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Saint-Denis outragé ; Saint-Denis martyrisé ; Saint-Denis libéré !

10/03/04 9.51 t.u.
Erwan Tison

Le procureur avait requis 12 mois avec sursis ce lundi 1er mars. C’est finalement 4 mois qui seront retenus contre Hervé Lalin, qui avait entarté le curé de la basilique Saint-Denis, tandis que ses joyeux complices, Marc Maregiano-Koenig et Rémi Margueritte écopent respectivement de deux et trois mois avec sursis. La mousse à raser doit donc être dorénavant classée comme " arme ", mais les amateurs pourront avantageusement se replier sur la crème Chantilly.

On se souvient qu’en septembre 2002, ledit curé avait ouvert toute grandes les portes de la nécropole royale à plusieurs centaines d’immigrés clandestins revendicatifs qui, à peine débarqués sur notre sol, bénéficiaient de la complicité de ces collabos d’un nouveau genre. La charité chrétienne est une chose, mais la trahison de l’intérêt national en est une autre. De fait, Bernard Berger, le curé collabo, s’était rendu responsable de la plus cinglante injure symbolique qui eût été faite au peuple français depuis le bombardement de la cathédrale de Reims par les Allemands en 1914. Nul doute qu’au regard de l’histoire, le curé-collabo sera montré comme un exemple de l’ignominie et de la servilité aux générations futures.

Son amour immodéré des étrangers du Tiers-Monde est chez lui plus fort que le sentiment de charité, sans quoi il se serait simplement contenté d’apporter son aide à quelques-uns de ses milliers de compatriotes dans la misère. Son amour immodéré des étrangers du Tiers-Monde est aussi plus fort que son respect de la loi : d’après l’article 21 de l’ordonnance de 1945, il s’exposait tout de même à un emprisonnement de cinq ans, pour avoir, " par aide directe ou indirecte, facilité l’entrée, la circulation ou le séjour irrégulier d’un étranger en France ". Mais le brave homme ne craignait évidemment rien, sûr qu’il était de son impunité dans une République qui semble s’être fixé comme objectif prioritaire l’ " intégration " à marche forcée de millions d’immigrés du Tiers-Monde, par une politique ruineuse, raciste, discriminatoire et finalement criminelle, au détriment des Français de souche qui se retrouvent aujourd’hui minoritaires en Ile-de-France.

En bon gaucho-démocrate, la cervelle pétrie depuis longtemps par la propagande tapageuse et omniprésente en faveur des idées mondialistes (Amour Sans Frontières, Extrémisme égalitaire, Tolérance absolue et autres élucubrations d’invertébrés), le curé Berger est fasciné par les étrangers de couleur et par tout ce qui vient du sud. La haine de leur propre peuple est vraiment ce qui caractérise le mieux les communistes et les gens de gauche en général, parce qu’ils assimilent l’ethnie européenne toute entière au capitalisme, et qu’ils la considère coupable d’exploiter le prolétariat mondial que représentent selon eux les masses du Tiers-Monde. Pour avoir été plusieurs années sous l’emprise de l’idéologie marxiste, je puis vous affirmer que cet amour délirant de l’étranger de couleur est une constante chez le petit occidental bourgeois, qui se croit révolutionnaire, mais qui ne fait qu’obéir inconsciemment aux mots d’ordres des oligarchies financières cosmopolites dont nous ne connaissons que trop bien le rôle dans l’instauration du monde sans frontières.

