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Lundi, 23 Juillet 2007
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Je suis un bon vieux rebelle (I am a good old rebel)
Rédaction
Histoire :: Autres
Je suis un bon vieux rebelle (I am a good old rebel)
Ce célèbre chant sudiste apparut peu après la fin de la guerre de Sécession (1866). Il exprime le refus impénitent de l’ordre démocratique et mercantile du Nord. Il serait facile d’adapter les paroles au contexte moderne (avec « Nouvel Ordre Mondial » à la place de « Reconstruction ») ; face à l’Occident ploutocratique et multiracial, le chant exprimerait la seule attitude possible pour tout Européen digne de ce nom : un NON ferme et définitif – en attendant des jours meilleurs, quand le Golem occidental sera tombé en morceaux.

Oh, je suis un bon vieux rebelle
Maintenant, c’est tout ce que je suis,
Et leur belle « terre de liberté »
Je n’en ai rien à faire.
Je suis content de l’avoir combattue,
J’aurais seulement voulu qu’on gagne
Et je ne veux pas de pardon
Pour tout ce que j’ai fait.

Je hais la Constitution
Et cette grande République,
Je hais le Bureau des Libertés
Et leurs uniformes bleus.
Je hais le méchant aigle
Ses vantardises et ses manières,
Ces menteurs et ces voleurs de Yankees,
Je les hais de plus en plus.

Je hais la nation yankee
Et tout ce qu’elle fait.
Je hais la Déclaration
D’Indépendance aussi.
Je hais la glorieuse Union
Qui ruisselle de notre sang.
Je hais leur bannière étoilée.
Et je l’ai combattue autant que j’ai pu.

J’ai suivi le vieil Oncle Robert [Lee]
Pendant presque quatre ans.
J’ai été blessé trois fois
Et j’ai crevé de faim à Pint Lookout.
J’ai attrapé des rhumatismes
En campant dans la neige,
Mais j’ai tué un paquet de Yankees
Et j’aurais voulu en tuer encore plus.

Trois cent mille Yankees
Gisent raides dans la poussière du Sud ;
Nous en avons tué trois cent mille
Avant qu’ils nous conquièrent.
Ils sont morts de la fièvre sudiste,
Du feu et du fer sudistes,
Et j’aurais voulu qu’on en ait trois millions
Au lieu de trois cent mille.

Je ne peux plus prendre mon fusil
Pour les combattre encore
Mais je ne vais pas les aimer
Ça c’est sûr et certain.
Et je ne veux pas de pardon
Pour tout ce que j’ai été et ce que je suis.
Je ne veux pas de la Reconstruction
Et je n’en ai rien à faire.
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