Après l’agression dont ont été victimes, le 6 septembre, trois jeunes juifs dans le 19e arrondissement, Richard Prasquier, président du CRIF, prend acte du fait que les facteurs antisémites n’ont pas été retenus comme circonstance aggravante par la police.

Cependant, tant par son caractère que par sa gravité, Richard Prasquier estime que toute comparaison entre cette agression et la pseudo agression du RER D est « déplacée ».

Par ailleurs, selon lui, le fait qu’un jeune juif se soit impliqué du côté des agresseurs ne change pas le motif de cet acte, qui s’est déroulé dans un contexte déjà très tendu dans l’arrondissement.