des Alains, fier peuple de cavaliers de l’Antiquité. L’installation des troupes américaines et des instructeurs turcs en Géorgie est évidemment liée aux troubles en Ossétie, en Ingouchie et en Tchétchénie. L’objectif des Britanniques hier, des Américains aujourd’hui, a toujours été d’arracher au moins le flanc sud du Caucase à l’influence russe. Il n’y a donc personne qui se souvient de la Guerre de Crimée? Dans le “Grand Hospice occidental” (dixit Edward Limonov), l’amnésie semble vraiment avoir été hissée au rang de modèle existentiel!

Nous prônons une solidarité européenne —euro-russe— avec les peuples combattants d’origine indo-européenne de la Région du caucase, que ce soit en Ciscaucasie ou en Transcaucasie. Ils ont là-bas un droit d’aînesse et sont les seuls à pouvoir y apporter une paix impériale. Cette solidarité va évidemment aux Arméniens et aux Ossètes. L’objectif stratégique de cette solidarité vise bien sûr à maintenir et à fortifier la présence russe, donc européenne, en Ciscaucasie et en Transcaucasie, à fragiliser ou au moins à relativiser la position américaine en Géorgie, à conserver un glacis en face du Kurdistan “turc” et irakien, afin de ne pas perdre un tremplin en direction de la Mésopotamie, dont on ne connaît que trop l’importance stratégique et économique. La France, l’Allemagne, la Russie, la Belgique ont été exclues de l’Irak par l’invasion américaine. Nous ne pouvons pas nous permettre de perdre encore davantage d’atouts.

Nous constatons que l’effroyable tragédie de Beslan a eu lieu immédiatement après les manoeuvres communes russo-arméniennes dans la région d’Armavir le long de la frontière turque. Ces manoeuvres ont eu lieu en présence de l’ambassadeur russe Druykov, de militaires grecs et d’observateurs américains. Félicitons au passage la Grèce, pourtant membre de l’OTAN, qui n’hésite pas à montrer son indéfectible solidarité avec l’Arménie! Le ministre de la défense d’Arménie, Serge Sarksian, a annoncé que l’an prochain, ces manoeuvres traditionnelles mobiliseraient encore plus de forces. L’armée arménienne est en effet en train de s’étoffer considérablement : d’après le dernier numéro de la revue militaire russe “Voyenno-Promushlenny-Kurier” (n°32/25-31 août 2004), l’armée arménienne a augmenté son budget de 10%, le menant au chiffre de 82 millions de dollars. L’armée d’active compte 60.000 hommes, la réserve 300.000 (sur 3,2 millions d’habitants!) et la “réserve de la réserve”, prévoyant la mobilisation de tous les hommes de 15 à 59 ans, 350.000 autres combattants potentiels (la population des hommes de 15 à 59 ans s’élève à 810.000 unités). A cette masse considérable de combattants potentiels, il faut ajouter les 20.000 soldats d’active en poste dans le Haut-Karabagh, où, par ailleurs 60.000 réservistes sont prêts à prendre les armes contre les alliés azéris d’Ankara et de Washington. Cette armée dispose d’un matériel de pointe en missiles et en avions. L’armée russe y entretient 30 Mig-29, dernier cri, et plusieurs batteries de missiles S-300, dont la portée peut évidemment atteindre Ankara ou Bagdad. L’Arménie conserve ses traditions guerrières, si appréciées de nos croisés, venus les aider à repousser les Seldjoucides. Les Arméniens ont appris à l’Europe les techniques militaires de chevalerie, notamment, car ils étaient et demeurent un peuple de guerriers qui ne craignent pas la mort. Encerclés depuis des siècles par des envahisseurs turcophones, dont la présence est illégitime dans la région (il n’y a là-bas de légitimité que Byzance et ses héritières), ils montrent qu’ils ne cèderont pas, qu’ils transformeront leurs montagnes en un nid d’aigle inexpugnable. La solidarité entre Arméniens, Russes et Ossètes a obligé le camp adverse, islamo-turco-tchétchèno-terroriste, à adopter la stratégie de la terreur pour la terreur, du crime pour le crime, de la veulerie, à s’attaquer à de jeunes enfants, à des mères de familles, à des institutrices, à des infirmières, comme en 1995, où 1500 patients et personnels médicaux avaient été pris en otage par des bandits tchétchènes, amenés par Chamil Bassaïev, à Boudennovsk en Russie.

