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Dimanche, 19 Mars 2006
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Le national-bolchevisme comme fondement pratique
Jean Rodrigue
Théoriciens :: Douguine
Le national-bolchevisme comme fondement pratique
Historique du mouvement national-bolchevik

Dans l’entre-deux-guerres, une alternative au capitalisme et au libéralisme s’offrait à ceux qui refusaient, aussi, le communisme et le national-socialisme comme doctrines absolues : le national-bolchévisme. Des hommes comme Ernst Niekish, Ernst Jünger, Otto Strasser et Moeller Van den Bruck, le théoricien de la révolution conservatrice allemande, ont contribué au développement de cette théorie. Avec le national-bolchevisme, on peut parler de stratégie communiste et de dynamisme conservateur et héroïque. Parmi les théoriciens nommés plus haut, Ernst Niekish (1889-1967) joua un rôle majeur dans la fondation de cette théorie. Il a été membre du Parti social-démocrate allemand de 1917 à 1926. Par la suite, il a rejoint le Parti socialiste de Saxe qu’il convertit à sa vision des choses. Il a développé ses principes nationalistes et socialistes dans son journal théorique Widerstand (« Opposition »).

Niekish a vu dans l’Union soviétique une véritable force qui ouvrait les portes à un ordre nouveau. Pour lui, le régime soviétique était en continuité avec les vieux nationalismes russe et prussien. Son opposition à Adolf Hitler n’était pas liée à la question de l’antisémitisme, mais aux politiques du régime national-socialiste qui, à ses yeux, n’étaient pas assez « sociales ». Ernst Niekish voulait développer un véritable régime socialiste fondé sur des Soviets et dirigé par un parti d’avant-garde. Il rejetait la démocratie libérale et le concept même de démocratie car, pour lui, la démocratie est un produit qui découle de l’idéalisme bourgeois. Le pouvoir qu’il visait devait être fondé sur des comités du peuple. Il s’agissait donc d’un pouvoir de masse comme Mouamar Kadhafi l’applique en Libye depuis 1969 avec sa Jamahiriya, théorie développée dans son Livre vert.

La vision totalitaire de Ernst Niekish était fondée sur un socialisme collectiviste et un nationalisme de masse, tout comme la théorie du populisme national lié au marxisme-léninisme qu’ont développée des leaders communistes tels que Nicolae Ceausescu en Roumanie, Enver Hoxha en Albanie, ou même Fidel Castro à Cuba. Il faut le dire, la différence entre ces systèmes est minime, très minime!

Ernst Jünger a joué un rôle majeur aux côtés de Ernst Niekish dans le développement des idées et de la théorie révolutionnaire avec ses livres Le Travailleur, L’État universel et La mobilisation totale (1).

Contre les idéologies pour une théorie concrète de l’action

Il ne faut pas confondre idéologie et théorie. L’idéologie est une mouvance étroite et idéaliste de la théorie. Elle incarne des fondements et des principes moulés dans une boîte où l’étroitesse est reine. Les grands idéalistes de l’idéologie sont des enfants qui ne sont pas capables de s’assumer dans la réalité pratique. Ils ont besoin d’idoles et d’un Dieu. L’idéologie, ce n’est rien de plus que l’idéalisme mis au service d’une cause. Lorsqu’on parle d’idéologie, on parle de dogmes. Or, une théorie révolutionnaire a des fondements et des règles, mais elle ne peut se permettre d’avoir des dogmes. Une théorie révolutionnaire doit être fondée sur une ligne de parti et sur une stratégie.

Le dogmatisme empêche le mouvement de s’émanciper, de suivre le processus historique de la lutte des classes et des nations provoqué par le développement du capitalisme et de l’impérialisme, qui est le « stade suprême du capitalisme ». L’idéologie est la mort du mouvement! La théorie appliquée dans la réalité par la praxis révolutionnaire joue un rôle de direction. Il ne peut y avoir de théorie révolutionnaire sans pratique révolutionnaire, comme il ne peut y avoir de parti de la Révolution sans les deux éléments décrits plus haut.

