Préface de Francis Bergeron.

« Les sorciers, lorsqu’ils font de terrifiantes conneries, on accuse toujours l’apprenti », assurait Jacques Prévert…

Depuis des années, Philippe Randa a décidé de pointer les responsabilités, les absurdités, les compromissions et les trahisons de ceux qui dirigent, manipulent et s’enrichissent, tout en s’érigeant, comble de l’hypocrisie ! en impitoyables moralisateurs… et en faisant, bien évidemment, toujours supporter le poids de leurs fautes sur d’autres !

Ainsi, il est désormais obligatoire de se soumettre, en tout lieux et en toutes occasions, à de prétendues « valeurs républicaines » que ces nouveaux – et tout aussi despotiques – « directeurs de conscience », se sont arrogés le droit de définir et eux seuls…

Ces « valeurs » n’ont bien souvent de républicaines que le nom et servent de trompe-œils à leurs turpitudes, leurs prévarications, leurs intérêts ou de leurs utopies mortifères. Désormais cette expression fleure de façon ter­ri­ble­ment nauséabonde le totalitarisme et la France, pays auto-proclamé des droits de l’hom­me, est chaque jour de moins en moins celui du débat d’idées…

Philippe Randa fait parti de ceux qui montre le monde comme il va… ou plutôt comme il ne va pas avec cynisme, ironie, humour, parfois avec parti-pris, mais toujours avec honnêteté, ce qui, de nos jours, n’est pas si courant…

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