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Mardi, 20 Février 2007
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Interview de Fari Taharka, porte-parole national du Fara Kemi Seba
Rédaction
Tribune libre
Interview de Fari Taharka, porte-parole national du Fara Kemi Seba
Suite à l’arrestation de Kémi Séba et deux de ses collaborateurs, nous avons tenu à recueillir le témoignage de l’un de ses porte-parole, Fari Taharka.

Le Fara Kémi Séba défend un national-sépartisme ethnique noir dont les bases sont très éloignées de notre idéologie, il nous a cependant paru intéressant de contribuer à faire connaître cette voix particulièrement libre et “politiquement incorrecte”


Fari Taharka, nous avons appris que le Fara Kemi Seba et deux de ses proches collaborateurs, notamment son conseiller politique et porte-parole le Dr Héry Sechat, ainsi qu’un membre de sa garde rapprochée, ont été incarcéré le vendredi 9 Février 2007. Que s’est-il donc passé ? Quelle est votre version, vous qui étiez présent?

Fari Taharka : Bonjour à vous. En effet le Fara et deux de ses proches collaborateurs ont été écroués et condamnés à des peines de prison ferme, pour des motifs aussi funestes que l’outrage à agent ou encore la rébellion. Le Fara a écopé de cinq (5) mois de prison pour avoir tenu ces propos, à l’égard d’une police dite française mais en réalité soumise à l’autorité d’un pays étranger qu’est Israël : « vous vous couchez devant Cukierman [ex-banquier chez Lazare, et actuel président du CRIF], et vous croyez parler au nom de la République française…quelle honte…vous me donner envie de gerber ». C’est sur la base de ses dires, notamment « vous me donnez envie de gerber » que le tribunal correctionnel de Chartres, sous l’autorité de la juge Trioux, a condamné en jugement par comparution immédiate, le Fara ainsi que ses deux collaborateurs Héry Sechat et Konga à respectivement cinq (5) mois, 2 (deux) mois et trois (3) mois de prison.

Qu’en est-il alors des provocation et des violences dont vous auriez fait usage face à la police, comme le rapporte les médias ?

Fari Taharka : Si vous faites une petite recherche sur Internet, vous trouverez des vidéos très explicites. Vidéos qui montrent, contrairement à ce qu’avancent les journalistes, qui ont tout de même témoigné contre le Fara et ses collaborateurs, que la violence était l’apanage exclusive des forces de l’ordre commandées par le commissaire divisionnaire Erick Dégas, un policier épinglé à plusieurs reprises par le Syndicat de la magistrature des Yvelines, à l’époque où il exerçait ses fonctions de commissaire à Poissy. Il s’était fait une spécialité dans la violence envers les Noirs. Et nous ne sommes nullement surpris de son attitude sioniste, lors de cette interpellation musclée. Nullement surpris de voir ce commissaire se précipiter sur les caméras en présence pour les empêcher de filmer, pendant que ses hommes se ruaient sur le Fara. Il serait intéressant de se pencher sur les états de service de cet homme qui est quand même Directeur de la sécurité publique du département d’Eure-Et-Loir. Les Français ont le droit de savoir qui sont les personnes qui sont sensées les protéger. Ce qu’elles ont fait, et à quels groupes d’intérêt elles se sont ralliées !

Que voulez-vous dire par là ?

Fari Taharka : Je ne dis là rien d’extraordinaire, c’est juste un constat. Constat que le Fara, bien avant moi, avait porté au grand jour. A savoir qu’il y a des hommes et des femmes de ce pays qui roulent pour des intérêts étrangers à ceux des Français, donc à ceux de la France. Et ces personnes se retrouvent dans les plus hautes fonctions de l’Etat, des institutions républicaines, de l’administration, des entreprises, des banques, des médias, etc. Ces personnes, que l’ont pourrait qualifier de « racailles sionistes » se sont données comme mission de diviser les Français, de museler ceux qui comme le Fara les démasquent, les indexent, les combattent.