À propos de la libération et de l’idéologie, Karl Marx disait : « La “libération” est un fait historique et non un fait intellectuel, et elle est provoquée par des conditions historiques, par le [progrès] de l’industrie, du commerce de l’agriculture […] puis, après coup, en fonction de leurs différents stades de développement [ces conditions historiques] provoquent ces absurdités : la substance, le sujet, la conscience de soi et la critique pure, tout comme l’absurdité religieuse et théologique, les éliminant ensuite de nouveau quand ils sont suffisamment développés » (2).

Que cela plaise ou non aux curés des vérités absolues, il y a un processus historique qui est déterminé par l’économie, et la lutte des classes en est le moteur. Avis aux idéalistes et aux adorateurs des idées absolues, il est impossible de sortir du système sans prendre nos responsabilités dans le concret par la praxis révolutionnaire.

Le national-bolchevisme n’est pas une idéologie, mais un état d’esprit, un état héroïque teinté d’un sentiment de volonté de puissance des masses exploitées. Il faut le considérer comme un romantisme politique et révolutionnaire exaltant l’affrontement direct avec le pouvoir.

Nous voyons cet état d’esprit dans l’art des nationaux-bolcheviques russes, qui est un mélange de réalisme socialiste, de futurisme et d’expressionnisme fusionnés dans un style fascisant et martial.

Plus près de nous historiquement, des groupes techno-industriel tels que Laibach, d’origine slovène, et Rammstein, d’origine est-allemande, font partie de cette mouvance. Ces deux groupes musicaux sont l’expression même de l’exaltation de la volonté de puissance, de la confrontation, de l’exaltation d’une témérité consentie, d’un discours anticapitaliste et de l’héroïsme guerrier. Ils sont aussi l’expression d’une recherche du paradis perdu. Dans la pièce « Life is Life », Laibach fait appel à la force de la tradition et du sang. Cette tradition perdue, Laibach veut la ressaisir. Le groupe Rammstein, avec la pièce « Du riechst so gut », issu de l’album « Herzeleid », établit un lien entre l’instinct d’un groupe homogène (la communauté de base nationale) et la naissance d’un homme nouveau, le surhomme, et fait l’apologie de l’exaltation nietzschéenne du corps par la volonté de puissance. Dans le vidéoclip de cette pièce, on voit les membres du groupe torses nus et l’apparition d’un chien de race. Si on y trouve un appel instinctuel de l’appartenance ethnique, on y trouve aussi une volonté de dépassement, malgré que ce groupe se défende de faire de la politique. Leur vision ne s’exprime pas dans la politique directement, certes, mais dans le mythe et le symbolisme. Il y a beaucoup plus dans ce clip qu’une simple vision de l’instinct sexuel!

Pour revenir à la naissance de la théorie nationale-bolchevique, il faut préciser qu’elle s’est développée dans les mouvements communistes marxistes-léninistes, staliniens et maoïstes. Mais elle s’est aussi développée dans les mouvements néofascistes de type nationaliste révolutionnaire inspirés par les idées de Otto Strasser, du Front Noir et du leader argentin Juan Peron, populiste et socialiste influencé par les idées fascistes de Benito Mussolini. Les SA ont aussi fait partie de cette mouvance.

Il est à remarquer qu’un mouvement communiste peut développer en son sein des traits nationaux-bolcheviques, que ce soit le culte de la nation, la mystique ethnique, le militarisme de type populaire, la voie populiste, une politique traditionnelle du point de vue des mœurs ou le culte du chef. Il peut aussi exister une sorte de retour à une mystique religieuse et une entente avec les Églises. Slobodan Milosevic en Serbie, Nicolae Ceausescu en Roumanie et, plus récemment, Loukachenko en Biélorussie, Hugo Chavez au Venezuela, Fidel Castro à Cuba et Kim Jong Il en Corée du Nord, en sont de bons exemples. Pour moi, Hugo Chavez incarne le modèle populiste et patriote du national-bolchevisme et le régime nord-coréen est un mélange de doctrine marxiste-léniniste et d’ une mystique du père fondateur de l’État socialiste.

