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Vendredi, 23 Septembre 2011
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Rencontre avec Avigdor Eskin
Christian Bouchet
Impérialisme :: Antisionisme
Rencontre avec Avigdor Eskin
Avigdor Eskin est une personnalité clivante de la vie politique israélienne et on peut difficilement trouver au sein de celle-ci un leader qui soit plus « à droite », plus nationaliste et plus radical…

Hier, agent de liaison entre l’extrême-droite du Parti républicain yankee et les courants sionistes les plus radicaux, il a aussi été un proche de Meïr Kahane, le fondateur de la célèbre Ligue de défense juive.

Dans les années 1990, il a été condamné a près de trois années de prison pour son activisme politique en Israël, où il s’est fait connaître en lançant une “conjuration noire” sur Yitzak Rabin et en laissant entendre que c’est celle-ci qui fut la cause de son assassinat.

Aujourd’hui, tout en militant toujours pour le Grand Israël, il mène une action de lobbyisme en faveur des populations blanches d’Afrique du Sud.

Il va sans dire que la plupart de ses positions sont à l’opposé de celle des rédacteurs de Voxnr. Il nous a cependant semblé utile de le rencontrer et de lui donner la parole.

Christian Bouchet : Avigdor Eskin, qui êtes-vous ?

Avigdor Eskin : Je suis un juif qui vit sur la Terre Sainte d’Israël et qui a le privilège d’y étudier la sagesse de la tradition primordiale de la cabale. Je suis engagé aussi dans beaucoup d’autres aventures sur cette terre, mais mon appartenance à Sion, à la fois au niveau terrestre et céleste, est ce qui est le plus important pour moi.

J’ai lu que vous auriez été ami avec Meïr Kahane (1) ? Est-ce vrai et si oui, que faisiez-vous en commun ?

Le rabbin Meïr Kahane était un grand meneur d’homme et un théologien de premier plan. Bien que nous différions dans nos projets et dans les moyens de les mettre en œuvre, j’ai effectivement été un de ses amis proches. Il était intellectuellement brillant et avait l’esprit ouvert. Son idéalisme était d’un niveau tel qu’il n’est plus compréhensible par les générations actuelles. Ensemble, nous avons mené à bien divers projets, mais le temps n’est pas encore venu d’en parler.

Vous avez aussi travaillé avec le sénateur Helms (2). Qui était-il réellement ? Est-il vrai que c’est sous votre influence qu’il a modifié sa position concernant Israël ?

Feu le sénateur Jesse Helms, que sa mémoire soit bénie, était un des dirigeants des chrétiens conservateurs des États-Unis et un homme d’honneur. Il était la cheville ouvrière de la Nouvelle droite américaine. Helms était la cible prioritaire de divers mouvements juifs libéraux, ce qui l’avait rendu hostile à Israël, au point qu’il était considéré comme l’homme politique américain le plus hostile à mon pays.

J’ai commencé à travailler avec ses collaborateurs en 1983 au sujet des juifs d’URSS et cela m’a amené à parler d’Israël avec lui. J’ai découvert alors qu’il n’y avait pas de base réelle à sa position hostile. Bientôt, Helms a compris qu’Israël était fondamentalement une société très conservatrice et qu’il y avait un gouffre entre les israéliens et les juifs assimilés et libéraux des États-Unis.

En mai 1984, Helms a reçu au Sénat le député israélien de droite Michael Kleiner et moi même et a déclaré qu’il soutenait la thèse de l’unité de Jérusalem et du droit pour Israël d’annexer la Judée et la Samarie, que les médias libéraux nomment « la rive occidentale du Jourdain ». Kleiner fit, pour sa part, des déclarations très claires en faveur de l’idéologie conservatrice et en faveur de la coopération entre Israël et l’Afrique du Sud.

Jesse Helms se rendit en Israël un an plus tard. Il devint alors le meilleur ami de notre pays dans toute l’histoire de ses relations avec les États-Unis. C’était un homme de foi, un homme digne et un grand patriote.