Vous pensez donc que le Fara Kemi Seba et ses collaborateurs ont été emprisonnés non pas au motif d’outrage à agent ou de rébellion mais pour des raisons politiques ?

Fari Taharka : Parfaitement ! Ils n’ont pas été arrêtés pour autre chose. Sinon comment expliquer que quelques jours avant la venue du Fara à Chartres, Pupponi, maire de Sarcelles s’alarme dans les médias de la montée de GKS [Génération Kémi Séba] à Sarcelles ? Le travail de terrain qu’effectuent les équipes du Fara à Sarcelles porte ses fruits, si bien que c’est revenu aux oreilles de Pupponi qui a alerté son « ami » Sarkozy, ministre de l’intérieur, pour tout mettre en œuvre pour arrêter le Fara Kémi Séba. D’ailleurs quelques jours après l’incarcération du Fara, le même Pupponi passait aux aveux sur les ondes de RCJ (une des radios communautaires juives). La vérité, c’est que la candidature de Kémi Séba à Sarcelles fait peur. Imaginer un Kémite maire d’une ville comme Sarcelles est un danger pour la pieuvre sioniste. Car cela montrerait aux Français qu’ils n’ont pas besoin de ces « vampires » pour résoudre leurs problèmes sociaux et autres. Ces maffieux aiment voir le Noir, soumis, toujours dépendant d’eux. Or le Fara délivre un discours de connaissance de soi, d’amour de soi, d’auto-responsabilisation. Après avoir créé politiquement Kémi Séba, Sarkozy et sa clique regrettent la dissolution de la Tribu Ka, alors ils essaient de colmater la brèche, mais en vain. Et cette incarcération du Fara et des ses frères Féry Séchat et Konga est une réponse politique à ce problème épineux. En ce sens Kémi Séba, Héry Séchat et Konga sont des prisonniers politiques, des otages de Sarkozy !

Vous avez déclaré lors d’une conférence de presse que vos antennes sont en alerte et que vous comptiez débouter les sionistes hors de France. Comment comptez-vous vous y prendre ? Par la violence comme en octobre 2005 lors de l’embrasement des banlieues?

Fari Taharka : Surtout par l’intelligence ! Car c’est le seul moyen de nous débarrasser de ce cancer de l’Humanité qu’est le système sioniste. Cette mafia se nourrit principalement des erreurs que nous commettons, de nos faiblesses d’analyse, de notre indigence intellectuelle. Aujourd’hui, ces « racailles » ont affaire avec des hommes et des femmes dignes et intelligents. Et la réponse du Fara à ça sera cinglante, c’est moi qui vous le dis !

Vous voulez sûrement faire référence à l’inoubliable menace du Fara, « le sang va couler » je présume?

Fari Taharka : Je fais surtout référence à la réponse qui sera apportée à tous ces antikémites, tous ces descendants de négriers, ces descendants d’esclavagistes, qui ont conscience que leur fin approche à vive allure ! La fin de leur oppression est proche !

Le Samedi 24 Février 2007, vous organisez une mobilisation, dîtes-nous en plus !

Fari Taharka : Effectivement avec le Comité de Soutien à Kémi Séba, qui compte des personnalités de la communauté noire comme Dieudonné, Princesse Erika, Dominique Tauliot (Média Tropical) Doumbi Fakoly (essayiste), le Professeur Coovi-Gomez (historien-philosophe), Claudy Siar, Joby Valente, René Etilé (Africamaat), Pr. Asante (Temple University, Philadelphie, USA), le Pr. Abel Goumba (ancien Président par Intérim et ancien Premier Ministre du Centrafrique) et bien d’autres, nous organisons un sitting, au parvis des Droits de l’Homme pour soutenir nos frères emprisonnés, mais aussi pour lancer un message très fort à la « pieuvre », afin qu’elle sache que nous sommes décidés à la aller jusqu’au bout !