Le Président arménien Robert Kotcharian a exprimé sa solidarité totale avec la Russie et l’Ossétie, en des termes clairs et sans ambiguïtés, que nous partageons sans réserves. Le peuple d’Arménie offre aujourd’hui son sang pour sauver les victimes encore hospitalisées de Beslan, dans un admirable élan de solidarité. Serge Sarksian, ministre arménien de la défense, a précisé, aujourd’hui, 5 septembre 2004, que l’Arménie ne reculerait pas d’un pouce dans la question du Haut-Karabagh et qu’elle réclamait une liaison terrestre avec cette province enclavée, qui s’est libérée, les armes à la main, et sans assistance étrangère, du joug azéri. L’appui américain et turc à l’Azerbaïdjan s’est avéré vain dans cette affaire, ce qui prouve que la détermination et la fidélité à l’histoire sont des forces invincibles. Raison pour laquelle le camp américano-saoudo-turco-azéro-tchétchène a choisi la terreur aveugle, pour faire fléchir l’alliance russo-arméno-ossète, comme l’US Air Force devait phosphoriser des écoliers de Hambourg pour faire capituler l’Allemagne, il y a une soixantaine d’années. Mais la configuration géographique et géologique de l’Arménie n’est pas celle de la plaine d’Allemagne du Nord, ni celle de la dépression mésopotamienne. N’y entre pas qui veut.

La tragique affaire de l’école de Beslan nous amène tout naturellement à expliquer qui sont les Ossètes, ce peuple indo-européen du Caucase, parlant une langue proche de l’iranien ancien et du patchoune actuellement parlé en Afghanistan. Les Ossètes sont les 300.000 descendants des peuples cavaliers indo-européens de la haute antiquité, les Scythes, les Sarmates, les Sakes et les Alains, dont les sources du Bas-Empire romain font souvent mention. On sait que ces peuples cavaliers indo-européens ont été balayés par les envahisseurs hunno-turco-mongols, venu d’une région sibérienne située au nord de la Mandchourie, leur patrie initiale. Les Alains ont été repoussés vers les montagnes du Caucase, l’actuelle Ossétie du Nord ou “Alanie”. Les autres Alains ont rejoint, dans leur fuite en 370, les tribus germaniques et les ont accompagnées jusqu’en Espagne et en Afrique du Nord (cf. Lien). Leur roi Respendial est ainsi arrivé dans la péninsule ibérique. Des éléments de son peuple se sont éparpillés dans toute l’Europe occidentale, en Rhénanie et dans les Iles Britanniques, générant là-bas les légendes arthuriennes (nous y reviendrons, sur base de publications officielles et toutes récentes, émanant des armées polonaise et britannique). Après un affrontement avec les Wisigoths, la couronne des Alains passe aux Vandales, que les cavaliers alains accompagneront en Afrique du Nord. Ils introduisent également une “arme” nouvelle, les chiens de combat, que leurs descendants espagnols utiliseront contre les Maures et dans leurs guerres en Amérique. Les Ossètes, réfugiés dans le Caucase, donneront aussi à Byzance un “Magister militium”, Aspar. En 1767, ils seront libérés par les Russes. Leur langue sera codifiée par le poète Kosta Xetagurov (1859-1906). L’Académicien français Georges Dumézil sera le plus grand spécialiste des traditions et de la littérature épique des Ossètes (cf. G. Dumézil, “Romans de Scythie et d’alentour”, Payot, 1978). Toute l’oeuvre de Dumézil sur les peuples indo-européens dérive de sa découverte des traditions ossètes, tant celles-ci avaient gardé intact le fonds de notre identité la plus profonde : on mesure pleinement l’importance de ce peuple en suivant la démarche et en étudiant les travaux de Dumézil. Le folklore ossète est proprement époustouflant de beauté et de charme (cf. Lien ). C’est donc ce peuple admirable que la vermine tchétchène essaie, avec la complicité des Turcs, des Américains, des islamistes et des journalistes comme ceux du “Soir”, de génocider, car c’est une démarche proprement génocidaire de tuer de la sorte des enfants, une démarche génocidaire qui se place dans la suite logique du génocide turc contre les Arméniens. Nous lançons un appel solennel à lutter, dans toute l’Europe, de Dublin à Vladivostock, contre ce génocide pluriséculaire perpétré contre les Indo-Européens du Caucase.

