contact presentation soutien proposer article contact
transp
 
actualite
blank
blank
Éditorial
Politique
Étranger
Tribune libre
theoriciens
Yockey
Thiriart
Douguine
Evola
Autres
histoire
France
Italie
Espagne
Amérique latine
Allemagne
Pays anglo-saxons
Europe de l'Est
Autres
imperialisme
Entretiens
Antiaméricanisme
Antisionisme
Varia
spiritualites
Alternatives religieuses
Tradition
Varia
liste
liste
detail
sites nc
snc
accueil
recherche
recherchez
avancee
Jeudi, 17 Décembre 2015
imprimer
mail
Le délire institutionnalisé
Docteur Bernard Plouvier
Impérialisme :: Varia
 Le délire institutionnalisé
La définition médicale du délire est compréhensible par tous, même par les moins doués de nos concitoyens. Délirer, c’est nier l’évidence des faits. Cela témoigne soit d’une psychose (une maladie mentale grave, mais soignable par les antipsychotiques si elle est diagnostiquée assez tôt) soit d’une démence, hélas irréversible et s’aggravant au fil des années.

Il semble qu’au cours de la dernière campagne électorale, un politicien ait accusé sa rivale (qui l’a ensuite écrasé) de « défendre la race blanche ». Depuis cette sortie, dont l’extrême intelligence ne peut échapper à un véritable Européen, cette illustre excellence, titulaire d’un perchoir grassement rétribué, a reçu le soutien franc et massif d’une autre excellence, notre efficace premier ministre qui a promis de réduire le chômage l’année prochaine… dont acte !

Ainsi donc, défendre la race blanche serait un tort, une tare, une ignominie ? De fait, parmi les amis politiques de l’accusateur, il est de bon ton de délirer au point de nier l’existence des races… pour combattre le racisme, rien de tel que de nier son substratum fondamental.

Ce délire se comprend lorsqu’on sait que nos merveilleux politiciens de haut rang (à voiture – blindée – de fonction & à gardes du corps) n’ont guère de contact avec les trivialités du quotidien, comme de fréquenter le métro, le RER ou un train d’intérêt régional, passer (rapidement) sur certains trottoirs ou certaines places, voire cohabiter dans un quartier avec des gens qui, eux, ne nient en aucun cas l’existence des races et hurlent quotidiennement leur haine des Blancs.

S’il en allait autrement, nos excellences « à face de craie » et leurs épouses et filles (dites « meufs à cul blanc ») sauraient qu’il existe une race noire et des racistes anti-Blancs. Ils sauraient aussi que les viols en tournante sont une triste réalité pour des jeunes filles blanches, que le racket des enfants et adolescents blancs par des Africains (noirs et maghrébins) est une sordide réalité quotidienne, que la « baston », voire même l’assassinat gratuit, existent, simplement parce que, ce jour-là, l’honorable Africain ou l’Africaine « a la haine », comme cela fut le cas, en décembre 2012, pour une malheureuse jeune fille blanche de 15 ans, projetée sous les roues d’un RER par une Noire de 17 ans qui a justifié son acte de curieuse façon : « parce qu’elle avait la rage »… la jeune Jessica fut amputée des deux jambes.

Les émeutes de banlieues ont à l’évidence, pour n’importe quel observateur non aveugle, un caractère racial… qu’il est si facile de transposer en « question sociale » par les agents de la désinformation permanente. Il suffit pourtant d’écouter les discours incendiaires (sans jeu de mots) des meneurs… on conseille à nos merveilleux politiciens de séjourner une demi-journée à Roubaix (quartier de l’Épeule), à Toulouse (quartier du Mirail) ou dans l’une ou l’autre des 1500 à 2000 cités de non-droit de notre pays. Les maîtres de ces cités connaissent bien la notion de race et manient en virtuoses les injures racistes.

Nier une réalité, on l’a vu en introduction, ce n’est rien d’autre que délirer, nullement régler l’épineux problème qui est en train de détruire nos villes et qui commence même à se poser dans nos villages. Si messieurs les politiciens n’osent légiférer, qu’ils s’adressent au bon peuple, notamment celui des cités à haut risque, qui connaît les réalités et vit au quotidien le racisme anti-Blancs. Plutôt que de déblatérer leurs insanités, que nos politiciens organisent un referendum sur l’immigration extra-européenne.

Prendre l’avis de la Nation, seul souverain légitime d’un État, c’est l’essence même de la Démocratie… mais c’est peut-être trop demander à une mafia qui se partage postes juteux et sinécures dorées, sans trop se soucier du menu peuple, celui qui souffre.
0
depeches
blank
faire un don
rss flux rss
blank
 
 
© 2002–09 :: v2.0
derniers documents
La Russie de Poutine: notre seul allié sérieux :: 24/12/15
La notion de défense des droits des Français :: 24/12/15
Déchéance de la nationalité : pourquoi la République française n'est pas qu'une affaire de papiers :: 24/12/15
ERTV dans la « jungle » de Calais :: 24/12/15
« Nous cherchons les moyens d’exister ; eux, des raisons de vivre et de mourir » :: 23/12/15