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Samedi, 6 Septembre 2008
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Élite, hiérarchie, chef...
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Théoriciens :: Autres
Élite, hiérarchie, chef...
La loi de la nature veut que celui qui a le plus de valeur passe avant celui qui en a le moins.
(Platon)

Héros : « Nom donné par les Grecs aux demi-dieux et aux grands hommes » ; « celui qui s’est distingué par des qualités ou des actions extraordinaires, notamment à la guerre ».
(tradition gréco-latine)

Il existe une aristocratie naturelle parmi les hommes : ses fondements sont la vertu et le talent.
(Thomas Jefferson)

L’univers est une hiérarchie, et c’est l’éternel privilège du sot d’être gouverné par l’intelligent. C’est le premier des droits de l’homme.
(Carlyle)

L’homme noble est un créateur de valeurs.
(Nietzsche)

L’élite est un exemple ou elle n’est rien.
(Inconnu)

Il ne s’agit pas de supprimer l’inégalité parmi les hommes, mais au contraire de l’approfondir et, comme dans toutes les grandes cultures, d’en faire une loi par des barrières infranchissables.
(Adolf Hitler)

Seule une nouvelle aristocratie peut nous procurer le bienfait d’une culture nouvelle.
(Adolf Hitler)

On ne discute pas sur la création d’une nouvelle « couche supérieure ». On la crée, et pour la créer, il n’y a qu’un seul moyen, c’est le combat.
(Adolf Hitler)

La nouvelle noblesse que vous cherchez
Ne vient pas du blason ou de la couronne
(…)
Sans lignée glorieuse grandissent dans la foule
D’étranges rejetons premiers-nés de leur rang ;
Et les frères se reconnaîtront
A la flamme pur du regard.
(Stefan George)

A l’idée d’élite est attachée l’idée de sacrifice, de pauvreté, de vie austère, et là où l’idée de sacrifice prend fin, l’élite disparaît.
(Corneliu Codreanu)

Nous faisons tous partie du divin, mais le héros parmi nous y participe d’une façon plus complète.
(Mario Palmieri)

Toutes les civilisations… furent l’œuvre des élites : élites guerrières des sociétés primitives, élites sacerdotales de l’Europe chrétienne et des grandes civilisations religieuses de l’Inde, élites politiques, économiques et scientifiques des civilisations modernes. Sans doute, leur règne ne s’exerça pas sans injustices… mais sans [elles], nous en serions encore à l’âge des cavernes. Quand les masses refusent de se confier à une élite ou à un homme capable d’interpréter leurs vouloirs obscurs, elles tombent dans l’anarchie.
(Louis Dumont-Wilden)

Un groupe, quoique petit, est susceptible d’échapper à l’influence néfaste de la société de son époque par l’établissement, parmi ses membres, d’une règle semblable à la discipline militaire ou monastique. Ce moyen n’est pas nouveau : l’humanité a déjà traversé des périodes où des communautés d’hommes et de femmes, afin d’atteindre un certain idéal, durent s’imposer des règles de conduite très différentes des habitudes communes. Tels, par exemple, les communautés monastiques, les ordres de chevalerie et les corporations d’artisans.
(Alexis Carrel)

Le rôle directeur d’une véritable élite et son existence même… sont radicalement incompatibles avec la « démocratie », qui est intimement liée à la conception « égalitaire », c’est-à-dire à la négation de toute hiérarchie : le fond même de l’idée « démocratique », c’est qu’un individu quelconque en vaut un autre…
(René Guénon)

Essentiellement, une élite naît de la guerre, que certains hommes sont obligés de mener contre une élite en place, mais dégénérée ou fausse. (…) Il faut songer que l’élite porte sur ses seules épaules la lutte que tout un peuple devrait entreprendre. C’est sur elle que se concentrent les haines d’un passé qui s’écroule ; il faut qu’un noyau d’hommes peu nombreux supporte seul le choc d’une guerre sans merci, que lui déclarent des forces diverses mais coalisées contre lui. C’est une vie dure, d’une façon permanente, qu’il faut mener, pour que tout un peuple indifférent, inconscient ou même parfois hostile, retrouve sa véritable voie.
(Paul Guiraud)

J’avais rêvé d’un siècle de chevaliers, forts et nobles, se dominant avant de dominer.
(Léon Degrelle, 1964)