Un mouvement néofasciste peut prendre des traits communisants, non pas seulement par un système économique fondé sur le capitalisme d’État, mais par une politique véritablement socialiste. Il peut aussi tenir un discours fondé sur la classe ouvrière avec l’idée de reconnaître le pouvoir de ces derniers dans des comités populaires. Les traits communisants peuvent aussi se manifester dans une opposition à la notion de propriété privée des moyens de production et à l’impérialisme. Généralement, le national-bolchevisme se fonde sur le concept de l’eurasisme, théorie fondée sur l’idée d’une fusion de l’Europe de l’Ouest et de l’Europe de l’Est. Chez les Slaves, on parle même de panslavisme.

Donc, les deux idéologies sont fondées sur le culte du chef, la notion d’un État fort, un nationalisme de masse et un parti d’avant-garde.

Le national-bolchevisme est un pont entre le communisme (marxisme-léninisme) et le néofascisme (nationalisme révolutionnaire). Il est difficile de faire une véritable description de la théorie nationale-bolchevique, car il ne s’agit pas d’une idéologie, mais d’un état transcendant les idéologies dans la mesure où il se développe par la pratique, la praxis. Pour les marxistes-léninistes et les néofascistes orthodoxes, le national-bolchevisme est un piège servant à éloigner les militants des deux idéologies de leur pôle d’attraction idéologique de base.

Il faut le dire : le national-bolchevisme n’est pas un piège, mais une affirmation qui dépasse les clivages idéologiques. Il n’y a donc rien d’étonnant à ce que les membres du groupe Laibach prônent la fin des idéologies. Comme leur maître à penser Friedrich Nietzsche, ils veulent une transformation de l’humanité dans la voie d’une mutation réaliste et héroïque de l’individu et des peuples. Leur vision est héroïque, spiritualiste et totalitaire. Ils ont la même vision du monde que Ernst Jünger, le philosophe et écrivain allemand, la vision d’un monde fondé sur le travailleur, la mobilisation totale et la négation de l’humanisme décadent, qui sont des produits de la Renaissance et de la bourgeoisie. Karl Marx et Friedrich Engels prônaient, eux aussi, la fin des idéologies, comme nous pouvons le lire dans leur célèbre livre L’idéologie allemande. Pour ces deux penseurs, les idéologies doivent être dépassées au nom du réalisme politique. Le mouvement communiste se doit pour eux d’être un état de fait et non une religion. À cet égard, le matérialisme historique et le matérialisme dialectique sont les instruments qui nous permettent de comprendre le processus du développement historique de l’humanité.

Chez Karl Marx, il n’y a pas « l’homme », mais des humains divisés en classes. La notion de droits de l’homme et de la personne, pour Karl Marx comme pour Friedrich Nietzsche, est un phantasme bourgeois et idéaliste digne des philosophes allemands et autres suppôts de Jean-Jacques Rousseau, Voltaire, Fichte et Hegel. Pour eux, il s’agit d’une influence des Lumières et de la pensée libérale. Il faut cependant tenir compte du fait que Jean-Jacques Rousseau est un penseur qui s’est éloigné des Lumières et de la pensée libérale. Malgré son idéalisme religieux et humanitaire, ce dernier a pu contribuer à la naissance du communisme et du fascisme. Chez Rousseau, on trouve une vision dans laquelle la communauté prime l’individu, tout comme dans la doctrine du nationalisme dont il est, à mon avis, le père#. Chez Jean-Jacques Rousseau, on parle du développement d’un patriotisme qui se transforme en un nationalisme populaire. Il faut le dire, le nationalisme est en opposition avec le libéralisme, car il fait appel à la communauté et à l’unité de cette dernière au prix de la diminution et même de la perte des libertés individuelles. Le libéralisme fait primer l’individu et divise la communauté. Il exalte les goûts personnels aux dépens du bien collectif. Le nationalisme est compatible avec les fondements du communisme, car tous les deux sont des idéologies communautaristes et collectivistes. Le communisme et le fascisme sont des produits des Lumières qui se sont révoltés contre leur père, le libéralisme, et sa philosophie développée par les Encyclopédistes.

