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:::::::: histoire :: allemagne ::

L'Allemagne et le Tibet

20/03/05 4.34 t.u.
W. Grimwald

Il existe une légende selon laquelle les Aryens, conduits par Thor, fuirent un cataclysme pour aller s’installer dans l’ancien Tibet. Sven Hedin, l’explorateur suédois de l’Asie centrale et profonde, alla jusqu’au Tibet. Il était un ami d’Hitler et un franc admirateur de l’Allemagne nationale-socialiste. Comme nous le verrons, le régime national-socialiste doit avoir connu beaucoup sur le Tibet et a dû maintenir des contacts avec ce pays éloigné. On raconte que la SS finança diverses expéditions jusque-là, et à présent cela semble bien indiquer quelques-uns des liens qui ont été finalement découverts. Que les Allemands furent autorisés à entrer dans un pays interdit aux autres étrangers semble bien indiquer que le Dalaï-lama de l’époque était un admirateur enthousiaste de Hitler.

INTERETS OCCULTES ET GEOPOLITIQUES

Dès le début des années 20, alors que le mouvement national-socialiste luttait pour le pouvoir, le théoricien de la géopolitique, le Prof. Karl Haushofer enseignait à ses élèves l’importance géopolitique de l’Asie centrale et du Tibet. Parmi ces élèves se trouvait Rudolf Hess, qui présenta Haushofer à Hitler dans la prison de Landsberg où ce dernier était enfermé, en résultat du Putsch de Munich en 1923. Haushofer avait servi dans l’Etat-major du Kaiser en Orient, et avait étudié le mysticisme du Japon et de l’Inde. Il pensait que la race indo-européenne était originaire de l’Asie, et que le contrôle de la région était déterminant pour la puissance mondiale germanique.

A cette époque il y avait deux sociétés secrètes opérant en Allemagne, qui eurent une influence durable sur le national-socialisme, et particulièrement sur la SS qui avait créé un service spécialement pour explorer les questions occultes : « l’Héritage des ancêtres » [Ahnenerbe]. Ces deux sociétés étaient « Thulé » et « Vril ». La société du Vril était basée sur les idées exposées par le rosicrucien Sir Bulwer Lytton dans son livre « The Coming Race ». Lytton affirmait qu’il existait une énergie psychique d’une puissance immense, latente chez la plupart des humains, mais utilisée par des adeptes vivant au Tibet. On dit que Haushofer initia Hitler à la fois aux concepts du Vril et à ses propres idées géopolitiques.

Curieusement, il y avait déjà une communauté tibétaine résidant en Allemagne, avec son propre lama. Alors que de nombreuses affirmations fantaisistes sont faites dans des livres pseudo-érudits sur le Troisième Reich, une des plus curieuses est l’affirmation qu’un grand nombre de Tibétains en uniforme allemand furent trouvés au milieu des ruines de Berlin par l’Armée soviétique. Un article récemment publié par le journal américain The New Order a jeté une lumière digne de confiance sur quelques-unes de ces connexions tibéto-allemandes, étant basé sur l’autobiographie de l’actuel Dalaï-lama.

« MEIN KAMPF » EN TIBÉTAIN

Pendant les années 20, le Dalaï-lama s’appelait Thutpen Gyatso [décédé en 1933, NDT]. C’était un intellectuel d’une intelligence impressionnante qui cherchait à réaliser un équilibre entre la technologie occidentale et la spiritualité orientale. Il avait entendu parler de Hitler lorsque le mouvement national-socialiste était encore en train de lutter pour le pouvoir. Parmi les nombreux livres européens que le Dalaï-lama avait traduit, se trouvait « Mein Kampf ». Il annota son exemplaire avec des commentaires enthousiastes et souligna ses passages favoris à pratiquement chaque page. De Hitler il disait : « Le Inji (l’honorable étranger) est assisté par Dieu pour quelque haute entreprise dans cette vie ».

Il pensait aussi qu’il devait y avoir une synchronicité car le svastika était le symbole à la fois du national-socialisme et des moines-guerriers de l’ancien bouddhisme Bôn. Il notait aussi qu’il existait certaines similarités entre les doctrines nationale-socialiste et bouddhiste, particulièrement le fait que servir son peuple est le devoir – le dharma – le plus élevé dans la vie. Par conséquent quand Hitler devint Chancelier en 1933 il reçut de chaleureuses félicitations depuis le lointain Tibet.

