C’est sous ce titre que sur son blog Boris Le Lay rend compte de la fondation du Mouvement des damnés de l’impérialisme. Nous reprenons c-dessous son texte.

Le samedi 22 mars 2008 restera dans l'histoire de l'hexagone comme un jour aux conséquences peut être révolutionnaires. En ce jour, dans la ville de Paris et à l'invitation du Fara Kémi Séba, tous les hommes et femmes dignes et fiers de leurs peuples respectifs s'étaient réunis.

Etaient présents des nationalistes indo-européens, dont le groupe « Droite Socialiste », mais aussi des membres d'Egalité et Réconciliation. Les panafricains étaient massivement présents tout comme les musulmans traditionnalistes. Conviés par le Fara, nous nous sommes rendus à ce meeting fondateur à la tête d'une délégation de 3 personnes.

Les panafricains avaient en effet été sensibles à notre extrême clarté: dignité raciale indo-européenne, anti-impérialisme, anti-sionisme, combat pour un nouvel ordre international fondé sur l'équité et la tradition. C'est pourquoi nous avons pu établir des contacts cordiaux avec nos frères de lutte kémites et nous rendre à cette réunion, avec joie et simplicité. Pour nous ce voyage fût d'autant plus riche d'enseignement qu'il se déroulait dans une ville ou le vice touche des sommets, ou la masse amorphe des européens se mêlent à des hommes de toute la terre séduits par les charmes de Babylone.

D'emblée la diversité favorise les échanges: nous nouons le dialogue avec un berbère traditionnaliste musulman. L'extraordinaire convergence de vues nous séduit mutuellement. Le terroriste vendu par la meute médiatique sioniste est bien loin de notre camarade qui nous met à l'aise et rit avec nous ! Nous croisons des membres d'Egalité et réconciliation venus assister aux débats. « Ca c'est de la convergence ! » nous lance l'un d'entre eux, nous ne pouvons nous empêcher de répondre « Ca c'est certain ! ». Les révolutionnaires en peau de lapin embourgeoisés seraient effrayés à la simple idée de quitter le confort intellectuel de la séparation voulue par la pieuvre. Mais pas pour nous autres ! Nous échangeons avant de pénétrer dans le lieu ou se tiendra la réunion: l'organisation est impeccable, seule la salle ne répond pas à l'attente, les participants sont trop nombreux ! Le Fara Kémi Séba est en effet protégé par des camarades de lutte dont le dévouement à la cause est visible. Amabilité et politesse sont de rigueur. Combien de mouvements politiques soit disant « nationalistes » devraient prendre exemple sur cette réalité ! On ne connaît que trop ces « camarades » nationalistes qui ne vous saluent jamais, sont mal habillés et demeurent imperturbablement irrascibles...

Rien de tout cela ici ! Service de sécurité solide et professionnel, militants dignes et déterminés, tout concourre à une ambiance de combat.

Et c'est bien à une veillée d'armes que nous allons assisté. La salle se remplit encore et toujours, le Fara n'est pas encore arrivé mais déjà la tension monte. Nationalistes blancs, panafricains et musulmans traditionnalistes sont silencieux. Les jeunes femmes s'assoient sur les chaises trop peu nombreuses.

Puis tout commence, Tobias jeune nationaliste européen annonce la couleur: il introduit le nouveau mouvement fondé sur l'idée de front commun avec chaque variante raciale représentée. Blancs, musulmans, Noirs, tous unis contre le refus de voir la fierté raciale, ethnique et religieuse rayée d'un trait de plume par la mafia cosmopolite aujourd'hui en guerre contre les peuples libres. Enfin, le Fara arrivé entre temps prend la parole. Le Fara, chacun le sait, a la maitrîse de l'art oratoire: aujourd'hui il est particulièrement en forme. Une heure et demie durant il va énoncer la genèse de son action, son évolution, l'idéal qui anime les participants, les moyens de l'action et l'éthique qui sera la base du mouvement.

Tout d'abord la fierté raciale. Oui, nous avons le droit d'être noir, blanc ou arabe et d'être fiers de nos ancêtres, de vouloir conserver ces héritages qui fondent l'humanité dans sa diversité. Oui nous pouvons et nous devons être fiers d'être Noir, Blanc, Arabe, Asiatique. Contrairement aux bobards de la mafia sioniste, le melting pot Talmudico-US n'est pas la seule option sur la table.