Est-il exact qu’en 1995, vous avez jeté la conjuration dite Pulsa diNura sur Yitzak Rabin en réponse aux accords d’Oslo ? Qu’appelle-t-on en réalité une Pulsa diNura et pensez-vous vraiment avoir joué un rôle dans l’assassinat de Rabin ?

Comme vous le savez, le gouvernement d’Itzhak Rabin s’était engagé dans une politique de retrait des territoires de Judée et de Samarie, ainsi que des hauteurs du Golan.

La presse libérale par pur non-sens nomme ceux-ci « territoires occupés » alors qu’ils ont été donné au peuple juif par la Ligue des nations dès 1922 quand la terre d’Israël était sous mandat britannique et nommée Palestine. Ce document a une valeur légale et n’a jamais été annulé. Puis ces territoires furent occupés illégalement par la Jordanie en 1948. Il est intéressant et amusant que personne n’ait alors demandé à la Jordanie de créer là un État palestinien. Il y a une raison à cela : 70% des Jordaniens sont Palestiniens. Israël fut attaquée par la Jordanie en 1967 et, en réponse à cela notre armée libéra l’ancienne terre biblique qui nous appartenait selon les lois internationales.

Au début des années 1990, le gouvernement de gauche libérale de Rabin décida de passer un accord avec Arafat pour créer un État palestinien en Judée et en Samarie. Aussitôt après les accords de septembre 1993 les Palestiniens firent couler des flots de sang en Israël. Des centaines de personnes furent tuées. C’était comme cela que notre ennemi concevait le processus de paix. Le gouvernement de Rabin ne mit pas un terme à l’insanité consistant à donner une base territoriale aux terroristes, mais, au contraire, il autorisa Arafat et ses tueurs a quitter la Tunisie pour Gaza. Les terroristes continuèrent de tuer et Rabin continua de parler de paix, et il remis même 50.000 fusils aux Palestiniens.

Ce n’était pas seulement abandonner une partie de notre terre mais c’était aussi une reddition totale et démoralisante.

Ainsi, je pris la décision de faire une prière en public pour mettre un terme à cela. La Pulsa diNura est une prière ancienne utilisée pour demander à D.ieu de juger certains pêcheurs et de les punir s’ils sont dans l’erreur. Cela n’a rien à voir avec de la magie noire, c’est juste une prière dont on use dans des cas extrêmes. La dernière fois connue où elle avait été utilisée, c’était contre Léon Trotski, qui fut la cible d’un groupe de rabbins dirigés par le fameux Hofetz Haim. Comme vous le savez, nous avons donné à Rabin trente jours pour se repentir et changer de politique. A l’issu de ce délai, il fut révolvérisé par Yigal Amir, qui est entré dans notre Histoire où il a une importance égale à celle de Charlotte Corday dans la votre.

J’ai vu que, dans un entretien accordé au journal nationaliste russe Zavtra, vous affirmez que le Département d’État des USA est « sous le contrôle de l’oligarchie financière mondiale ». En Europe et aux États-Unis, certains analystes disent qu’il est « sous le contrôle du lobby sioniste ou juif ». Serait-ce la même chose et si non, qui a raison ?

Le Département d’État est étroitement lié aux intérêts des société multinationales à capitaux américains. Dire cela n’est pas une manifestation de conspirationisme mais une simple constatation de la réalité. La politique étrangère des USA est influencée par leurs intérêts économiques. Personne ne peut dire le contraire.

Quant à ceux qui affirment que le Département d’État est sous le contrôle du « lobby sioniste », ce sont les même qui, en Europe, s’imaginent que nous utilisons du sang de chrétiens pour nos cérémonies de Paques…

Je trouve que de discuter du contrôle par les sioniste du Département d’État ou de toute autre institution internationale a un côté humoristique. Le sionisme ne signifie rien d’autre que le retour des juifs de toutes les nations en Israël. En d’autres termes, cela signifie que le sionisme est un mouvement politique sionisto-centré qui ne souhaite qu’une chose : le départ des juifs d’Europe et de tous les autres pays. Comment peut-on corréler cela avec les société multinationales et leur pouvoir politique ?

