Le Brexit, les Annunaki et la prochaine Apocalypse

Quand on pense aux gens du Pentagone et du département d’Etat US (ils préparent notre extermination comme Hitler, via l’attaque contre la Russie), à ceux de Goldman Sachs ou aux banquiers centraux (le Carney-ex Goldman de la Banque d’Angleterre est effrayant, comme Draghi, au nom et au physique reptilien bien appropriés), quand on pense encore à la Commission de Bruxelles, à ses sbires, à Hillary, à Lagarde (quelle entité pourpre celle-là !), à la trop bonne Angela, on n’a pas l’impression d’avoir affaire à des êtres humains, mais à des entités hostiles, extra-terrestres mêmes, nous considérant comme une chair à pâté à la fois permanente et prochaine. Nous sommes leurs choses, pas des citoyens.

Nous ne sommes pas des citoyens dans le monde moderne, dit Chesterton, mais des enfants à corriger (c’est en 1920, quand il visite l’Amérique – sic). Ce monde est une garderie, d’où tout chicken run (voir le film animé de Mel Gibson, voir aussi plus bas Castaneda) est interdit. Car les satellites et les drones veillent partout, qui recouvrent la planète sous couvert de conquête spatiale (tu parles !). La conquête spatiale n’a jamais servi qu’à controler votre mental. On y reviendra.

Chesterton donc, qui comprend la menace spirituelle, extra-terrestre presque, que le féminisme fera peser notre humanité :

« And as there can be no laws or liberties in a nursery, the extension of feminism means that there shall be no more laws or liberties in a state than there are in a nursery. The woman does not really regard men as citizens but as children. She may, if she is a humanitarian, love all mankind; but she does not respect it. »

Les présentateurs des horribles journaux télé en boucle irradient cet anti-Vril qui nous éloigne de tout sens sauf quand il s’agit de nous envoyer au casse-pipe économique ou politique – sans oublier le casse-pipe spirituel, car il s’agit de remplir les enfers et c’est pourquoi, disait Tocqueville, le tyran délaisse le corps en démocratie (encore qu’avec 46% d’obèses…) :

« Dans les républiques démocratiques, ce n’est point ainsi que procède la tyrannie; elle laisse le corps et va droit à l’âme… (1)»

L’âme n’est pas oubliée. Car en passant neuf heures par jour connectée (Dibbouk, le mauvais génie en hébreu, est relié à Devekhut, la connection) à un artefact électonique l’âme humaine se damne bonnement (2).

Tocqueville a aussi parlé du troupeau bien soumis de la démocratie :

« Le souverain… réduit enfin chaque nation a n’être plus qu’un troupeau d’animaux timides et industrieux, dont le gouvernement est le berger.»

Et le troupeau, disait incognito Serge de Beketch, grand lecteur de Philip K. Dick et des gnostiques, n’est pas toujours destiné à être tué ; mais tout le temps à être tondu.

C’est pourquoi j’invite les électeurs un peu éveillés et sensibles au cinéma de science-fiction, à la littérature d’aventures initiatiques (Verne, Conan Doyle, Farmer) à lire les textes érudits et passionnants de Ciremya (3). Il évoque en vrac une parodie de création, un Christ proche de la source, des Elohims rebelles, des collaborateurs Annunaki (d’origine cétacée) et une expérience (l’expérience humaine, tout près de prendre fin), une reprogrammation enfin de l’humanité par les hostiles. J’ai trouvé cette pensée proche de l’univers de Tolkien.

« La majorité des entités quitta alors la Terre pour d’autres horizons, ce sont les Annunakis. Ils furent alors « contactés» et manipulés par les Elohims rebelles, qui les persuadèrent de revenir sur Terre pour mettre au point, ensemble, l’homme. Ils promirent aux Annunakis que les futurs hommes seraient pour eux des esclaves, taillables et corvéables à merci. Ils leur fournirent l’ébauche du projet (ce que le Dieu des dieux avait créé), puis les Annunakis se mirent au travail. L’objectif était de faire en sorte que les humains ne puissent avoir conscience de la connexion Divine mise en place par le Dieu des dieux.»

Le Christ était venu pour cela, mais les églises travaillèrent l’humanité autrement. Ce que nous voyons ces temps-ci avec Bergoglio (son nom piémontais désigne un village et un pont détruits par une inondation en 1496) ne peut que nous émerveiller.

Ciremya ajoute :

« Le cas du Christ est différend en ce sens qu’il n’est pas un être humain standard : il a été envoyé par la Source (c’est peut-être un Elohim relié à la Source, ou un Planificateur) sur Terre pour essayer de rétablir la situation, et relâcher les mailles de la Matrice. Lorsque Jésus Christ parle du Père, il fait donc référence au Dieu des dieux, et non pas à une entité de l’Ancien Testament. »

C’est ce Christ que le Bergoglio ne cesse d’insulter ces temps-ci : un jour en l’accusant de sot (de scemo) à propos de la femme adultère, un autre en le comparant aux islamistes quand il envoie ses disciples évangéliser le monde. L’indifférence de la masse peudo-catholique (ou cathodique) face à ce fou a quelque chose d’extraordinaire. Et elle correspond à la description donnée jadis par le philosophe allemand Feuerbach des cathos bourgeois du dimanche.

Expliquons les Bilderbergs, les Trilatéralistes, les banquiers centraux, toute cette engeance : l’ami Ciremya cite le célèbre Castaneda – dont cette histoire inspira le célèbre film Predator, chef d’oeuvre de McTiernan, avec Schwartzenegger) :

Les sorciers ont découverts que nous ne sommes pas seuls, me dit-il aussi clairement qu’il le put. Venu des profondeurs du cosmos, un prédateur est là, qui toute notre vie nous maintient sous son emprise. Les êtres humains sont prisonniers et ce prédateur est notre seigneur et maître. Il a su nous rendre faibles et dociles. Il étouffe toute velléité de protestation ou d’indépendance et nous empêche d’agir librement. Ils nous tiennent sous leur emprise parce que nous sommes leur source de subsistance. Ils ont besoin de nous pour se nourrir, et c’est pour cela qu’ils nous pressurent implacablement. Exactement comme nous qui élevons des poulets pour les manger, ils nous élèvent dans des « poulaillers » humains pour ne jamais manquer de nourriture. (4)

Nourriture qui peut être astrale ou psychique.

L’affaire du Brexit, coup monté en Angleterre (6) pour précipiter la débâcle européenne au profit de Washington, montre que tout s’accélère : entre effondrement financier, politique, guerre d’extermination américaine, tout va avoir lieu. On citera pour terminer le célèbre et luciférien scénariste Alan Moore :

je n’ai que très peu de temps car les esprits invisibles qui me rendent visite lors de mes activités magiques semblent convaincus que dans les prochaines années, entre 2012 et 2017, il y aura une apocalypse.

Je concluerai en rappelant que la question du jour en Espagne, c’est de savoir comment tel joueur gallois du Real Madrid va pouvoir jouer alors qu’il est depuis hier extra-européen.

Avec des crétins comme ça, pourquoi voulez-vous qu’ils se gênent ?

Notes:

(1) Chesterton, What is America ? Fads and opinions

(2) De la Démocratie en Amérique, T. I et II

(3) Nicolas Bonnal, Internet nouvelle voie initiatique, les Belles Lettres

(4) Les identités secrètes du capitaine Nemo par Ciremya Perenna

(5) Castaneda, Le voyage définitif, p. 265

(6) Lisez encore Preparata, Conjuring Hitler

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