Ensuite l'union des forces nationalistes: le Fara l'indique, l'union des nationalistes blancs, des panafricains, des musulmans dignes est fondamentale si nous voulons avoir une chance de survivre au plan atlanto-sioniste de domination globale, plan qui suppose la destruction des identités, des terroirs, la marchandisation du vivant, le matérialisme délirant, la destruction du fait religieux et de la morale. Kémi Séba insiste: il n'y a pas d'humanité sans diversité et sans développement fidèle au génie de chaque race. Il s'agit d'inventer une alternative à « Benetton United of Colors »...le métissage industriel censé détruire les pôles de résistance que sont les peuples et leurs traditions face au rouleau compresseur mondialo-sioniste.

La salle adhère violemment au discours, les applaudissements fusent. Des indo-européistes acquiescent et le font savoir. Les kémites n'hésitent pas à faire éclater leur colère face aux manigances de la pieuvre tandis que les musulmans traditionnalistes insistent: "l'union est fondamentale pour notre survie !"

Le Fara annonce la stratégie sioniste de domination: diviser les peuples pour imposer son règne sans partage qui induirait la fin de l'humanité libre. Et en effet plus que jamais l'empire détruit nos peuples avec l'arme de l'immigration, de la multiculturalité, de la marchandisation des cultures, force les nations à s'entretuer économiquement, encourage la destruction des traditions sous couvert de nivellement démocratique.

Le Mouvement des Damnés de l'Impérialisme est né ! Les sionistes et leurs compères sont évoqués à de nombreuses reprises: l'enjeu est clair et défini, ce sera eux ou nous. Fini l'instrumentalisation de "Jerusalem Desir" et de la bande à Dray tandis que Sarközy Nagy Bocsai Mallah règne sur une France vaincue et prête allégeance au Nouvel Ordre Mondial à la tribune de l'ONU.Un ordre mondial qui serait entièrement dominé par le messie d'Israël.

Le Fara se veut explicite: si des noirs durant des émeutes s'en prennent à des blancs, le MDI fera connaître sa colère, une colère envers ceux qui feraient ainsi le jeu du sionisme et de sa guerre de civilisation. Mais cet avertissement vaut aussi aux idiots utiles blancs qui agiraient de même. La salle tonne sous les applaudissements, nationalistes blancs et kémites appuient et plébiscitent le discours.

L'objectif avoué du MDI est bien la destruction du sionisme en France. Une destruction préalable à la libération blanche, kémite et musulmane. Une destruction annoncant un retour des kémites sur leur Terre Mère afin de la relever, à l'instar des indo-européens libérés et des résistants musulmans en terre d'islam.

Une mise en garde qui glacera le sang des intéressés: la traîtrise sera châtiée et pas uniquement verbalement. Un éclair traverse l'oeil de nos camarades de lutte musulmans, toujours fiers avec leurs barbes viriles qui les distinguent. Les kémites applaudissent: de grands gaillards pour certains de deux mètres entrainés au combat. Des nationalistes européens l'affirment: « Kémi est excellent ».

Et pour notre part, nous le trouvons également.

Un mot d'ordre traverse la salle: « Faire le nettoyage dans nos rangs ». les noirs collaborateurs, les blancs "de villiéristes" et les chiens de garde du système sioniste, Fadela Amara et autres « collabeurs », tous doivent être matés s'ils ne se désolidaristent pas de la pieuvre.

Vient la fin du meeting et nous nous sentons réellement en phase ! La convergence racialiste, traditionnaliste et religieuse s'annonce pleine de promesse. Chrétiens, musulmans, kémites, blancs, noirs ou arabes, tous s'accordent. Le Fara salue chaque participant individuellement. Il embrasse chacun et donne une poignée de main ferme. L'homme dégage une vraie force, quelque chose de mystérieux. Nous en convenons: cette lutte à mort se fera entre frères de combat, ce que tous désormais sommes, chacun au nom de son peuple, de sa race, de son continent, sans compromission et sans capitulation.

Le sionisme a perdu une bataille symbolique: celle de l'imposture anti raciste et de la division. La fierté raciale fédère désormais Noirs, Blancs, Arabes et Asiatiques.

L'ennemi doit s'attendre à subir des pertes. Les traîtres à des représailles et à l'annihilation. Le Fara le promet: aucun membre du MDI ne sera touché sans que les coups soient rendus au centuple.