A la tenacité turco-tchétchène dans ses entreprises de mort, il convient d’opposer des principes stratégiques clairs : dire par exemple que le Caucase dans son ensemble est soit aborigène (Ibériens, Géorgiens) soit indo-européen (Ossètes, Alains, Arméniens), soit de religion native soit de religion orthodoxe. Les autres peuplements et confessions y sont illégitimes. Cela ne signifie pas que nous refusions le droit de vivre à ces peuplements et confessions; nous affirmons haut et clair qu’ils n’ont tout simplement aucun droit à y déterminer la politique ou à y imposer d’autres lignes de projection géostratégiques et géopolitiques que celles, éternelles, des Scythes, de Rome, de Byzance, des Arméniens, des Croisés et des Tsars russes. Les poussées géopolitiques doivent s’élancer là-bas du Nord vers le Sud et non du Sud vers le Nord ou de l’Est vers l’Ouest. Pour les peuples européens, c’est une question de vie ou de mort : ceux qui, parmi nous, disent le contraire sont des traîtres ou des fous. Parce que le triomphe d’une géopolitique turque impliquerait l’étouffement définitif des Européens dans leur presqu’île ou des Russes dans la zone peu écouménique des forêts et des toundras. En tant qu’Européen, on ne peut être à la fois sain d’esprit et vouloir cet étouffement, cette mort lente.

P. I. Pectel, démocrate et dékabriste russe du début du 19ième siècle, sans nul doute proche de Dostoïevski, quand celui-ci revenait à des positions plus conservatrices, avait publié un mémorandum sur le Caucase, où il préconisait :

1) la conquête de tout l’espace situé entre la Russie, la Turquie ottomane et la Perse, afin de constituer un glacis défensif et de regagner les territoires perdus par Byzance à la suite de l’invasion seldjoucide.

2) de distinguer dans cette région les peuples pacifiques et les peuples “turbulents”, qu’il convenait de disperser, car s’ils n’acceptaient pas la géostratégie euro-russe, en tant que tard-venus dans la région, ils rendaient problématique l’illégitimité de leur présence et perdaient ipso facto le droit de résidence (comme les Hongrois après la défaite de Lechfeld en 955, modèle de conversion géopolitique que le pape Pie II, alias l’humaniste Æneas Sylvius Piccolomini, avait proposé, de manière honorable et chevaleresque mais en vain, au Sultan turc; le refus du Sultan démontre la haine viscérale des Ottomans pour l’Europe, car cette “conversion” leur aurait permis de grandes conquêtes en direction de la péninsule arabique et de l’Océan Indien).

3) d’installer des colonies russes (ou même allemandes) pour contrôler la région.

La reconquête russe avait commencé sous Ivan le Terrible (1530-1584), qui avait réussi à prendre Astrakhan et à couper la route aux invasions turco-mongoles venues d’Asie centrale. Pierre le Grand (1672-1725), dans sa Campagne contre les Perses, menée au moment où les Autrichiens dégagent leur capitale de l’encerclement ottoman et passent à la contre-attaque sous la dynamique impulsion d’Eugène de Savoie, conquiert le Daghestan et envahit l’Azerbaïdjan. Cette campagne militaire permet de comprendre l’importance hautement stratégique du Caucase dans l’affrontement millénaire entre l’Europe et l’Islam turc (La Perse ayant été “turquifiée”). Pierre le Grand et ses généraux constatent la nécessité de prendre pied au-delà de la chaîne montagneuse caucasienne. La Grande Guerre du Caucase, durera 70 ans, de 1802 à 1872, avec l’épisode qui a la source des drames actuels, la révolte tchétchèno-daghestanaise emmenée par un illuminé fanatique, l’Imam Chamyl. Pour emporter la victoire, la Russie a tablé sur sa diplomatie, sur les Cosaques du Terek et du Don et sur l’indéfectible alliance avec l’Arménie, dès l’époque de Catherine II.

