14/10/03 16.14 t.u. François-Xavier Massa

Pour l’ancien Premier ministre colonial-socialiste, Lionel Jospin, la position de Paris, envers la guerre, contre l'Irak, était juste, mais elle n'a pas été, dixit l’intéressé, " correctement, défendue "…

Qu’entend par là ce fils d’apparatckik de Vichy ?

Ne cherchez pas ! Tout simplement que Paris s’est insuffisamment aplati devant l’Axe américano-sioniste.

C’est en tout cas, ce que “La Frisouille” a avoué au titre-phare de la gauche pro-US, Libération, lui confiant cette vérité-première que " La position française, à l'égard de la guerre, contre l'Irak, était des plus rationnelles ; mais nous n'avons pas su clarifier, dès le début, à notre allié, les États-Unis, nos raisons de principe, pour nous opposer à cette guerre ".

Et Sa Jospinitude d’ajouter que " Nous n'avons pas eu recours aux moyens diplomatiques, pour empêcher que nos divergences de vue, avec l'administration Bush, ne se transforment en une animosité profonde, entre la France et les États-Unis ".

Que déduire de ce prurit américanolâtre :

1. Que Jospin, à l’évidence, se contrefout allègrement du sort du peuple irakien occupé, torturé et martyrisé.

2. Seule préoccupation jospinienne évidente : nous avons déplu au maître américano-sioniste.

3. Pire, à se ses yeux glauques, nous nous sommes durablement fâché avec l’Oncle Sam.

À côté d’un tel à-plat-ventrisme, les propos (honnêtes) de Laurent Fabius, au moment de la guerre, donnent un éclairage nouveau de la nébuleuse social-démocrate franchouillarde.

A posteriori, (re) félicitons nos frères palestiniens qui avaient caillassé d’importance le petit Lionel…