TIBETAINS EN UNIFORME ALLEMAND

Pendant les années 40, des volontaires tibétains formèrent des brigades rattachées aux régiments cosaques, qui combattaient le communisme aux côtés de l’Allemagne nationale-socialiste. Les Tibétains, avec leur endurance aux grands froids et leur refus de se rendre, furent parmi les combattants les plus acharnés contre les soviétiques. Ils étaient des cavaliers exceptionnels et menèrent quelques-unes des dernières charges de cavalerie de l’histoire. Ce sont les restes de ces brigades que l’armée soviétique trouva dans les ruines de Berlin, ayant combattu jusqu’au dernier.

Après la guerre, le Tibet reçut ces combattants nationaux-socialistes qui purent rejoindre ce sanctuaire. Parmi ceux-ci se trouvait un Autrichien, Heinrich Harrer, qui devint un proche confident du nouveau Dalaï-lama, Tenzin Gyatso. Dans son autobiographie, Tenzin raconte que Harrer était un personnage délicieux et plein d’humour. Il parlait couramment le tibétain et était très aimé des Tibétains. Harrer s’était évadé avec un autre prisonnier d’une prison britannique en Inde pendant la guerre, et tous deux avaient vécu comme des nomades avant d’atteindre Lhassa. Harrer et Tenzin se rencontrèrent pour la première fois en 1948. Pendant une année et demi, avant que Harrer ne parte, ils se rencontrèrent environ une fois par semaine. « Par lui je pouvais apprendre des choses sur le monde extérieur et spécialement sur l’Europe et la récente guerre ».

Quelques années plus tard, les Tibétains furent à nouveau en première ligne du conflit entre les conceptions matérialiste et spirituelle/archétypale. Bien que les 80.000 hommes de la Chine Rouge submergèrent les 8.500 Tibétains, le Dalaï-lama remarqua : « Il faut dire que les Chinois perdirent un grand nombre d’hommes dans leur conquête du Tibet ».

NATIONALISTES « VÖLKISCH »

Même si Tenzin est présenté comme un pacifiste internationaliste par les médias et si le monde libéral condescendant lui jette une aumône comme le Prix Nobel de la Paix, pendant que son pays est asservi par les génocideurs chinois, Tenzin reste un opposant de ces forces matérialistes acharnées à mener l’humanité à une grisaille universelle. Il est, comme les nationaux-socialistes pour qui ses compatriotes combattirent autrefois, un partisan de la diversité ethnique et nationale.

Parlant à la Conférence des Religions du Monde à Chicago en 1993, il dit que les frontières séparant les différents peuples à travers le monde n’étaient pas mauvaises si elles préservaient et définissaient les identités génétiques et culturelles. Il exposa que ces différences devaient être conservées de façon à ce que l’individu ait son propre sens de l’identité. Tenzin est totalement opposé au mondialisme, disant des internationalistes : « Ils ne voient pas que la soi-disant ‘diversité culturelle’ qu’ils prétendent admirer disparaîtrait dans un système mondialiste. Non, la véritable ‘diversité culturelle’ valorise les réalisations matérielles et spirituelles d’un peuple spécifique, différent de tous les autres de la planète. Par conséquent cela ne peut pas exister sans les barrières qui séparent et identifient une culture par rapport à une autre ».

Aujourd’hui, alors que les Tibétains sont exilés et exterminés, leur cause devrait être soutenue par tous les nationalistes « völkisch », de même qu’autrefois les Tibétains eux-mêmes donnèrent leurs vies au service du « dharma völkisch », depuis leur lointaine patrie, jusqu’aux steppes russes et aux ruines fumantes de Berlin.

SOURCES

- The Lost World of Agharti, A. MaClellan, Corgi, Britain, 1983.

- “The Fuhrer and the Bouddha”, par A.V. Schaerffenberg, dans The New Order, N° 119.

- Freedom in Exile: The Autobiography of the Dalai Lama, Harper & Collins, New York 1990.

Article paru dans « Nexus » N° 4, mai 1996.

 
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