Il faut en arriver à une transformation de l’humanité par des bouleversements radicaux, donc par des processus de crises dont le capitalisme est responsable en tant que système économique et politique. La lutte des classes est une réalité aussi vraie que les luttes nationales et ethniques. À mon avis, l’union de la pensée de Karl Marx avec celle de Friedrich Nietzsche est nécessaire au développement des fondements du national-bolchevisme. Ces deux penseurs sont anti-religieux, et s’élevaient contre les valeurs de leur temps, la pitié bourgeoise, les lois inaliénables et les vérités « idoles » des épiciers (capitalistes et bourgeois). Karl Marx était matérialiste, Friedrich Nietzsche, spiritualiste. Ce dernier, malgré son spiritualisme, était indirectement matérialiste. Les deux penseurs opposent l’action à la théorie pure. La théorie doit se développer à partir de l’action et des choses concrètes.

Karl Marx amène la dimension rationnelle du politique avec son analyse de l’histoire et Friedrich Nietzsche, lui, amène une dimension métaphysique et spirituelle nécessaire aux individus, que cela plaise ou non à Karl Marx et aux marxistes-léninistes orthodoxes. Il faut ajouter que la pensée de Friedrich Nietzsche est fondée sur la pure pensée philosophique de l’action individuelle sans système politique. L’un et l’autre se complètent par leur remise en question du monde moderne bourgeois.

Il n’y a pas d’opposition totale entre l’analyse matérialiste historique et matérialiste-dialectique de Karl Marx et le concept de volonté de puissance de Friedrich Nietzsche. S’il y a contradiction, elle tend à une synthèse et non à un antagonisme. Pour Karl Marx, il existait une volonté de puissance, mais elle ne devait pas être séparée du contenu social et du processus historique de la lutte des classes. Chez Marx, on peut parler d’une volonté de puissance prolétarienne qui répond à la volonté de puissance des capitalistes.

Cynisme, stratégie et pouvoir

Le national-bolchevisme est aussi une réflexion cynique sur le pouvoir, les jeux du pouvoir et l’organisation du genre humain. Dans le clip « Links 2-3-4 », le groupe Rammstein exalte la communauté en montrant des fourmis qui luttent contre des immenses insectes qui veulent les détruire et dominer leur terre. Les fourmis symbolisent les prolétaires et les gros insectes symbolisent les capitalistes impérialistes. Il ne faut pas oublier une chose : les origines du groupe Rammstein sont est-allemandes. Les membres de ce groupe sont donc nés sous le régime marxiste-léniniste d’Allemagne de l’Est. Il y a beaucoup de cynisme chez Rammstein. L’effondrement de L’URSS et du bloc de l’Est doit nous faire réfléchir, car, si le socialisme s’est écroulé en Russie et en Europe de l’Est, c’est à cause des leaders de ces pays qui ont commis de graves erreurs dans leur direction et leur stratégie politique.

Le cynisme en politique fait partie d’une vision arbitraire que le mouvement révolutionnaire se doit d’utiliser. Il faut se référer à Nicolas Machiavel (Le Prince) pour comprendre à quel point la lutte des idées est un phénomène d’apparences. Le plus bel exemple qu’on puisse donner est celui des anarchistes. Nos beaux chouchous issus d’une certaine branche de la bourgeoisie, je fais allusion aux anarchistes et aux gauchistes, sont les parfaits produits du culte de l’idéologie. Ils sont comme des curés prêchant à la messe. Donnons-leur le pouvoir, ils massacreront la moitié de la population, comme ils l’ont fait lors de la guerre civile espagnole (1936-1939). Ces derniers accusaient alors les méchants staliniens de trahir les autres éléments dits « révolutionnaires ». Les communistes-libertaires sont les seuls traîtres au peuple!

