Les vraies causes de la délocalisation
Sans doute, du point de vue européen, il vaudrait mieux que les investissements industriels restent dans notre Vieux Continent. Mais le manque d’imagination des décideurs au sein des grands groupes les a amenés, depuis quelque 30 ans, à choisir un pays comme la Chine plutôt que la Roumanie ou la Slovaquie.
Dans sa chronique du Monde, en date du 12 avril, Philippe Escande éditorialiste économique du journal se trompe. Ce n’est pas un “signal destructeur”, comme il le qualifie, mais au contraire une alerte parfaitement nécessaire et, à de nombreux égards, éclairante, quoique désagréable, que Stellantis adresse, sans doute sans le vouloir, au public français et à l’opinion européenne.
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