Le curé Berger a bon cœur : " J’ai de la compassion pour ce genre de gars ", lâche-t-il dans Le Parisien du 2 mars en parlant de nous. Il n’a en effet pas souhaité porter plainte. Ça aurait été " secondaire par rapport à la misère humaine de ces vies. Je ne voulais pas rajouter à la douleur de ces jeunes gens en déshérence " ! A moins peut-être qu’il ne voulait pas médiatiser une affaire où il apparaissait trop à son désavantage. Il est vrai que la photo du curé entarté était assez bien réussie, et les téléspectateurs du journal de 20 heures ont pu l’apprécier à sa juste valeur. Le pitoyable curé a eu la même réaction que Talleyrand, le " Prince des diplomates ", qui s’était fait giflé, " souffleté " par un énergumène qui l’avait assailli à la sortie de la basilique de Saint-Denis où venait d’avoir lieu une messe à la mémoire de Louis XVI. C’était le 20 janvier 1827. Le magnifique Talleyrand renonça lui aussi à poursuivre son agresseur pour ne pas grossir un scandale déjà suffisamment humiliant. Que signifiait donc tout ce bruit pour une bousculade ? Cent personnes l’avait vu, 100 000 en avaient parlé, 500 000 avaient lu les comptes rendus, mais peu importe, il n’y avait pas eu de soufflet. Victime, à la rigueur, il acceptait de l’être ; mais insulté, jamais ! Quand le roi Louis XVIII, peu après, lui demanda de ses nouvelles et, croyant bien faire, lui dit étourdiment que l’odieux auteur de la gifle serait puni, Talleyrand se raidit comme s’il venait d’en recevoir une seconde et, de son air le plus hautain, celui dont il foudroyait les fâcheux et les imbéciles, il répondit au roi : " Sire, c’était un coup de poing. " ! Et il est bien évident que le brave curé Berger eût préféré lui aussi pour sa réputation recevoir un coup de poing. N’en doutons pas : nous serions alors en prison, car la République sait défendre les prêtres aujourd’hui, à condition qu’ils soient collabos.

Curé, nous te remercions pour la " compassion " que tu dis éprouver pour nous, mais nous n’en avons guère besoin. Nous te plaignons beaucoup en revanche, parce qu’il arrivera forcément un jour où les étrangers que tu admires tant manifesteront ouvertement leur mépris pour ta coupable tolérance. Tu sentiras alors, les deux mains à plat sur ton autel, leur souffle chaud derrière ta nuque, tandis qu’ils balanceront l’encensoir dans la nef, par vengeance et dérision. A ce moment-là, de nouveau, et si tous les dieux de l’Olympe nous prêtent vie, nous serons là, une fois de plus, pour prendre l’inoubliable photo et pour la diffuser largement à nos compatriotes ; et tu peux être sûr que ce sera un baume au cœur pour beaucoup de catholiques trop longtemps outragés. salut curé, et à bientôt, qui sait ?

Bernard Reber est le président de l’association interreligieuse de Seine-Saint-Denis. C’était lui le plaignant ; lui et Michel Gué, le sacristain. Michel Gué est un bon gros barbu, un brave type, visiblement, qui n’a fait que défendre son curé. Voyant où était le danger pour la réputation de son maître, il s’est rué sur notre photographe pour lui arracher son appareil, mais une rafale d’encre en pleine poire l’a arrêté net. Il en est resté complètement ahuri, comme un gros lapin aux yeux rouges devant les phares d’une camionnette sur une route de campagne.

Bernard Reber a fait preuve de beaucoup plus d’audace en cette terrible journée. L’homme n’a pas hésité à poursuivre en hurlant l’arrière-garde des assaillants qui se dirigeaient vers le métro. Le dimanche matin, jour de marché à Saint-Denis, la population dans les rues est à 95 % d’origine immigrée. Reber se sentait donc très fort, et poursuivit les fuyards jusque sur le quai, vociférant et invitant les voyageurs à se saisir des trublions par la force. A quoi s’attendait-il donc, Bernard Reber : à un lynchage en règle par ses amis immigrés ? A ce que l’ennemi soit jeté sur les voies? Rien de tout cela ne s’est passé, et ses chers immigrés sont restés bien tranquillement en dehors de la querelle. L’énergumène s’était égosillé en vain.

Il faudra bien qu’un jour, il comprenne lui aussi que ce désir de fraternité interreligieuse risque d’être interprété comme une faiblesse insigne par les gens qu’il courtise avec une écœurante servilité. On pense ici à cette jeune anglaise qui était allé en Afrique du Sud à l’époque de l’Apartheid pour prendre la défense des Noirs opprimés. Le dégoût de son propre peuple que lui avait inspiré le système médiatique occidental à force de sempiternels rabâchages sur les soi-disant ignominies de l’homme blanc lui avait pervertit la conscience en profondeur. Les Africains qu’elle prétendait aimer si fort ont bien dû ressentir cette faiblesse et ce dégoût de soi. Leur mépris latent s’est mué en exaspération et la pauvrette a fini avec un pneu enflammé autour du cou. Tel fut le malheureux résultat de son engagement humanitaire.