Plus encore que les autres époques, l’ère des masses, où nous sommes entrés, a besoin d’élites nouvelles dégagées à partir de la base populaire, et non de castes héréditaires. (…) La sélection méthodique des nouvelles élites populaires, c’est la renaissance des chevaleries naturelles, ce « sel de la terre », sans lequel un peuple ne peut être fécondé et devenir lui-même.
(Gauthier-Walter)

Nous voulons instituer un ordre de castes qui n’est pas sans analogies avec celui de l’Inde traditionaliste : brahmanes, kshatriyas, tchandalas ; autrement dit : prêtres, guerriers, travailleurs. Mais nous mettons en tête les guerriers, parce qu’ils sont seuls incorruptibles, au moins tant qu’ils sont authentiquement des guerriers… le guerrier tire sa dignité de son courage ; il n’a pas besoin de richesse pour se sentir supérieur ; il se ressent comme l’incarnation de la justice, comme la main agissante du divin. Le prêtre par contre tombe facilement au niveau du medium, mélange inspiration et imagination. Toutes les grandes civilisations ont péri par leurs prêtres devenus des exploiteurs de la crédulité, donc une source de nihilisme et de révolte.
(Robert Dun, Le grand suicide)

L’Ordre n’a pas besoin d’écussons et de devises. Sans bannières, demeure, à travers les pays et les âges, l’éternelle aristocratie. Le militant bolchevik, le combattant de la Waffen SS, le croisé de l’écologie, tous ont pressenti qu’ils voulaient, au fond, créer un Ordre, c’est-à-dire une communauté d’hommes liés par des règles de vie, au service d’une conception du monde.
(Jean Mabire)

Toute aristocratie prend sa loi en elle-même.
(Alain de Benoist)

La hiérarchie, c’est la véritable égalité, c’est le classement des individus selon leurs capacités, pour une tâche à mener. (...) La société nouvelle remettra à l’honneur nos principes d’ordre, de sélection, de hiérarchie.
(manifeste du PFN [Parti des Forces Nouvelles], 1979)

L’égalitarisme social ne peut être, d’un point de vue scientifique, qu’être une régression. Plus une société est évoluée, plus elle est hiérarchisée.
(Michel Norey, Etudes et Recherches, N° 1)

Il n’existe pas de justice sociale qui ne soit basée sur la reconnaissance de l’inégalité des individus et de la diversité de leurs rôles ainsi que de la différence d’aptitude des espèces humaines. La justice sociale consiste à donner à chaque individu une place selon ses besoins, sa nature.
(Alain Daniélou, Le chemin du Labyrinthe, 1981)

Aucun groupe humain n’échappe à une sélection immanente. Une hiérarchie se constitue instantanément parmi les élèves d’une classe, les passagers d’une rame de métro ou d’un autobus, dans les files d’attente des magasins et sur les pistes de dancing.
(Edouard Limonov, Le Grand Hospice occidental)

Iranienne, celtique ou germanique, la chevalerie, montée sur l’animal psychopompe par excellence, proche parent du dragon, réunit pour finir les qualités des deux premières castes, la sagesse et la force, dans le but de retrouver l’état primordial.
(Nicolas Bonnal, postface à La Quête du Graal de J.P. Bourre)

L’Elite n’est pas et ne doit jamais être une représentation de la société – elle est au-dessus d’elle.
(Norman Lowell)

Qui élit l’Elite ? – Elle s’élit elle-même !
(Norman Lowell)

Le chef

Là où intervient l’homme de valeur, il établit la loi.
(Goethe)

Le Fils de Roi... est celui qui a trouvé les qualités que vous avez dites pendues à son cou le jour de sa naissance ; celui-là, incontestablement, par un lignage quelconque, a reçu du sang infusé dans ses veines les vertus supérieures, les mérites sacrés que l’on voit exister en lui, que le monde ne lui a pas communiqués.
(Gobineau)

Tout homme supérieur aspire à se retrancher dans une forteresse, dans un refuge où il se sente délivré de la foule, de la masse, de l’écrasante majorité.
(Nietzsche)

Celui qui sait commander trouve toujours ceux qui doivent obéir.
(Nietzsche)

Le génie de son groupe ne le quitte pas ; ce génie le soutient quand son pied chancelle, et, comme le daïmon socratique, l’avertit, au moment où il risquait de s’égarer ; ce génie exige son obéissance, et souvent le contraint à des actions qu’il n’eût point osé entreprendre, parce qu’il n’en concevait pas la possibilité.
(Houston S. Chamberlain)

Le temps qui va venir est celui des chefs divins.
(baron Ungern von Sternberg)

