Agence Publicis ; une facette de l’Ennemi
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30/06/04 |
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4.15 t.u. |
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Michael Ferrari |
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Il existe une certaine multinationale française, présente dans cnet neuf pays et qui joue un rôle primordial au sein de la consommation et de la publicité mondiale : l’agence Publicis. Elle ne se contente pas de faire dans le marketing, en effet le président du directoire de Publicis, Maurice Levy est un serviteur bien connu des lobbies du système, avocat acharné d’un capitalisme des plus sordides et ardent défenseur de la mondialisation libérale.
C’est à l’intérieur d’un restaurant privé, au siège de Publicis, que Levy et ses acolytes « publicitaires » reçoivent régulièrement les membres du haut patronat, des personnalités politiques, des représentants du mass média, ainsi que des symboles « culturels » afin de discuter de l’avenir de notre société.
Fait d’autant plus grave que Maurice Levy, étant à la tête d’une des plus puissantes multinationales et d’un pouvoir financier considérable, possède le pouvoir d’imposer ses idéaux et de décider de ce que doit être la société dans laquelle nous vivons. Fort de ses relations et du chiffre d’affaire de son entreprise qui dépasse les trente milliards d’euros, Maurice Levy détient certes un pouvoir bien supérieur aux pantins qui nous servent de « dirigeants »
Par ailleurs, depuis un incendie – au caractère accidentel reconnu – du siège de Publicis dont le dirigeant de l’époque Marcel Bleustein rejeta la faute sur les organisations palestiniennes, l’agence Publicis est investie autant que possible dans le combat contre le « terrorisme arabe »
Mais n’allez pas croire que cette initiative « anti-terrorise » soit née d’une volonté de faire respecter la démocratie et la sécurité des personnes, comme le souhaitent certains naïfs qui pensent agir dans le bon sens. Pourrait on s’attendre à un tel but de la part de milliardaires politisés tels que Maurice Levy ? Non bien sûr ! Cette lutte contre le terrorisme est totalement lié aux intérêts politiques de M. Levy qui est un véritable socle pour le sionisme international.
Et il ne s’en cache pas, l’impérialisme n’étant pas condamnable lorsqu’il émane du peuple élu.
En effet Maurice Levy est un militant déclaré du Likoud et de l’Etat d’Israël, et son entreprise est également implantée au cœur de l’Etat hébreu. Publicis fut de ce fait l’instigatrice d’une campagne de recrutement en faveur du Mossad…
Rendons nous bien compte qu’un des hommes les plus puissants d’Europe, voire du monde, qui a la possibilité d’influer tant sur la politique que sur les médias, est un agent du sionisme !
Déjà le rôle occulte et sournois de Publicis – qui nie bien sûr son lobbying permanent – se faisait déjà sentir des décennies en arrière puisque Bleustein, l’ancien grand chef, ne manquait jamais de faire un briefing au général De Gaulle avant ses interventions.
En toute logique ce rôle de lobbyiste analogue à celui des maçonneries hébraïsantes telles que le Grand Orient de France se poursuit aujourd’hui et dépasse largement la cadre de nos frontières françaises et européennes : la filiale américaine de Publicis a été à l’origine d’une campagne de recrutement de l’armée yankee au cours des dernières années pour la guerre en Irak !
Maurice Levy s’est également fait l’honneur de défendre le plan Fillon en ce qui concerne les retraites. C’est lors d’un de ces fameux dîner, au cours desquelles Maurice Levy s’emploie à mettre à genoux les dirigeants de notre société, en compagnie des représentants du haut patronat et du premier ministre de l’époque Lionel Jospin que le dirigeant de Publicis a affirmé que ce n’est pas en protégeant excessivement les gens qu’il est possible de leur rendre service !
Ajoutons pour l’anecdote que l’agence Publicis compte parmi ses fidèles alliés M. Laurent Fabius responsable de l’affaire du sang contaminé, qui peut se targuer d’avoir sacrifier la vie des innocents, d’enfants, au nom de ses intérêts personnels.
C’est un visage de l’Ennemi que Publicis nous donne à contempler. Celui d’une multinationale ultra puissante qui a les moyens, dans un système où seul l’argent est source de puissance, de mettre à ses pieds les tenants officiels du monde marchand. Une vaste manœuvre capitaliste qui est enracinée au cœur même de la nation libérale américaine, et qui pèse lourdement sur le monde politique et médiatique.
C’est aussi et surtout le visage d’un homme, sioniste, qui détient à lui seul un pouvoir lui permettant comme nous l’avons vu d’influer sur l’avenir de notre société et de la politique internationale.
Une nouvelle occasion de rappeler que le monde libéral est véritablement notre ennemi suprême, ce libéralisme qui offre l’opportunité à ceux qui veulent la ruine de notre peuple d’atteindre leurs objectifs.
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