Bernard Reber est un peu dans une situation comparable. Plaignons-le. L’individu ne s’est exprimé au procès que pour se plaindre que les entarteurs ne fussent pas condamnés aussi pour incitation à la haine raciale. Pourtant, ce chef d’inculpation leur avait été retiré par la juge d’instruction, et à juste raison, puisque c’est le curé, " collabo de l’invasion " qui était pris pour cible, et non les immigrés qu’il s’était permis d’héberger sur les tombeaux de nos rois. Bizarre ce Bernard : d’un côté, il manifeste contre les patriotes français une rancune tenace ; mais de l’autre, il ne demande pas de dommages et intérêts, salue poliment ses adversaires, et leur tend même la main après la fin du procès ! Le geste, aussi inattendu que saugrenu n’a pas été relevé. Ce devait être encore le fait d’une fascination inconsciente pour des individus dont les convictions écrasent son vide existentiel. On ne peut haïr cet homme ; il faut simplement l’éduquer.

Parlons un peu de ce procès : Nos amis ont attendu trois heures avant de passer devant les juges. Trois longues heures pendant lesquelles nous avons pu voir défiler un braqueur et quelques dealers, tous " plus Français que nous " ou en passe de le devenir, pour parler par euphémisme. Avec ces gars du Tiers-Monde, la présidente de la treizième chambre du tribunal correctionnel de Bobigny, Françoise Bouthier-Vergez, sait se montrer ferme, mais juste. Ce n’est que lorsque les cinq patriotes sont arrivés à la barre des accusés que le ton a brusquement changé et que madame la présidente est devenue cassante, cachant mal une haine évidente pour ce qu’ils représentaient, leur coupant la parole de manière cinglante, leur parlant comme des gitans à leurs chiens. On se souviendra de son œil gris, couleur de lame de couteau, de sa peau couleur de pierre – pas nette du tout – et de son inquiétant visage osseux, le genre à officier du côté de Novosibirsk ou de Krasnoïarsk en 1937.

Le procureur Nadine Perrin avait requis de la prison pour tout le monde. Pour des faits où il n’y avait eu aucune violence, comme le principal intéressé l’avait reconnu explicitement, c’était un peu lourd. Elle aussi a eu du mal à cacher ses sentiments à l’égard des patriotes français. Sa prise de bec avec maître Delcroix, avocat de Guillaume Duchesne fit des étincelles et obligea la présidente à lever la séance pour calmer les esprits.

Bien entendu, les journalistes en ont remis une couche, sans soulever toutes les élucubrations qui avaient été dites après les arrestations, où l’on faisait passer un militant pour un terroriste en puissance. Ça leur aurait arraché la gueule de s’excuser. Parmi eux, il y avait cette journaliste arabe que nous avons approchée devant la salle d’audience et qui avait les cheveux couverts par un voile : " Vous travaillez pour quel journal ? " – " France Soir ", répondit-elle. Et pourtant, son article insultant sur " Les Dalton du Troisième Reich " est signée Marie Nossereau. On pensait que ce genre de travestissement était plutôt l’apanage d’un autre communauté...

On regrettera aussi quelques propos déplacés d’un responsable identitaire niçois qui avait cru bon de déclarer à la presse au moment des gardes à vue que la plupart des militants étaient des membres d’Unité Radicale, alors que sur les quatorze personnes qui étaient effectivement à la basilique, un seul était membre du fameux mouvement. Après l’affaire Maxime Brunerie du 14 juillet 2002, ce n’était pas un service à leur rendre, et c’était être mal inspiré que de se faire un peu de publicité à leur détriment.

Voilà. Il y aurait encore beaucoup de choses à dire, notamment sur le statut de " témoin assisté ", et sur la forfanterie de certains avocats de « notre milieu », qui se vantent de sauver leur client des affres des procédures judiciaires alors que cette incrimination pénale ne peut être que celle des prévenus trop loquaces.

L’affaire de Saint-Denis a été démesurément grossie quelques semaines avant les élections régionales. Il faut savoir que le Système a déjà programmé en cour d’assises l’affaire des policiers " ripoux " proches du FN pour le 17 mars prochain, afin de tenter de salir le mouvement patriotique juste avant les élections. Si c’est là le seul coup tordu des ultradémocrates cette année, on pourra s’estimer heureux.

Erwan Tison

 
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