Le clonage apporte des solutions à nos peuples
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11/04/04 |
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17.48 t.u. |
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Michael Ferrari |
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A l’exception notable des moralisateurs bidons ou pseudo écolos personne ne manque d’applaudir les progrès de la science en matière de clonage.
A ceux qui continuent de hurler au viol de la nature, à la dénaturation de la vie, je tiens à signaler que ce n’est pas la science qui est mauvaise, mais seulement les hommes qui la mette en pratiquent qui peuvent l’être.
Tout le monde se plaint du vieillissement de la population, de la dénatalité…même les esclaves du système, bien que ces derniers ne voient pas le danger de l’immigration de substitution. Il est évident que le clonage apporte une solution à ce grave problème qui mine les pays d’Europe. Depuis les vagues de féminisme des deux dernières décennies, les femmes contrôlent totalement les naissances par le biais de l’IVG et des pilules diverses, et ont délaissé leur rôle de mères – qui pourtant n’a rien de dégradant bien au contraire il s’agit d’une noble tâche – pour se consacrer aux activités professionnelles (et accessoirement à la dénonciation des publicités qui « avilissent » la femme).
Et bien le clonage peut mettre fin à ce contrôle de la natalité par des femmes qui ne veulent plus l’être. Inutile d’expliquer de quelle manière tant cela est évident.
Cette relance de la natalité européenne par le biais du clonage peut – je dirais même doit – s’accompagner d’une politique eugéniste visant à l’amélioration de nos peuples ; le clonage pourra multiplier les éléments forts tant intellectuellement que physiquement et ainsi donner naissance à des peuples d’Europe plus solides !
Le seul intérêt n’est d’ailleurs pas la création de nouveaux citoyens. Au sein de ce monde moderne, les troubles liés à la santé se multiplient ; alcoolisme, tabagisme, « malbouffe » etc. font de plus en plus de ravages et engendrent cancers, tumeurs et autres destructions diverses. Le clonage pourra permettre la création d’organes neufs – plus de liste d’attente pour les opérations et les greffes – et donc l’élimination des conséquences de certaines maladies, voire des maladies elles mêmes à long terme.
Le clonage n’est pas seulement un bienfait pour les hommes, mais également pour l’écosystème ; la folie des hommes a détruit certaines espèces animales et en a mis en danger de nombreuses autres. Le clonage peut signifier la multiplication des espèces menacées, pensons aux pandas, à certains félins d’Afrique, aux baleines etc. et nous nous apercevons que les partisans du clonage se trouvent être les seuls véritables écologistes soucieux de préserver la nature ! Certains scientifiques espèrent même pouvoir un jour cloner des espèces disparues depuis longtemps !
Le clonage apparaît donc comme une science pouvant s’avérer salvatrice pour nos peuples. Une science pouvant mettre un terme au contrôle des naissances et à la fatale dénatalité orchestrée depuis des années par les féministes de type Simone Veil (née Jacob), qui pourra rajeunir les peuples européens et leur donner plus de force grâce à l’eugénisme.
Une science qui pourra également vaincre les maladies de plus en plus fréquentes engendrées par le système, et faire renaître une partie de la nature assassinée par les hommes.
Le plus grand défi est de s’assurer que le clonage et ses bienfaits potentiels ne soient pas placés entre de mauvaises mains. Ni dans celle de compagnies privées aux intentions douteuses, ni dans celle d’un état crapuleux. Répétons que les hommes sont capables de dénaturer les concepts les plus nobles et le clonage pourrait devenir source de catastrophes irréversibles s’il est placé entre les mains de parasites.
C’est pourquoi le clonage ne peut trouver son expression la plus vertueuse qu’au travers d’une volonté nationaliste tournée vers l’intérêt de notre peuple et de l’Europe.
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