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politique
suite

Une quatrième victoire pour l'éditeur révisionniste Jean Plantin

23/07/04 4.35 t.u.
Robert Faurisson


Coriace autant que sagace, l’éditeur révisionniste Jean Plantin vient de remporter une quatrième victoire contre la meute des cliques, des clans et des coteries qui, à son de trompe médiatique, lui donnent la chasse depuis tant d’années.

Ses trois premières victoires remontent à l’an dernier. Il les a remportées successivement d’abord contre SOS Racisme, puis contre le président de l’Université Lyon III et, enfin, contre le président de l’Université Lyon II. Le 17 juin 2003, grâce à des décisions du tribunal administratif de Lyon, il s’était vu restituer à la fois sa maîtrise d’histoire et son diplôme d’études approfondies d’histoire. Les juges avaient alors précisé que, contrairement aux assertions des parties adverses, assertions reprises en chœur par les médias, J. Plantin n’avait commis aucune fraude. Ils avaient ajouté qu’aucune irrégularité n’avait entaché la composition d’un jury. Ils étaient même allés jusqu’à prononcer que le président de l’Université Lyon II, dans sa réponse écrite à J. Plantin, avait diffamé ce dernier et ils avaient, en conséquence, ordonné la suppression des propos diffamatoires. Dans ces trois affaires J. Plantin avait reçu l’appui d’un spécialiste lyonnais du droit administratif.

Cependant, dans une autre affaire de nature révisionniste, une semaine plus tard, J. Plantin subissait une grave défaite. Le 25 juin 2003, la cour d’appel de Lyon (la 7e chambre, présidée par M. Dominique Fournier), le condamnait à six mois de prison ferme. Les médias dans leur ensemble donnaient libre cours à leur satisfaction. Sous la signature de Fabrice Arfi, Lyon-Figaro titrait le lendemain : « Jean Plantin condamné à nier en prison ». Le Monde, quant à lui, expliquait que le condamné l’avait bien cherché : « C’est la première fois en France qu’un négationniste est condamné à de la prison ferme. Malgré une mise à l’épreuve qui lui interdisait d’exercer son métier [pendant trois ans !], Jean Plantin avait continué à diffuser textes et revues [Etudes révisionnistes, Tabou], grâce à sa maison d’édition Akribeia et en utilisant Internet. »

Or, soudain, dans un arrêt sec comme un coup de trique, la Cour de cassation vient de casser l’inique décision de juges lyonnais qui, on le voit, avaient voulu réprimer l’hérésie par une condamnation au chômage (un Berufsverbot de trois ans) ou à la prison ferme. La Cour de cassation, en la circonstance, casse cette décision, l’annule et cela sans autre forme de procès, sans même un renvoi devant une autre juridiction. Mieux : elle administre au juge Dominique Fournier et à ses conseillers une volée de bois vert. En propres termes elle les blâme d’avoir « méconnu le sens et la portée de [certains textes de loi] » ainsi que le sens et la portée du « principe [de droit selon lequel] nul ne peut être puni d’une peine qui n’est pas prévue par la loi ».


C’est précisément sur ce point que, dès le début de cette longue affaire, J. Plantin n’avait cessé, lui, le profane, d’appeler l’attention de tous les magistrats professionnels. Fin lecteur du Dalloz, il leur avait fait remarquer que le sursis avec « mise à l’épreuve » n’était pas applicable à son cas et qu’en conséquence il ne se plierait pas aux oukases de ses juges-accusateurs le condamnant à trois ans de cessation d’activité éditoriale. La Cour de cassation lui donne entièrement raison : elle prononce que les faits poursuivis au titre de la loi antirévisionniste (dite loi Fabius-Gayssot) constituent « des infractions en matière de presse et comme telles assimilées à des infractions politiques » ; elle ajoute qu’en conséquence on ne saurait infliger au coupable éventuel une « mise à l’épreuve ». J. Plantin, cette fois-ci, a dû se défendre seul, par écrit, devant la cour de cassation mais non sans bénéficier de la très active coopération de Me Eric Delcroix.

Sous la plume d’Yves Alègre, Le Progrès de ce jour titre : « La Cour de cassation annule la condamnation de Plantin. » Le journaliste ne parvient pas à cacher son dépit et en vient à commettre une série d’erreurs sur l’affaire Plantin ; par exemple, il ose affirmer que l’arrêt Dominique Fournier aurait été cassé pour « vice de bonne forme juridique ». Il n’en est rien. Le réel motif est grave. Il touche au fond même : trois magistrats lyonnais ont, de manière patente, ignoré ou bafoué la loi, cette loi que nul n’est censé ignorer !

Sous la signature de Nathalie Guibert, Le Monde portant la date du 23 juillet titre : « La peine de prison du négationniste Jean Plantin a été annulée / La cour de cassation a cassé, sans renvoi, la condamnation de l’universitaire à six mois ferme ». Le contenu de l’article n’appelle de réserve que sur des points mineurs et sur le fait que J. Plantin, qui est révisionniste, se voit affubler du sobriquet de « négationniste » diffusant des « écrits antisémites et négationnistes ».

L’arrêt de la Cour de cassation remonte au 27 avril 2004. C’est par hasard que, le 21 juillet, J. Plantin en a appris l’existence et le contenu. Le scandale est que le procureur général de Lyon, François Falletti, dont c’est pourtant la charge, ne lui a toujours pas notifié un arrêt maintenant vieux de près de trois mois.

Aux éditions Akribeia (45/3, route de Vourles, 69230 ST GENIS LAVAL) on peut demander le catalogue de leurs publications, parmi lesquelles figure une plaquette intitulée Le Déshonneur de trois magistrats lyonnais (Dominique Fournier, Jean-Luc Gouverneur, Marie-Odile Théoleyre), 8 euros, franco de port. Edité en octobre 2000, l’ouvrage constituait, il y a déjà quatre ans, une remarquable analyse du comportement de magistrats lyonnais qui se retrouvent, en toute justice, aujourd’hui stigmatisés par la Cour de cassation.

 
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