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Mercredi, 18 Juin 2014
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Grève SNCF : Philippot soutient les cheminots
Rédaction
Politique
Grève SNCF : Philippot soutient les cheminots
Le vice-président du Front national dit "comprendre" les raisons du mouvement du social et refuse de "criminaliser" ce dernier.

Le vice-président du Front national Florian Philippot a déclaré mercredi qu'il "comprenait" les cheminots qui protestent contre la réforme ferroviaire, refusant de "criminaliser" leur grève, même si ce n'est pas "la solution". "La question de la grève ne doit pas masquer la réforme de fond. Ce qui se passe est assez grave du point de vue du service public", a-t-il dit lors de l'émission Questions d'info LCP-France Info-Le Monde-AFP. "Il faut geler la directive européenne de libéralisation", approuvée par "l'UMP et le PS", qui entraînera "un retour cent ans en arrière", avec "des compagnies privées qui vont se faire la guerre sur le rail français". "Ce sera plus d'insécurité, on a vu ce qui s'est passé en Angleterre, on a bien vu les prémices avec Brétigny-sur-Orge. Quand il y a moins de moyens pour le service public, ça crée des problèmes d'insécurité, c'est la hausse des tarifs (...), c'est moins de dessertes rurales, moins de dessertes pour nos villes moyennes", a estimé le député européen.

Est-ce à dire que le Front national, particulièrement discret sur ce mouvement social depuis le début du conflit, approuve la CGT et SUD-Rail ? "Je comprends les travailleurs, mais je pense que la solution n'est pas cette grève. On peut être à la fois usager et perturbé par une grève - et c'est tout à fait regrettable - et en même temps avoir le souci du service public", a-t-il dit. S'agissant des grévistes, "il y a sûrement des motivations corporatistes pour certains - et il faut les combattre -", mais "pour d'autres, je pense qu'il y a des motivations de bonne foi, d'intérêt général et je ne veux pas criminaliser par avance un mouvement social". Sur les intermittents, "ils méritent un statut spécial" et "le gouvernement ne doit pas valider" l'accord Unédic. "Commençons par lutter contre la fraude au lieu de tout dynamiter", a-t-il lancé. Sur ces dossiers, ne tient-il pas un discours analogue à celui du Front de gauche ? "Plus on sera nombreux à défendre le service public à la française, tant mieux, moi je ne suis pas sectaire, moi je préfère qu'on forme des majorités pour défendre le service public français", a répondu M. Philippot.

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