Ce qui est vrai c’est que le capitalisme mondial et ses clercs sont les ennemis de l’État d’Israël comme État national pour le peuple juif. Ils demandent que nous quittions la Judée et la Samarie, ils soutiennent la position des Arabes. Ainsi, il ne faut pas seulement être un antisémite obtus, mais aussi un aveugle et un simplet, pour être capable de tirer des liens entre le sionisme, l’État d’Israël et la grande finance mondiale, notre pire ennemi actuellement.

Nous nous souvenons toujours de l’époque où il y avait une coopération particulière entre Israël et la France. Votre pays était alors un État national. Mais actuellement la France est très différente et nos relations ont changées. Dans tous les cas, le principal problème pour Israël actuellement est la pression américaine et notre divorce avec Washington n’est qu’une affaire de temps. Je souhaite que la France redevienne un État national et que l’amitié entre nos deux pays renaisse.

Que pensez-vous d’un de vos concitoyens portant le même prénom que vous… Je veux, bien sûr, parler de Lieberman ?

Je suis obligé de faire remarquer que dans le passé, il a été, à un moment, en faveur de la création d’un État palestinien. Mais maintenant, il réalise que le peuple d’Israël penche de plus en plus vers la droite dure. De ce fait, il s’aligne sur la bonne orientation.

Quelle est votre solution pour assurer la survie d’Israël ? Que pensez-vous de l’hypothèse d’un État palestinien et que voulez-vous faire des arabes qui ont la citoyenneté israélienne ?

Quel problème avons-nous ? Israël existe et est victorieux depuis soixante-trois ans. La qualité de la vie, dans notre pays est la meilleure au monde à la fois d’un point de vue spirituel et physique.

Il existe un État palestinien qui se nomme la Jordanie. Pourquoi diable créer un autre État palestinien ?

Quant à nos citoyens arabes, ils doivent être loyaux et s’ils ne le sont pas, on doit leur accorder le privilège de quitter Israël et de vivre leurs aspirations palestiniennes en Jordanie ou où ils veulent ailleurs, même en France, où certains les soutiennent avec tant de véhémence.

Nous avons l’habitude de la situation de guerre. Mais venez en Israël et voyez comment y est la vie ! Et je peux vous assurer que notre capitale, Jérusalem, restera unie. Il y a plus de chance que la banlieue Est de Paris devienne la capitale du califat du Maghreb que la partie orientale de Jérusalem devienne celle de la Palestine. Cependant, j’espère que Paris restera une magnifique ville française et que votre gouvernement cessera de soutenir nos ennemis.

Que pensez-vous des thèses des rabbins Dov Lior et Yaakov Yossef (3) ? Avez-vous des liens avec eux ? À ce propos êtes vous un nationaliste religieux ou laïc ?

Ces rabbins sont deux sages importants de notre génération. Je les connais tous les deux
assez bien. Leurs propos ont été totalement déformés par la presse de gauche. Les journalistes n’ont habituellement, de nos jours, pas les capacités intellectuelles suffisantes pour comprendre un discours théologique.

Quant à la seconde partie de votre question, je ne me limiterai jamais dans les frontières du nationalisme qui est une version du relativisme séculier. Notre tradition est sionisto-centrique et même ethno-centrique mais seulement afin d’avoir des bases fermes pour remplir notre rôle messianique universel.

Et concernant les juifs orthodoxes anti-sionistes comme ceux de Mea Sharim ou du courant de Satmar, qu’en pensez-vous ?

De nos jours, ce n’est plus qu’un mythe. Il y a longtemps, il y a eu un débat sur l’agenda à suivre pour arriver à l’indépendance d’Israël et sur la nature de l’État à instaurer. Les arguments qui furent avancés alors contre la création d’Israël ne sont plus valides soixante-trois ans plus tard. Personne aujourd’hui ne souhaite le démantèlement du pays dans lequel nous vivons.

Il est exact de dire que de nombreux juifs orthodoxes sont critiques vis-à-vis des tendances libéralo-démocratiques actuelles de la Cour suprême d’Israël, mais dans le même temps, toutes les études de sociologie politique montrent que les juifs ultra-orthodoxes sont positionnés encore plus à droite que les colons de Judée et de Samarie.