Ivan le Terrible était notre allié à l’époque des guerres de Charles Quint contre les Ottomans et les pirates barbaresques (les “charmants” alliés de la royale crapule François I), de Don Juan d’Autriche au moment où il détruisit la flotte ottomane à Lépante. Pierre le Grand était l’allié d’Eugène de Savoie. Le Prince de Ligne était aux côtés de Catherine II et de Potemkine quand ils ont chassé les Turcs des rives septentrionales de la Mer Noire. Léopold I appuyait la Russie contre le sinistre trio anglo-franco-ottoman pendant la Guerre de Crimée. Notre histoire nous appelle à continuer le combat dans la fidélité. Et cette fidélité implique le soutien inconditionnel à la Russie de Poutine, à la courageuse Ossétie martyre, à l’Arménie du Président Kotcharian. Ceux qui ne sont pas de nos côtés sont des traîtres, abjects, veules, immondes. Dans ce combat, il n’y a pas de nuances, pas de place pour les circonlocutions lénifiantes. C’est le combat pour notre survie, c’est le combat qui doit annoncer une contre-attaque planétaire, visant à rejeter les Américains hors d’Eurasie, à réduire la Turquie à une peau de chagrin, à rendre aux Grecs, aux Arméniens, aux Ossètes et aux Kurdes ce qui leur est dû, à libérer Chypre, à contenir le Maroc au-delà de Gibraltar, à chasser les Pakistanais du Cachemire, à libérer les Philippines du terrorisme moro.

L’objectif des forces “mondialistes”, téléguidées depuis Washington, est de créer un espace “pan-caucasien” neutralisé, à dominante musulmane, évoquant l’autonomisme et l’indépendantisme. Cette stratégie vise à créer un glacis, en apparence neutre, mais totalement inféodé au projet américain de “Grand Moyen Orient”, qui prendra corps quand aura été éliminé l’Iran, aujourd’hui coincé entre les bases US d’Afghanistan et d’Irak. Quand ce projet sera devenu réalité, les Américains seront les maîtres de la “Terre du Milieu” (chère à la géopolitique de MacKinder) et disposeront, comme débouchés de leur industrie, des masses démographiques islamisées d’Egypte au Pakistan, du Kazakhstan au Yémen. L’Europe et la Russie seront déchues, réduites à des zones périphériques déclinantes. C’est pour réaliser ce double projet, de domination de la “Terre du Milieu” et de “marginalisation” de l’Europe et de la Russie que sont morts les malheureux enfants ossètes de Beslan.

Une logique que nous ne partageons pas.


Références :

- Ironie de l’histoire : notre plaidoyer ci-dessus est dérivé d’un point de vue officiel turc, dégoulinant de mauvaise foi, trouvé sur le site du ministère turc des affaires étrangères et vraisemblablement rédigé par un Tchétchène réfugié en Turquie (son patronyme est une graphie russifiée de “Hussein-ov”). Cf. Rauf A. Guseynov, “Ethnic Situation in the Caucasus”, Perceptions, Journal of International Affairs, vol. I, n°3, 1996 ou Lien ).

- Pour les faits et les dates (mais non pour le fonds, trop édulcoré comme d’habitude), cf. Jean-Louis VEYRAC, “Ciscaucasie – Originalité dans l’ensemble russe”, Lien ).

- deux articles bien documentés (mais pas nécessairement bien orientés) du “Monde Diplomatique” : Vicken Cheterian, “Les mille et une guerres du Caucase”, “Le Monde Diplomatique”, août 1994, ou Lien ). Et : Vicken Cheterian, “Réactions en chaîne dans le Caucase”, “Le Monde Diplomatique”, octobre 1996 ou Lien ).

 
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