Ceux qui prêchent des dogmes sont les pires ennemis du peuple. Si nous devons être cyniques et utiliser le cynisme, c’est pour le retourner contre nos ennemis. Le national-bolchevisme comme théorie doit tendre vers une voie rationnelle dans la lutte pour le pouvoir, pour ensuite transformer la société et le monde. Le pouvoir n’est pas la fin, mais le moyen d’atteindre la fin. Cette fin est l’avènement d’un homme nouveau dont le Travailleur, dans ses diversités culturelles, physiques et ethniques, est le modèle. L’avènement d’une société sans classes est possible si on change ses fondements moraux actuels. Comme le disait Friedrich Nietzsche, il faut tendre par delà le bien et le mal pour s’élever à un stade supérieur.

Unité et diversité : la convergence rouge-brune

« Quand la paix règne, l’homme belliqueux se fait la guerre à lui-même ».

Frédéric Nietzsche.
Par-delà le bien et le mal.

Le national-bolchevisme doit être le fruit d’une convergence des meilleurs éléments de la droite extrême et des meilleurs éléments de la gauche extrême. Seule l’action politique peut contribuer au développement d’un mouvement de type national-bolchevique. En Russie, avec le Parti national-bolchevique, nous avons vu que cela était possible à travers l’action politique. Les « nazbols » ont souvent manifesté avec les mouvements communistes de type stalinien et avec certains mouvements nationalistes révolutionnaires. Si une alliance peut être conjoncturelle entre un parti ou mouvement communiste avec une formation nationaliste-révolutionnaire, cette alliance peut se transformer en nouveau mouvement ou parti. Il est important de partir de la théorie à la pratique. Pour transformer le monde, il faut partir de la réalité concrète et matérielle. Comme le soulignait Mao Tsetoung : « La vérité d’une connaissance ou d’une théorie est déterminée non par une appréciation subjective, mais par les résultats objectifs de la pratique sociale. Le critère de la vérité ne peut être que la pratique sociale ». Donc, pour Mao, le point de vue de la pratique, c’est le point de vue premier, fondamental de la théorie matérialiste-dialectique de la connaissance par l’analyse des contradictions nées du développement du système capitaliste consumériste. (3)

Il faut que les fondements du matérialisme-dialectique s’unissent avec la volonté de puissance, nécessaire à un élan de révolution totale. Il y a des contradictions habitant notre société et notre monde capitaliste qui doivent être analysées et séparées. Il faut faire la distinction entre les contradictions antagoniques et celles non antagoniques. Donc, il faut appliquer la praxis nécessaire pour surmonter les contradictions au sein des deux mouvances communiste et nationaliste-révolutionnaire pour ensuite, concrétiser l’alliance rouge-brune.

Conclusion

À mon avis, actuellement, il faut éviter de vouloir faire l’union entre les communistes et les fascistes sur un terrain autre que celui de l’action. Cela nous mènera tout droit à un échec! Il faut travailler avec les meilleurs éléments des deux mouvances et laisser les obsédés de la pensée pure, les super mecs de la cause identitaire et les cocos dinosaures se bouffer le nez entre eux!

notes

1 - Pour plus d’information sur le sujet, voir la biographie d’Ersnt Niekish sur le site de Wikipédia :: Lien

2 - Karl Marx et Friedrich Engels, L’idéologie allemande, Éditions Sociales, 1968, p.53.

3 - Mao Tsetoung, Cinq essais philosophiques « De la pratique », Éditions En langues Étrangères, Pékin, 1971, Pages 7 et 8.
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