Nous savons que vous avez un ancrage dans les quartiers, et en province via les antennes de GKS. Quel est le ressenti de vos troupes dans les quartiers et dans vos antennes ? Est-ce que l’emprisonnement de votre leader et de ses deux collaborateurs sonne comme un coup d’arrêt ?

Fari Taharka : Vous savez, le frère Héry Séchat, conseiller politique et porte-parole national du Fara, vient de nous envoyer une lettre (publiée sur le site http://www.seba-wsr.com) dans laquelle il dit ceci : « Tout ce qui ne tue pas rend plus fort ». Le Fara est plus fort que jamais. Il bénéficie d’une aura extraordinaire. Cette incarcération au lieu de le freiner comme l’auraient souhaiter les sionistes, n’a fait que regonfler son crédit aussi bien auprès des populations kémites, que des autres. Tous ceux et celles qui le critiquaient hier sont aujourd’hui avec lui dans son comité de soutien et reconnaissent en lui le seul leader. Cette condamnation a eu pour effet de fédérer une communauté divisée, dispersée. Et pour cela je remercie du fond du cœur Sarkozy d’avoir commis cette erreur monumentale, et d’être à nouveau tombé dans le piège du Fara. Je remercie les médias de faire un black-out absolu sur cette affaire, démontrant une nouvelle fois que l’injustice est tolérée, acceptée dans ce pays quand elle touche un « goy », pour reprendre un terme cher à monsieur Cukierman. En miroir vous avez les fausses histoires d’agressions antisémites qui sont montées en épingles et inondent les médias jusqu’à l’asphyxie.

Vraiment cette étape qu’est la prison finit d’asseoir le statut de leader incontestable du Fara. Cette expérience aussi douloureuse soit-elle fait du Fara le champion de l’antisionisme, de la lutte contre l’impérialisme sioniste qui gangrène l’Humanité entière. Et une fois de plus nous remercions Sarkozy pour son manque de stratégie, pour ce buzz qu’il nous offre, pour nous aider à le débouter lui et sa bande du pouvoir qu’ils ont vampirisé !

Donc je présume que le combat pour Sarcelles est toujours d’actualité ?

Fari Taharka : Oui ! Plus que jamais !

Le 22 Mars 2007, a lieu à Chartres le procès du Fara pour incitation à la haine raciale et propos à caractères antisémites. S’il est condamné, ça en sera finit pour Sarcelles, non ?

Fari Taharka : Ecoutez même si la France est sous occupation sioniste, rien est joué à l’avance. Pour ce procès, contrairement à la dernière fois, où il s’agissait d’une comparution immédiate, nous serons mobilisés. Nous serons massifs au tribunal correctionnel de Chartres. Des hommes et de femmes de tout âge, de toute origine, de tout lieu, de toute confession. Des journalistes français et étrangers. Des universitaires, des hommes politiques. Ce tribunal sera bondé, il sera chargé, plein de personnes qui souhaitent définitivement en finir avec l’injustice avec la « pieuvre ». Et on verra si ces sionistes auront le culot de pratiquer à nouveau l’injustice au su et au vu de tout le monde comme ils le font d’habitude. Les Français ne supporteront pas une telle chose à l’approche des élections présidentielles. Une telle attitude est toujours sanctionnée. Sarkozy s’expose à une sanction des Français s’il persiste dans ce jeu là.

Mais sachez que quoiqu’il advienne le Fara présentera un candidat pour Sarcelles 2008, soit lui, soit un autre.

Le mot de la fin.

Fari Taharka : Je pense que le mot de la fin sera pour le Fara qui déclare dans la lettre qu’il adresse à ses sympathisants : « Comme je l’ai déclaré en plein procès, mon peuple à connu les chaînes pendant 5 siècles, ce n’est donc pas une peine de prison, quelle qu’en soit la durée, qui m’empêchera de faire ce dont pourquoi je suis né. »
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