Les raisons en sont toutefois plus subtiles que ne le voudraient les rigoureux raisonnements géopolitiques et militaires, fort bien étudiés dans l’article (lien) de monsieur Horbiger (je ne sais s’il s’agit d’un patronyme exact ou d’un pseudonyme prestigieux). L’été 40, ce n’est pas seulement le Grand-Amiral Erich Raeder (qui n’a …
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