Pourquoi je soutiens mon frère de combat Kémi Séba
Il n'est pas surprenant que de l'extrême gauche à l'extrême droite on se soit choqué, entre petit bourgeois, de la totale convergence de vue que j'entretiens avec le leader panafricain et résistant anti-sioniste et anti-impérialiste Kémi Séba. Ayant sucé les valeurs de la démocratie qu'ils sont censés vomir, nos ahuris tatoués ou nos bolchevistes bourrés de piercings semblent débarqués sur l'heure de mars ou de pluton, les yeux roulant et la face cramoisie. Mais les quelques lampées de salive qu'ils distribuent à gauche et à droite sur mon compte font figure de baisers langoureux à cotés des tombereaux d'injures qu'ils adressent, en toute objectivité démocratique et anti-raciste naturellement, au Fara. Qu'est ce qui peut donc pousser un militant indo-européiste à s'engager ouvertement en faveur d'un homme dont l'origine raciale serait censée m'opposer à lui selon les schémas de la bien pensance des invertis du marais et des branleurs clinquants de Neuilly ?
Pour un occidental, la réponse sera dure à trouver. Pour un résistant européen en revanche, l'énigme ne résiste pas longtemps à la fulgurante logique des enjeux de l'heure. En effet, qu'y a t'il de plus urgent que de trouver enfin avec des représentants de l'immigration un terrain de dialogue qui ne soit pas piégé par le sionisme international, les magouilleurs parlementaires et leurs réseaux mafieux, les philosophes en toc des loges maçonniques ou les crasseux associatifs pour qui la question est d'abord et avant tout un casse croûte comme un autre. Depuis trop longtemps la question migratoire et ses conséquences est une gigantesque entreprise de tapinage émotionnel ou derrière les prétendus bons sentiments humains se cachent une affaire bien huilée profitant aux mondialistes de toutes obédiences, de l'extrême gauche nihiliste anti-européenne à la droite libérale financiariste.
L'urgence n'était pas tout, c'est l'histoire et la dialectique qui nous a apporté Kémi Séba, dont l'existence eu été impensable 10 ans auparavant. Qui aurait imaginé autre chose que des masses immigrées encadrées par des kapos sionistes comme Dray et sa bande, excitée par elle contre le corps national français pour le seul bénéfice des Juifs ministériels ou patronaux ? Le prolétaire blanc était sommé de s'indigner de n'être pas assez généreux tandis que les grandes consciences hébraïques comme BHL, aux frais du gaulois, accusaient et jugeaient depuis son sanhédrin itinérant les européens récalcitrants à son projet messianique via son appui hystérique à SOS Racisme. Il fallait pour cela que des indigènes européens aient le courage de désigner, sans complexe, la farce sioniste et ses acteurs de même qu'il fallait des immigrés désertant la logique mendiante pour celle d'un projet libérateur d'affirmation identitaire et sociale, qui ne pouvait prendre corps que dans une volonté émancipatrice conjointe de l'Europe et de l'Afrique.
C'est bien là les raisons fondamentales qui poussent les européens conscients et révolutionnaires à soutenir, sans arrière pensées, les camarades de lutte afro-centristes qui veulent pour leur continent ce que nous voulons pour le notre. Le grand rêve de division interraciale souhaitée et conçue par les cerveaux israélites et mondialistes a été, avec l'arrivée de Kémi Séba, brutalement remise en question. La grande boutique internationaliste du melting pot concentrationnaire est donc sur le point de voler en éclats sous la pression convergente des révolutionnaires africains, kémites, et des révolutionnaires blancs, européens. Les petits bourgeois préfèreront s'en tenir à leur panique sécuritaire, aux bobos causés par les conséquences du libre échangisme total de l'empire atlanto-sioniste, plutôt que de sauter les préjugés primaires et stériles et de discuter avec nos alter égos panafricains.