Quand vous voyez un petit groupe de juif vêtus de manière traditionnelle rendant visite à Ahmadinejad et participant avec nos ennemis à des manifestations anti-israéliennes, dîtes-vous que ce n’est qu’un carnaval. La vérité est que les juifs orthodoxes sont parfaitement loyaux vis-à-vis de la terre d’Israël.

J’ai fait votre connaissance en France, à une réunion consacrée à René Guénon. Êtes-vous un traditionaliste ? Et si oui, quelle place attribuez-vous à Israël dans la Tradition ?

J’ai eu, effectivement, le privilège de participer à la célébration du soixantième anniversaire du décès de René Guénon, ce grand sage du siècle passé, à Paris.

Il y avait de nombreux juifs à cette réunion – dont un des plus grands cabalistes de notre temps, le rabbin Mordékhai Chriqui -, des musulmans et aussi des militants de la droite de conviction.

Bien sûr, je me conçois comme un traditionaliste. Je suis particulièrement proche de René Guénon et celui-ci est cher à mon âme. Son enseignement est basé sur la cabale plus que sur toute autre chose.

La place d’Israël dans la Tradition est centrale à mes yeux. Le fait que les juifs reviennent sur cette terre après deux mille ans a plus de signification qu’un simple retour historique à la mère-patrie. Nous parlons ici de l’accomplissement d’une prophétie biblique concernant l’exil et le retour en Israël. L’État d’Israël n’est pas seulement la concrétisation de notre victoire nationale – il est bien plus que cela, c’est une victoire de la Bible. C’est la plus forte manifestation des mots de D.ieu dans ce monde. Si ceci était pris en compte, notre présence en Judée, en Samarie et à Jérusalem ne serait plus remise en cause.

René Guénon s’est converti à l’islam et nombre de traditionalistes européens ont fait de même. Quelle opinion avez-vous concernant cette religion et ces conversion ?

Ce fut pour lui un choix personnel et non pas un exemple à suivre qu’il imposa à ses disciples français. Il suffoquait en Europe, parce qu’il n’y trouvait aucun endroit pour s’échapper spirituellement. Nous devons respecter le choix de Guénon. Cependant, il a écrit que les Français devaient suivre leur propre tradition et y rester fidèle. La France n’est pas seulement un pays égalitariste et démocratique, c’est aussi une nation qui a une tradition intellectuelle et spirituelle très intéressante.

Quant à la tendance actuelle à se convertir à l’islam, je suis perplexe et réservé, non pas par irrespect pour l’islam mais parce que je vois là un marqueur du défaitisme politique qui règne en Europe.

Quand nous nous sommes rencontré, vous m’avez cité le nom de vos contacts en France. Des individus comme Millières, etc. Pour moi, tous ces gens sont des occidentalistes et des néo-cons très hostiles au mouvement national français. Etes-vous d’accord avec eux ?

Je n’ai jamais rencontré Millières, mais je connais assez bien le spectre politique de la France contemporaine. Il semble que le meilleur choix à faire pour votre pays est celui d’Israël, c’est-à-dire être un État national. Je ne vois pas d’autres options, si votre but est de préserver votre nation et votre culture. Le multiculturalisme est toujours un échec. Il mélange des individus de traditions différentes et les unifie au niveau le plus bas, le plus dégradé, le plus sous-humain.

Toutefois, afin de créer un État national, vous devez intégrer des aspirations traditionnelles et spirituelles à vos aspirations. Il faut se souvenir que la France ce n’est pas seulement le 14 juillet, mais aussi la Vendée.

Habituellement, en France, la communauté juive est très hostile au Front national. Comment jugez vous ce fait vu d’Israël ? Pourquoi le gouvernement israélien s’est-il opposé à la venue d’élu européens du Front national dans votre pays ?

