09/11/02 10.47 t.u. Mouvement Nation

« Les terroristes (tchétchènes) doivent être poursuivis et tués, s’il le faut jusque dans leurs chiottes », telle est la phrase non édulcorée que l’on attribue à Vlamdimir Poutine à l’occasion du début de la seconde guerre de Tchétchénie.


Et au vu de sa réaction à la récente prise d’otages de Moscou, on peut dire qu’il ne s’agit pas de formules en l’air. Ce langage fort peu diplomatique et la politique de fermeté de Poutine vis-à-vis de l’islamisme tranchent en effet nettement avec la lâcheté des politiciens occidentaux, véritables collabos des temps modernes.


Et il ne s’agit pas ici d’une guerre contre le peuple tchétchène mais bien contre des groupes terroristes islamistes qui se servent d’un « nationalisme tchétchène » pour imposer la Charia aux portes de l’Europe.


De nombreux tchétchènes musulmans sont d’ailleurs loyalistes envers la Russie (la Tchétchénie possède d’ailleurs plusieurs députés à la Douma, le parlement russe). Ils ne veulent tout simplement pas d’une république islamique et c’est pourquoi ils sont souvent les premières victimes du terrorisme islamiste.


Et s’il est vrai que l’armée russe, encore largement corrompue au profit de certaines mafias, n’a pas toujours fait dans le détail avec les civils ; il semble clair que Poutine essaie aussi de faire le ménage de ce côté là et essaie de rétablir discipline, ordre et efficacité.


Et dans cette guerre qui risque de se rallumer, les nationalistes européens que nous sommes ne peuvent être que d’un seul camp : celui de l’armée russe contre l’impérialisme et le terrorisme islamiste largement financé par les saoudiens.


Mais les événements de Moscou ne sont qu’une des facettes de la tragédie à l’échelle mondiale qui semble se dérouler depuis le 11 septembre 2001. En effet, des tours de New York à l’attentat de Bali en passant par la prise d’otages de Moscou, l’attentat contre le pétrolier Limbourg et la mise à jour de dizaines de réseaux terroristes dormants dans le monde entier, on ne peut se poser qu’une question lancinante : la troisième guerre mondiale a-t-elle commencé le 11 septembre 2001 ?


Bien sûr, il ne s’agit plus d’une guerre déclarée officiellement. Mais d’une guerre bien plus terrible. Une guerre souvent invisible où n’importe qui, combattants ou non, peut en être victime. Une guerre où les éléments les plus fanatiques possèdent des armes de destruction massive. Une guerre dans laquelle, nombre de nos ennemis sont déjà dans nos rues. Une guerre pour laquelle, on peut craindre que l’Europe ne soit pas prête.


Mais si l’ennemi militaire est bien connu et devra être combattu tôt ou tard, il ne faudra pas non plus oublier qui sont les responsables moraux de cette guerre. C’est à dire ceux qui ont joué avec le feu, ceux qui ont imposé le modèle multiculturel en Europe, ceux qui ont armé et soutenu les islamistes en Bosnie, au Kosovo et même à une époque en Tchétchénie, ceux qui aujourd’hui aimeraient envoyer les soldats européens dans une guerre contre l’Irak qui, celle-là, ne nous concerne pas.


Ceux qui furent les responsables de la seconde guerre mondiale et d’ailleurs peut-être bien de la première aussi : nous voulons parlr des forces de l’argent qui sont au pouvoir aux Etats Unis d’Amérique…


C’est bien pour cela que si les Européens doivent se préparer à se défendre dans la conflagration qui s’annonce, ils ne doivent pas pour autant aller faire les guerres coloniales américaines.


Car pour nous, des terroristes restent des terroristes. Qu’ils soient islamistes ou même sionistes ou américains, il faut aller les butter. Quels qu’ils soient ! Et s’il le faut, jusque dans leurs chiottes..