Si aucun guide spirituel ne vient à naître en Occident, le danger est grand de voir le chaos emporter tout notre monde.
(Rudolf von Sebottendorf)

Le Führer [doit être]… une combinaison du souverain, du guerrier et du prêtre.
(Wilhelm Stapel)

Il suffit d’avoir un sang pur pour gouverner le monde.
(Alfred Rosenberg)

Le chef ne sera plus désigné par l’intrigue ou le vote, il sera une force naturelle.
(Erwin G. Kolbenheyer)

Le Führer a pour mission de diriger le peuple en interprétant sa volonté ; c’est un médiateur entre les destinées historiques de la nation et les besoins inconscients du peuple.
(texte national-socialiste)

Alexandre... le roi de sang nordique, devait venir et vaincre Darius pour reprendre son titre de « roi des rois de la race aryenne ». Chaque combat était pour lui un devoir, et chaque énigme un combat. Pour remporter un combat, on a besoin d’une arme. Alexandre prit son épée... et trancha résolument le lien. Alors il démêla la masse confuse du monde de Midas et devint le maître du monde. Le sang qui coulait dans ses veines lui avait indiqué la voie juste.
(Otto Rahn)

C’est vers le chef que tous les militants se tournent quand l’obstacle surgit à l’improviste, quand les embûches se dressent apparemment insurmontables. C’est de lui que tous attendent le regard encourageant, le mot animateur et le geste irremplaçable.
(archives des Phalanges libanaises, 1937)

Porté par ses fidèles : le chef lui-même issu du peuple. Et la quasi-unanimité de la masse l’acclame, parce qu’il est son image vivante et parce qu’elle se reconnaît en lui. Aussi son autorité sera-t-elle absolue.
(Edouard Dujardin, De l’Ancêtre mythique au Chef moderne, 1943)

…aujourd’hui un chef… ne représente plus le droit divin ni l’ordre libéral, mais quelque chose qui a son foyer beaucoup plus au sein de la réalité tangible, dans la masse profonde du peuple… Ce chef est en rapport sensible avec toutes les consciences de sa race, il est l’émanation de tous et de chacun ; son autorité et son prestige, il les reçoit du caractère quasi sacré de cette correspondance infiniment multiple et, toute sa force, de la confiance et de l’amour qui l’inspire. (…) Il leur fallait un chef, non pas n’importe quel chef, issu de n’importe quelle élection, mais leur chef naturel, c’est-à-dire sorti de leurs entrailles, c’est-à-dire pétri de leur substance, de cette même substance dont est faite la masse et qu’il fut cependant tout autant homme supérieur… qu’il faut à la fois tout ce qu’est cette masse et tout ce qu’est cet homme !
(Alphonse de Châteaubriant, article « Le Chef », avril 1943)

Tous les grands hommes, tous les hommes supérieurs, nous affectent magiquement. (…) l’homme supérieur est comme le sommet montagneux recouvert de neige.
(Francis Parker Yockey)

Alexandre est venu, qui a renoué le lien solaire unissant autrefois les montagnes de Macédoine aux plaines de l’Indus. Le grand conquérant a tenté de rassembler des frères dispersés.
(Jean Mabire)

…un jour, brusquement, le ciel d’un pays est traversé par le grand éclair foudroyant de l’être qui n’est pas comme les autres, dont on ne sait pas encore au juste ce qu’il a d’exceptionnel mais qui a quelque chose d’exceptionnel. Cet éclair-là atteint dans l’immense foule des forces de la même origine que la sienne, mais atrophiées et qui, recevant le choc émetteur, se raniment, répondent, correspondent, à petite échelle, sentant néanmoins leur vie transformée. Ils sont animés, soulevés par des fluides qui n’avaient jamais atteint leur vie normale et dont ils n’avaient jamais soupçonné qu’ils transperceraient leur existence. L’homme de génie est ce formidable poste émetteur et récepteur, qu’il s’appelle Alexandre ou Gengis Khan, Mahomet ou Luther, Victor Hugo, Mussolini ou Adolf Hitler. Les génies entraîneurs de peuples, les génies enchanteurs de couleurs, de volumes et de mots, sont projetés, à des degrés plus ou moins intenses, vers des destins inéluctables.
(Léon Degrelle)

Le vrai chef a un sens inné du commandement, rayonne d’imagination créatrice. Il a la soif de l’initiative, il devine, il ruse, il porte le coup imprévu. Il est un entraîneur d’hommes, il provoque le don, suscite l’enthousiasme, fait de la discipline un service allègrement consenti.
(Léon Degrelle)
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