L’histoire est très simple : Jean-Marie Le Pen n’aime pas les juifs donc les juifs ne l’aiment pas. Si le Front national change son attitude vis-à-vis des juifs ceux-ci changeront leur attitude à son égard de même. Il ne faut pas confondre cela avec les positions anti-juives de personnalités libérales et anti-sionistes telles Bernard-Henry Lévy ou André Glucksmann. Elles représentent simplement tout ce qui est mauvais, pervers et anti-juif. Leurs critiques du Front national sont basées sur leur libéralisme hypocrite et faisandé. Comme vous le savez, ils critiquent de manière vive aussi l’État d’Israël.

Il n’est pas acceptable que les dirigeants du Front national ne puissent pas se rendre en Israël. Je me souviens qu’un groupe de cadres frontistes fut reçu à la Knesset en 1987 et qu’il y eut d’autres visites, y compris de membres du Parlement.

Cependant, le ministère des Affaires étrangères de mon pays montra de l’hostilité vis-à-vis du FN et ce fut une grave erreur. Une erreur identique à celle faite par votre gouvernement à l’encontre d’Avigdor Lieberman. Israël a des discussions avec divers groupes qui n’ont aucune sympathie pour les juifs, pour ne pas dire plus. Par exemple, Abu Mazen est bien connu pour nier la réalité de l’holocauste. Malheureusement, le gouvernement israélien fut influencé par le gouvernement français et des juifs libéraux français. Jean-Marie Le Pen fut traité de manière incorrecte par notre ministère des Affaires étrangères.

J’ai aussi noté votre action en faveur des Boërs d’Afrique du Sud. Pourquoi celle-ci et que faîtes vous concrètement ?

Comme vous le savez, la police d’Afrique du Sud a tué 620 noirs uniquement durant les quarante-six années que dura l’apartheid (1948-1994). Depuis 1994, les troubles qui agitent ce pays ont fait 190.000 morts dont environ un tiers étaient des Blancs. Il faut mettre fin à ces meurtres de masse. Même ceux qui affirment que l’apartheid n’était pas un régime acceptable peuvent admettre que la situation actuelle est mille fois pire.

Les Afrikaners d’Afrique du Sud furent les meilleurs amis qu’Israël ait jamais eu et nous ne pouvons pas rester inactif alors qu’ils sont victimes d’un génocide. Comme nous, les juifs, nous sommes très sensibles à la question des droits de l’Homme, nous devons agir car il n’existe pas d’autres pays au monde où des êtres sont aussi humiliés que les Blancs en Afrique du Sud.

Mon but, actuellement est de faire connaître au monde ces terribles événements et de faire la promotion de l’idée d’une État indépendant pour les Afrikaners et les autres Blancs de ce pays. Je reçois beaucoup de soutiens pour ce faire, spécialement en Israël et en Russie.

Les Français doivent étudier en profondeur la situation en Afrique du Sud. Si vous voulez continuer votre politique de multiculturalisme vous risquez de connaître un jour une situation identique. Qui sait si vous ne sauvez pas votre propre futur en aidant les victimes du génocide qui se déroule actuellement en Afrique du Sud.

notes

1 – Meïr Kahane (1932-1990) fut le fondateur de la Ligue de défense juive, une organisation internationale considérée comme terroriste par le Département d’État des USA. En Israël, il créa le parti Kach dont il fut député à la Knesset. Ce parti fut interdit en 1988 pour « apologie du racisme » et « activités anti-démocratiques ».

2 - Jesse Alexander Helms (1921 –2008) fut un des principaux dirigeants de la droite républicaine aux État-Unis. Il joua un rôle important dans l’élection à la présidence de Ronald Reagan. Il était célèbre pour sous hostilité rabique à l’homosexualité, à l’avortement, à l’affirmative action, etc. Longtemps président du comité en charge des affaires étrangères au Sénat, il y manifesta un anti-communisme radical.

3 – Rabbins ayant apporté leur soutien à l’ouvrage Torat Hamelech (La Torah du Roi) publié par les rabbins Itzhak Shapira et Yossef Elitzour en 2009 qui justifie l’assassinat de non-juifs innocent, femmes et enfants y compris, dans un contexte de guerre.
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