Kémi Séba, nous l'avons vu. Nous l'avons entendu et nous avons analysé ses actions qui, faut il le rappeler, reposent sur la seule bonne volonté. Et cela suffit à nous faire dire que nous avons à faire à un leader d'exception qui pourra marquer l'évolution de l'histoire contemporaine de la société française. Plus que jamais les nationalistes de tous les pays doivent s'unir, car c'est notre survie qui en dépend. Le frère de lutte Kémi Séba a une détermination d'acier et le fait que de nombreux nationalistes tremblent comme des fillettes à l'idée de taper sur le sionisme international tandis qu'un "immigré", qui aurait mille raisons de passer son chemin plutôt que de discuter avec nous, le fait, suffit à nous pousser en sens contraire, dans la voie du partenariat intelligent et efficace.
Seuls les idiots ou les propagandistes ne comprennent pas l'évident rapprochement amorcé entre résistants européens et frères de lutte kémite. On peut lire dans la prose des marginaux clochardisés de l'antifascisme acnéique toute faite d'incompréhension, de cris scandalisés et d'anathèmes, l'effroi à la vue de ce qu'il avait pour habitude de voir comme "leurs" nègres, toujours bons à leur servir de faire valoir et à passer pour de grandes consciences universelles, changer de ton: pensez donc, un Noir qui ne demande pas de papiers, qui ne sert pas la soupe à la myriade des parasites associatifs, qui ne mange pas du pain cosmopolite, qui ne pleure pas sur la Shoah, voilà bien qui dépasse l'univers mental étriqué de ces rats de squats anarchisants ! C'est que ce "Nègre" de Séba a quelque chose qui dépasse ces blancs dégénérés: l'appel du sang et des ancêtres, la voie de la Tradition. Que lui importe la compréhension de ces cohortes d'humanistes pédants, culs serrés verbeux "au grand coeur" et aux petits calculs de boutiquiers politicards, notre camarade veut foutre en l'air toute cette pseudo démocratie, ce ramassis de niaiseries de communiantes dégoulinantes de bons sentiments convenus. Ce "Nègre" veut être un homme digne et par conséquent, un être libre: il n'en fallait pas tant pour que les révolutionnaires européens accourent et s'enthousiasment. Il ne s'agit pas d'une mutualisation du refus de nos races respectives. Nous voulons simplement un monde nouveau, une renaissance morale complète qui fasse place aux génies de nos peuples et de nos cultures. Nous voulons une grande Afrique comme nous voulons une grande Europe. Et les andouilles de kermesse qui ne peuvent dépasser le stade de l'aumône lorsqu'elles croisent un kémite en seront pour leur frais: l'arnaque sioniste couverte des torrents de bobards démocratiques en faveur des plaies africaines est en train de tourner court. Et les nationalistes authentiques seront au rendez vous.
Qu'on ne s'étonne donc pas que les anti-impérialistes collaborent et soutiennent Kémi Séba. Pour ma part non seulement je le soutiens mais je diffuse l'idée qu'il a mis en mouvement et qui n'a jamais vu le jour jusqu'à présent. Cette fulgurance nous la devons à cet individu parti de rien qui fait trembler cet état pourri tenu par la mafia sioniste internationale et ses laquais. Voyez vous, Séba sauve l'honneur de ce pays en dénonçant ce que depuis de trop longues années les nationalistes ont effacé de leur mémoire. Et il paie le prix fort. Dans des procès de Moscou ubuesques ou des procureurs sionistes, au nom de la nation française, tentent en vain de terroriser le Fara, apparaît le plus fantastique aveu de la part de la mafia sioniste qui contrôle désormais les destinées du pays: celui de la trouille. Et nous devrions face à ce courage et ces bouleversements prendre nos valises et traquer sans réfléchir l'islamiste que BHL nous désigne ?
Kémi Séba est un pont entre nous autres indo-européistes et panafricains et plus largement résistants au nouvel ordre mondial. Je le soutiens et j'invite tous les patriotes à faire de même. Nos destins sont liés car notre ennemis est commun. L'heure des comptes approchent, que nos amis sionistes serrent les rangs, car il y aura de la casse.
Ils pourront au demeurant se satisfaire d'avoir réussi à faire advenir un internationalisme multiracial, contre eux.
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